Le miel aux mille vertus va se raréfier car les abeilles butineuses meurent dévorées. Un apiculteur st-vitois témoigne. Après avoir travaillé trente-sept ans à « l'Usine » de Fumel, ce Madrilène de souche et Fumélois depuis 1948 coule des jours heureux depuis une quinzaine d'années dans la campagne saint-vitoise où il s'adonne à la passion des abeilles. Dès la retraite, Antoine Rodriguez s'est découvert ce passe-temps en pur amateur après un petit apprentissage informel chez un apiculteur du coin. De quelques ruches bien exposées derrière sa maison au début jusqu'à une cinquantaine ensuite, le « parc » s'est actuellement stabilisé à environ 20 unités avec toujours un ou deux « logements vacants », des fois qu'il y aurait un essaim baladeur à récupérer dans la nature. C'est ainsi que bon an, mal an, grâce à ses « favorites » qu'il bichonne, notre amateur subvenait à sa consommation d'un miel de tout premier ordre, élaboré dans une vallée du Lot riche en fleurs d'acacia, châtaignier, fruitiers, tournesol. Sauf que…
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