Début février, Suez a annoncé une série d’engagements pris dans le cadre du Grenelle de l’environnement. Dans le domaine de l’énergie, le groupe s’engage à augmenter ses capacités de production et de recherche sur les énergies renouvelables pour contribuer à l’objectif de 20% d’énergie renouvelable dans la consommation finale que s’est fixé le gouvernement pour 2020.
Pour ce qui concerne le secteur de l’eau, la chasse au gaspillage en améliorant le rendement des réseaux d’eau potable doit permettre d’économiser d’ici fin 2010, l’équivalent de la consommation d’une ville de 700 000 habitants.
Côté déchets, l’objectif est d’atteindre au moins 35% de valorisation matière et biologique en France à l’horizon 2012 en favorisant la réduction, la réutilisation et le recyclage des déchets.
La biodiversité n’est pas en reste, puisque Suez promet également d’intégrer la biodiversité à la gestion de ses sites avant fin 2009. Cet engagement fait suite à la démarche mise en place par le Groupe sur la biodiversité.
En 2006, le groupe a entrepris un recensement des zones les plus fragiles en Europe, à partir de Natura 2000, et les zones identifiées par le PNUE et le WWF dans le reste du monde (écorégions) pour réaliser un outil cartographique permettant de qualifier la sensibilité de ses activités vis-à-vis de la biodiversité et les actions en découlant.