la moitiés des jeunes espagnols ont un sperme de mauvaise qualité. Des facteurs environnementaux mis en cause.
Plus de la moitié des jeunes espagnols ont un sperme de mauvaise qualité, selon les critères de l'OMS, et auront plus de difficultés à avoir des enfants, d'après une étude espagnole. Selon cette étude réalisée sur des échantillons de sperme de 1.239 jeunes espagnols âgés de 18 à 30 ans, "on peut parler d'une sous-fécondité ou qualité séminale anormale pour 57,8% des jeunes" espagnols, indique dans un communiqué l'Institut Marques de Barcelone, spécialisé dans les traitements contre la stérilité, qui a réalisé l'étude. Ces jeunes auront "plus probablement des problèmes" de fécondité, mais cela ne signifie pas forcément qu'ils ne pourront pas avoir d'enfants, a expliqué le professeur Juan Alvarez, co-signataire de l'étude publiée dans une revue médiale spécialisée, Andrologia. "Les altérations dans la concentration du sperme pourraient remonter à la période embryonnaire (avant la naissance des individus en question) et être dues, dans les zones très industrialisées, à l'exposition de l'embryon à des perturbateurs endocriniens à travers le cordon ombilical", explique l'Institut.
Plus de la moitié des jeunes espagnols ont un sperme de mauvaise qualité, selon les critères de l'OMS, et auront plus de difficultés à avoir des enfants, d'après une étude espagnole. Selon cette étude réalisée sur des échantillons de sperme de 1.239 jeunes espagnols âgés de 18 à 30 ans, "on peut parler d'une sous-fécondité ou qualité séminale anormale pour 57,8% des jeunes" espagnols, indique dans un communiqué l'Institut Marques de Barcelone, spécialisé dans les traitements contre la stérilité, qui a réalisé l'étude. Ces jeunes auront "plus probablement des problèmes" de fécondité, mais cela ne signifie pas forcément qu'ils ne pourront pas avoir d'enfants, a expliqué le professeur Juan Alvarez, co-signataire de l'étude publiée dans une revue médiale spécialisée, Andrologia. "Les altérations dans la concentration du sperme pourraient remonter à la période embryonnaire (avant la naissance des individus en question) et être dues, dans les zones très industrialisées, à l'exposition de l'embryon à des perturbateurs endocriniens à travers le cordon ombilical", explique l'Institut.
"Les perturbateurs endocriniens sont des substances chimiques qui agissent dans l'organisme comme des hormones féminines" et tendent à "s'accumuler dans l'organisme dans les graisses comme le lait maternel", explique l'Institut. Ces substances, dont 550 d'utilisation habituelle, répertoriées par l'Union européenne, sont "très résistantes à la biodégradation et sont présents dans notre alimentation", indique encore l'Institut Marques.
l'Etude :Geographical differences in semen quality in a populationof young healthy volunteers from the different regions of Spain - M. Lopez-Teijo´, M. Elbaile & J. G. Alvarez. Andrologia 40, 318–328. ocotobre 2008. étude disponible à la page :
http://www3.interscience.wiley.com/journal/121406862/abstract
l'Etude :Geographical differences in semen quality in a populationof young healthy volunteers from the different regions of Spain - M. Lopez-Teijo´, M. Elbaile & J. G. Alvarez. Andrologia 40, 318–328. ocotobre 2008. étude disponible à la page :
http://www3.interscience.wiley.com/journal/121406862/abstract