GE made a major step forward with its worldwide commitment to improve the ways we make, move and consume electricity with the acquisition of SNC-Lavalin's Energy Control Systems (ECS) business and its network management and control software.
http://www.euractiv.fr/sites/default/files/201008-snail_announcement_-_august_2_2010_-_final.pdf
Meter Data Management Market to Grow 300 Percent by 2014
A new report by GTM Research predicts the Meter Data Management market will grow from $54 million in 2009 to $221 million by 2014, coinciding with smart meter rollouts and MDM vendors expanding and enhancing their product offerings. The report, The Emergence of Meter Data Management: A Smart Grid Information Strategy Report, defines MDM’s role in the smart grid deployment presents an analysis of how to most efficiently deploy the meter management technology.
New York City aurait pu connaître un blackout en 2010, lors des dernières vagues de chaleur. Mais la technologie Smart Grid a volé à son secours, et tout s’est très bien passé. Lors de la dernière vague de chaleur, le programme Con Edison a reprogrammé en urgence près de 20 000 thermostats, afin de prévenir le blackout et/ou le burnout. L’utilitaire a envoyé un signal demandant aux thermostats de s’éteindre et se rallumer toutes les demi-heures. Cette initiative a permis d’économiser 25 mégawatts d’énergie pendant le pic de demande, assez pour empêcher l’effondrement de la distribution d’électricité. http://www.coned.com/
Baltimore Gas and Electric Company (BGE) has announced it is implementing a smart grid throughout its Central Maryland service territory. BGE’s acknowledges that its ability to invest hundreds of millions of dollars on a smart grid is dependent on being able to recoup the costs. To that end the Maryland Public Service Commission (PSC) found that the public interest is served by a decision to move forward with this initiative.
BGE et les compteurs électriques du Maryland Le fournisseur d'électricité américain Baltimore Gas & Electric met en avant depuis l'été dernier son projet d'installation de compteurs intelligents d'électricité pour deux millions de foyers et entreprises dans le Maryland. Pour Mayo Shattuck, PDG de la maison-mère de BGE, Constellation Energy: "Nous sommes à l'orée d'une des plus grandes transformations du réseau électrique de tous les temps". Les compteurs intelligents permettront non seulement aux consommateurs de réaliser plus de deux milliards de dollars d'économie, mais ils offriront aussi une fiabilité, une qualité de service et des améliorations environnementales".
Smart grid La Cnil se méfie des futurs compteurs intelligents ...
Présenté comme l’avenir de la gestion électrique des particuliers et comme un futur eldorado pour les sociétés informatiques, le compteur intelligent commence à sentir le souffre. La Cnil (Commission nationale de l'informatique et des libertés) a décidé de mettre son nez dans ce type d’appareil actuellement testé par ERDF (Electricité Réseau Distribution France) – dans la région lyonnaise notamment - avant une généralisation prévue à tout le territoire. Un projet colossal, connu sous le doux nom de Linky, visant, en 2016, le remplacement des actuels compteurs électriques par une nouvelle génération permettant notamment les télé-relevés. Nouveaux compteurs électriques : allumez, vous êtes surveillés ?
Linky compteur EDF intelligent et intrusif
Compteurs électriques intelligents : attention au respect de la ...vie privée
La CNIL se méfie des nouveaux compteurs EDF
| La CNIL et les compteurs intelligents |
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La Cnil sinquiète des compteursintelligents Europe1fr France
Compteurs intelligents et vie privée la CNIL fait le point
Nouveaux compteurs EDF : Compteur électrique intelligent dangereux?
Compteur intelligent d'EDF et confidentialité;
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| Compteurs électriques « intelligents » : la Cnil veille |
| "Linky" de EDF : compteur intelligent ou compteur espion ? | Humanite |
Actualités Smart grid : la cnil se méfie des futurs compteurs ...
On n’achète pas une voiture pour la vie. Elle tiendra une décade ou plus, selon l’usure, la fréquence d’utilisation, et la régularité des entretiens. Mais quoi qu’il arrive, le moteur rendra l’âme à un moment donné et le véhicule devra être remplacé. À une échelle plus large, le réseau électrique est similaire. Et même si celui que possède l’Europe fonctionne, l’augmentation de la demande, combinée aux ambitieux objectifs de l’Union en matière de compétitivité, d’intégration des énergies renouvelables et de sécurisation des approvisionnements énergétiques, rend une modernisation du système inévitable.
