Canon, l'entreprise japonaise leader dans le secteur du matériel de photo, a assis sa réputation de défenseur de l'environnement en commanditant diverses expéditions sur la préservation d'espèces menacées. Curieusement, Canon refuse de condamner le programme du gouvernement japonais de chasse à la baleine.
Pour Greenpeace, les valeurs que Canon véhicule par le biais notamment de sa publicité devraient se traduire plus clairement par des prises de positions publiques.
Il y a quelques semaines, Greenpeace a officiellement demandé au P.D.G. de Canon, au Japon, M. Fujio Mitarai, de dénoncer la chasse baleinière japonaise. Dans une réponse que Canon a fait parvenir à Greenpeace la semaine dernière, ce fleuron de l'industrie japonaise a refusé de prendre position contre le massacre de milliers de baleines situées dans le Sanctuaire baleinier de l'Océan Antarctique, arguant que les avis scientifiques divergent quant à l'impact du programme japonais de chasse.
Partout dans le monde, des photographes professionnels et amateurs, à l'aide de leurs d'appareils-photos Canon, immortalisent les baleines lors d'expéditions d'observation.
Par ailleurs, dans une large mesure, Canon est parvenue à asseoir sa réputation de défenseur de l'environnement en finançant des programmes de préservation d'espèces menacées d'extinction. Canon publie régulièrement dans les pages du magazine National Geographic des publicités où l'entreprise exprime son « respect de l'environnement », en plus d'apporter son soutien à des groupes-conseils du monde entier voués à la conservation grâce à des dons, du matériel et de l'expertise.
Agissez : demandez au président de Canon de s'engager en faveur de la protection des baleines.
Nous croyons que lorsqu'une entreprise retire des bénéfices et améliore son image de marque par le biais des causes environnementales, elle a la responsabilité morale de prendre publiquement position sur ces enjeux. Nous osons croire que la plupart des membres du personnel dévoué de Canon, la première compagnie au monde parmi celles qui associent leurs noms à la sauvegarde des espèces, partage notre conviction, à savoir que les baleines ne devraient pas se faire tuer sans raison au nom d'activités prétendument «scientifiques».
Si aujourd'hui le P.D.G. de Canon, un homme très influent au Japon, s'opposait publiquement à la chasse à la baleine, ses propos pourraient contribuer à mettre fin à une farce « scientifique » et à des subventions scandaleuses à l'industrie baleinière. Une telle attitude donnerait aussi davantage de poids à l'engagement en faveur de l'environnement de Canon.
C'est pourquoi Greenpeace demande à tous les défenseurs des baleines et à ceux qui nous appuient (et plus particulièrement aux clients de Canon) de presser cette entreprise de revoir sa position et de prendre publiquement position en faveur de la protection des baleines.
Une entreprise qui s'affirme comme engagée en faveur de la vie sauvage, pour la défense des espèces menacées, ne peut pas le faire par le seul biais de belles images. Il n'est pas suffisant de sponsoriser des associations, Canon doit aussi utiliser son immense pouvoir pour se faire entendre et agir pour un monde meilleur !
Si vous estimez que M Mitarai se doit de prendre position en faveur de la protection des baleines dans l'Océan austral, cliquez ici
Partout dans le monde, des photographes professionnels et amateurs, à l'aide de leurs d'appareils-photos Canon, immortalisent les baleines lors d'expéditions d'observation.
Par ailleurs, dans une large mesure, Canon est parvenue à asseoir sa réputation de défenseur de l'environnement en finançant des programmes de préservation d'espèces menacées d'extinction. Canon publie régulièrement dans les pages du magazine National Geographic des publicités où l'entreprise exprime son « respect de l'environnement », en plus d'apporter son soutien à des groupes-conseils du monde entier voués à la conservation grâce à des dons, du matériel et de l'expertise.
Agissez : demandez au président de Canon de s'engager en faveur de la protection des baleines.
Nous croyons que lorsqu'une entreprise retire des bénéfices et améliore son image de marque par le biais des causes environnementales, elle a la responsabilité morale de prendre publiquement position sur ces enjeux. Nous osons croire que la plupart des membres du personnel dévoué de Canon, la première compagnie au monde parmi celles qui associent leurs noms à la sauvegarde des espèces, partage notre conviction, à savoir que les baleines ne devraient pas se faire tuer sans raison au nom d'activités prétendument «scientifiques».
Si aujourd'hui le P.D.G. de Canon, un homme très influent au Japon, s'opposait publiquement à la chasse à la baleine, ses propos pourraient contribuer à mettre fin à une farce « scientifique » et à des subventions scandaleuses à l'industrie baleinière. Une telle attitude donnerait aussi davantage de poids à l'engagement en faveur de l'environnement de Canon.
C'est pourquoi Greenpeace demande à tous les défenseurs des baleines et à ceux qui nous appuient (et plus particulièrement aux clients de Canon) de presser cette entreprise de revoir sa position et de prendre publiquement position en faveur de la protection des baleines.
Une entreprise qui s'affirme comme engagée en faveur de la vie sauvage, pour la défense des espèces menacées, ne peut pas le faire par le seul biais de belles images. Il n'est pas suffisant de sponsoriser des associations, Canon doit aussi utiliser son immense pouvoir pour se faire entendre et agir pour un monde meilleur !
Si vous estimez que M Mitarai se doit de prendre position en faveur de la protection des baleines dans l'Océan austral, cliquez ici