Pour contribuer à une dynamique impliquant les entreprises comme les marchés financiers, Deloitte lance la « Tribune Sciences-Po de l’économie de l’immatériel et de la Connaissance
Pour contribuer à une dynamique impliquant les entreprises comme les marchés financiers, Deloitte lance le 27 juin la « Tribune Sciences-Po de l’économie de l’immatériel et de la Connaissance », conçue dans un projet collectif d’étudiants de Sciences-Po, sous la direction de Marie-Ange Andrieux, Directeur des Partenariats chez Deloitte, qui affirme : « Nous sommes entrés avec le XXIème siècle dans l’économie de l’immatériel et de la connaissance, marquée par une profonde évolution des facteurs de croissance, de productivité et de compétitivité, autant d’enjeux pour la performance et la valeur des entreprises ». Dans le prolongement du sommet de Lisbonne en 2000 où l’Europe a posé son ambition d’être un leader dans cette « knowledge economy » et après le rapport en décembre 2006 de la « Commission de l’Economie de l’Immatériel », la tribune ouvre le débat sur une problématique essentielle : comment créer de la valeur, de la compétitivité et de l’emploi avec des actifs immatériels ?
Des personnalités ont accepté d’être les Grands Témoins de la Tribune Sciences-Po : Jean-Pierre Jouyet (Secrétaire d’Etat aux Affaires Européennes), Maurice Levy (Président du Directoire de Publicis), Georges Drouin (Président du Groupement des Professions de Services), Daniel Lebègue (Président de l’Institut Français des Administrateurs).
Comment les entreprises vont-elles s’adapter aux nouveaux enjeux stratégiques de cette économie où les sources de création de valeur reposent principalement sur des actifs immatériels ? Avec quel management susceptible de relever ces défis tant par les compétences (savoir-faire) que les comportements (savoir être) ?
Ces questions ont été posées à plusieurs cercles du monde économique et financier. Des académiques et experts (OCDE, CAE, OFCE…), des personnalités du monde de l’entreprise (Danone, Marsh, Suez, Vivendi …) ainsi que des acteurs des marchés financiers (SFAF, Calyon, Groupama…) ont tenté d’y répondre, avec l’ambition très pragmatique de détecter les meilleures pratiques dans la « chasse à la valeur immatérielle ». Les étudiants de Sciences-Po font le point de ces approches dans des articles de synthèse.
Toutes ces contributions seront rendues publiques sur www.easybourse.com le 27 juin 2007