C’est précisément pour établir une vision cohérente des réseaux énergétiques européens au-delà de l’horizon 2020 que SmartGrids fut lancé en 2005. Mais son ambition la plus prometteuse est de mettre cette vision en pratique. Défini de manière rudimentaire, un «réseau intelligent» («smart grid», en anglais), s’appuie sur des technologies numériques pour fournir de l’électricité de manière plus rentable et plus efficace, tout en offrant le flux énergétique à deux sens nécessaire pour prendre en compte les énergies renouvelables.
Les réseaux classiques, conçus pour intégrer un flux électrique à sens unique, sont en effet incapables d’inclure à grande échelle la production décentralisée d’énergie. Ils sont essentiellement adaptés au transport de l’électricité des grandes installations nucléaires, hydrauliques, au charbon ou au gaz, qui permettent généralement de faire des économies d’échelle. Mais si un réseau secondaire local génère plus d’énergie qu’il n’en consomme, le retour de flux peut engendrer des problèmes de sécurité et de fiabilité. Ces problèmes d’interdépendance ont été mis en exergue en 2006, lorsque 10 millions d’Européens furent plongés dans le noir suite à une vaste panne du réseau électrique dans 8 pays (AT, BE, DE, ES, FR, HR, IT, NL). Un réseau «smart grid » serait plus apte à gérer ce genre de ruptures électriques en cascade.
www.smartgrids.eu
Dans le contexte de la lutte contre le changement climatique et du nécessaire renforcement de la sécurité énergétique de l'UE, l'augmentation de la consommation d'électricité en Europe est un défi pour les Etats et les acteurs du marché de l'énergie. Le développement des réseaux dits "intelligents" pourrait constituer, à l'avenir, une partie de la solution. EurActiv.fr fait le point sur le développement embryonnaire de ces nouveaux réseaux.
L’expression « smart grids », traduite en français par l’expression « réseaux intelligents » a été généralisée en 2004-2005, avec notamment la création sous l’égide de la Commission européenne de la Plateforme technologique « smart grids » pour les réseaux électriques du futur.
Mais aucune définition standardisée n’existe. Si l’on s’en tient à l’aspect technique, le consensus veut que l’intelligence d’un réseau électrique soit fondée sur sa capacité à s’informer et à communiquer en temps réel. Cela équivaut à utiliser des technologies de l’information et de la communication (TIC), comme des capteurs ou des compteurs électriques.
Dans ce contexte, la définition de l’intelligence des réseaux et l’utilité des TIC dépendent également nécessairement des objectifs du secteur de l’électricité, en termes économiques, politiques, ou sociaux.
Depuis 2004, les projets de réflexion concernant les réseaux électriques intelligents fleurissent au sein de l’UE, ainsi que des expérimentations, mais de façon essentiellement isolée, à l’échelle régionale ou nationale.
Sur le plan communautaire, seul le septième programme cadre (FP7), adopté le 18 décembre 2006, et qui établit le financement de la recherche et du développement technologique pour 2007-2013, fait une place à la recherche sur les smart grids.
Des projets de réseaux et bâtiments intelligents sont ainsi financés par le FP7 : l’Allemagne, les Pays-Bas et la Grèce testent cette technologie dans le cadre du projet maisons intelligentes / réseaux intelligents, pour une future mise en œuvre à grande échelle.
Plusieurs programmes auxquels participent des acteurs français ont été co-financés par la Commission pour favoriser les échanges entre pays européens. Le projet FENIX s’est achevé fin 2009 mais ADDRESS travaille actuellement sur les réseaux de distribution. La plateforme ERA-NET a aussi pour objet d’améliorer la cohérence de la recherche au niveau communautaire.
La plupart des pays européens expérimentent aujourd’hui l’installation de compteurs intelligents. Les efforts des pays européens sont variables, en termes quantitatifs et qualitatifs, selon les domaines. Ainsi les compteurs intelligents ont été généralisés en Suède. Et des expériences avec des machines à laver intelligentes dans le cadre de « smart houses » sont menées en Allemagne.
Revenir aux onglets et cliquer sur Enjeux pour lire la suite.
The Demand Response and Smart Grid Coalition (DRSG) announced addition of five new members namely Cisco, Cooper Power Systems, Tropos Networks, Grid Net, and U-SNAP Alliance. The DRSG is a trade association for companies that provide products and services in the areas of demand response and smart grid. According to DRSG, the smart grid coalition works to educate and provide information to policymakers, utilities, the media, the financial community and stakeholders on how demand response and smart grid technologies can help modernize our electricity system and provide customers with new information and options for managing their electricity use.
