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Après l’intégration des normes « Haute Qualité Environnementale » (HQE) et « Bâtiment Basse Consommation » (BBC) dans leur conception, c’est le nouvel horizon pour les gares du futur : l’intégration de « smart grids », c’est-à-dire de réseaux électriques intelligents capables d’optimiser en temps réel les besoins en énergie. Un « cerveau » informatique et des capteurs adaptent l’approvisionnement électrique en fonction des sollicitations réelles des différentes fonctions de la gare : éclairage, affichages, climatisation, automates, etc. SNCF a décidé de s’impliquer activement dans les recherches autour de ce concept – qui intéresse de nombreux autres acteurs et secteurs d’activité à travers le monde — afin de parvenir à modéliser, dans un premier temps, la consommation des gares. À terme, de tels « smart grids » pourraient générer une diminution très significative de leur facture énergétique et de leur bilan carbone, en même temps qu’ils proposeraient un confort et une fiabilité accrus pour les clients.
Un partenariat de recherche de pointe
SNCF contribue au lancement d’un ambitieux partenariat de recherche autour des technologies « smart grid ». Participent à cette aventure les membres de la chaire
Econoving (Alstom Power, GDF SUEZ, Italcementi, SAUR), les laboratoires spécialisés fédérés par UniverSud Paris (Supélec, École normale supérieure de Cachan, Suptélécom, École Centrale de Paris, Université de Versailles Saint-Quentin-en- Yvelines, CNRS…) et l’ADEME. Les innovations technologiquees issues de cette démarche pourront être valorisées dans les offres d’ingénierie internationale (AREP, INEXIA) et par les industriels français partenaires.
www.sncf.com/resources/fr_FR/.../PR0002_20110106.pdf