La nouvelle filiale dédiée aux énergies renouvelables, « GDF Futures Énergies » a de grandes ambitions : « On prévoit, pour 2012-2013, 2.000 MW en éolien dont 1.000 en France ». Le rachat de Maïa Eolis en Picardie, Erelia dans l’Est, et désormais Nass & Wind Technologie, confirme cette stratégie. En faisant l’acquisition de Nass & Wind Technologie, (la filiale lorientaise de Nass & Wind spécialisée dans le développement, la construction et l’exploitation de parcs éoliens terrestres en France), Gaz de France met un pied en Bretagne et renforce sa position dans le secteur des énergies vertes. Les 35 mégawatts actuellement exploités par N & W s’ajoutent ainsi au parc éolien de Gaz de France.
Le plus important parc
« Avec une capacité de près de 145 MW début 2008, c’est le plus important parc éolien installé en France », certifie Laurent Bernard, délégué pour la région ouest, qui a pour mission de développer le chiffre d’affaires du groupe en Bretagne.
La nouvelle filiale dédiée aux énergies renouvelables, « GDF Futures Énergies » a de grandes ambitions : « On prévoit, pour 2012-2013, 2.000 MW en éolien dont 1.000 en France ». Le rachat de Maïa Eolis en Picardie, Erelia dans l’Est, et désormais Nass & Wind Technologie, confirme cette stratégie.
Biomasse, offshore...
GDF Futures Énergies axera son développement en priorité sur l’éolien, sans faire l’impasse sur les autres filières de production d’énergie verte. « Pour la biomasse, nous avons un projet dans les Côtes-d’Armor. On s’intéresse aussi à l’exploitation d’unités de production d’énergie en mer avec l’éolien offshore, dès que l’exploitation en sera possible ». La Bretagne produit aujourd’hui 9 % de son énergie grâce à l’éolien.