Some of the existing members of the DRSG Coalition include: Aclara, Advanced Telemetry, Boeing, CalAmp (News - Alert), CALMAC, Comverge, CPower, Echelon, Electrolux, Enfora, EnOcean Alliance, Enspiria Solutions, GE, Google, Grid Net, HomeGrid Forum, Honeywell, Ice Energy, Itron, LG Electronics, Lockheed Martin (News - Alert), Lutron Electronics, Oracle, PCN Technology, Sensus, Silver Spring Networks, SmartSynch, Trilliant Networks, Whirlpool, ZigBee Alliance, and more.
Dan Delurey, president of the DRSG, said, "It is exciting to see smart grid and demand response being increasingly well received by policymakers, investors, stakeholders and—most importantly—consumers.The deployment of the smart grid is no longer something that will happen at some point in the future. It is happening now, and that is good for consumers and good for the country as everyone looks for options to reduce energy use and energy costs.”
Delurey further added, “The members of the DRSG Coalition have made a big contribution towards this forward movement, and as I welcome Cisco (News - Alert), Cooper Power Systems, Tropos Networks, Grid Net, and U-SNAP Alliance to the group, I'm pleased to say that DRSG's ability to help make the smart grid a reality has just become stronger."
Once the industry's poster child, Xcel Energy's grand SmartGridCity experiment in Boulder, Colorado is suddenly under attack. Documents piling up before the state's PUC reveal a he-said, she-said tale of cost overruns, unmet promises, departing executives and a belated request for ratepayers to foot the bill. Jesse Berst says the industry better get prepared for damage control.More>>
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When reports of cost overruns at Xcel Energy’s SmartGridCity emerged earlier this year, we asked the question: How bad are the problems with SmartGridCity? Now, after slogging through a series of documents filed recently with the Colorado Public Utility Commission, I can tell you this: Whatever the reality, it doesn’t look good.
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The latest ugly data unearthed about the flagship smart grid project SmartGridCity in Boulder Colo. — one of the most widely publicized experiments in bringing smart grid systems to an entire city — is cringe-worthy. According to SmartGridNews, which dug through Colorado Public Utility Commission filings, the project was woefully mismanaged, and didn’t follow the proper procedures or do the proper cost benefit analysis before it was started. By now most of you know that SmartGridCity, the showcase smart grid project from utility Xcel Energy, has gone way over budget. As we noted back in February the latest estimate for a project that was projected to cost $15.3 million, has risen to an estimated $42.1 million, and that doesn’t include operations and maintenance (the entire project is expected to cost in excess of $100 million). SmartGridNews says the project is now estimated to cost $44.8 million. Read More »
Smart Meters Will Be Hacked, Warn Researchers "The actual meters are a weak point between home networks and smart grid infrastructure that will be exploited"
The technology at the heart of the government’s plans to roll out smart meters to every home and small business in the country are fundamentally insecure and will be successfully attacked by hackers, according to researchers. In the report - Smart Meter Security - clean technology analyst group Pike Research states that governments and industry have rushed to develop smart meter technology but have not considered all the security issues around the technology. “It would be naïve to think that smart meters will not be successfully attacked. They will be,” the report states. “In fact, smart meters represent a worst-case scenario in terms of security: the devices lack sufficient power to execute strong security software; they are placed in physically non- secure locations; and they are installed in volumes large enough that one or two may not be missed.”
On a fundamental level, the smart grid is the merging of two networks: the power network, consisting of the electrical generation, transmission, and distribution grid, and the modern communications network, which enables voice, video, and data communications for billions of endpoints around the world. As such, networking and communications technologies are at the core of utility smart grid deployments, and have been the focus of significant attention and fierce debate by industry players.
A new report from Pike Research forecasts that 276 million smart grid communications nodes will be shipped worldwide during the period from 2010 to 2016, with annual shipments increasing dramatically from 15 million in 2009 to 55 million by 2016. The cleantech market intelligence firm expects that this will represent a total industry investment of $20.3 billion during the seven-year forecast period, with annual revenues increasing from $1.8 billion in 2009 to $3.1 billion by 2016, despite rapidly falling average selling prices (ASPs) per node.
“The greatest myth of the smart grid is that there will be one communications technology to rule them all,” says senior analyst Bob Gohn. “The reality is that smart grid networks will be as diverse as the internet, including fixed and wireless, public and private, standard and proprietary technologies. Different technologies will lead in various application categories, based on their respective cost and performance characteristics.”
Gohn adds that advanced metering infrastructure (AMI) nodes for smart meters will be the largest communications equipment category over the next several years, followed distantly by home area network (HAN) nodes and network interface converters. Smaller node categories include generalized grid routers, AMI concentrators, wide area network (WAN) backbone nodes, substation routers, and substation ethernet switches.
Pike Research’s report, “Smart Grid Networking and Communications”, examines the global market opportunity for communication technologies in all areas of smart grid operations, from the utility substation to the home area network. The report analyzes key technology decisions being made by utilities with regard to wired and wireless, public and private, standard and proprietary networks. Key industry players are profiled and detailed market forecasts are provided through 2016, segmented by region, application, device, and technology. An Executive Summary of the report is available for free download on the firm’s website.Pike Research is a market research and consulting firm that provides in-depth analysis of global clean technology markets. The company’s research methodology combines supply-side industry analysis, end-user primary research and demand assessment, and deep examination of technology trends to provide a comprehensive view of the Smart Energy, Clean Transportation, Clean Industry, Corporate Sustainability, and Building Efficiency sectors. For more information, visit orPike Research : Paige Hartman, 303-997-4619 [email protected]www.pikeresearch.com call +1.303.997.4619 +1.303.997.4619 +1.303.997.4619 +1.303.997.4619 .
General Electric may have a host of smart appliances in the works, but looks like one Indesit may beat it to the punch -- at least on the washing machine front. The Italian home appliance firm just unveiled a ZigBee-compatible washer at the Freescale Technology Forum in Florida this week, capable of communicating with the smart grid and then timing its loads according to variable electricity cost. We can't find a single detail beyond that, except that it uses one of Freescale's ZigBee radio chips, and that this particular washer appears to be destined for Indesit's Hotpoint-Ariston label with the company's Aqualtis auto-detergent dosage technology built right in. We can tell you're on the edge of your seat. No word on pricing or availability, and no, we don't know if it will tweet when your load is done. 
A l'image de la politique lancée par Veolia Environnement en février dernier, avec son Veolia Innovation Accelerator, le géant américain General Electric, lance le GE Ecomagination Challenge : un appel à proposition à l'échelle mondiale tourné exclusivement vers les réseaux intelligents, le smartgrid, un secteur où le groupe est déjà très dynamique. Le but : trouver et soutenir des idées dans trois grands secteurs sous-jacents : les énergies renouvelables, les réseaux et les éco-bâtiments.
GE announces a $200 million challenge to find and implement ideas that can modernize the power grid, right now.More Information : Ecomagination Web Site
L’Australie lancera très bientôt à Newcastle sa première Smart Grid, un système de réseau liant télécommunication et information sur les ressources en énergie, afin de mieux gérer la consommation et mettre en avant les énergies renouvelables.
Penny Wong, Ministre australienne du Réchauffement climatique, de l’Energie et de l’Eau a annoncé le lancement mi-2010 à Newcastle de la première Smart Grid, pour aider les habitants à mieux gérer leur consommation d’énergie, attirer leur attention sur les énergies renouvelables et ainsi porter un coup au réchauffement climatique.
Le but est d’offrir aux foyers et entreprises la possibilité de vérifier et contrôler la quantité d’énergie utilisée, ainsi que son coût à tout moment. L’espoir est de changer les habitudes des consommateurs. Par exemple, il sera possible de relier la Smart Grid aux appareils électroménagers à basse consommation afin de les utiliser en priorité pendant les heures creuses.
Si l’expérience à Newcastle est concluante, l’extension au niveau national devrait réduire les émissions de dioxyde de carbone de 3,5 mégatonnes par an. Pour une entreprise, la Smart Grid peut résoudre certains problèmes du réseau électrique, identifier les besoins de maintenance, etc. Dans les foyers, elle évitera les mauvaises surprises avec une meilleure gestion quotidienne de la consommation. Dans l’ensemble, la Smart Grid fournira un bilan des besoins et des décisions à prendre en Australie pour les ressources en énergie, tout en optimisant l’utilisation du réseau de communication internet australien.
Le consortium EnergyAustralia a remporté l’appel d’offre pour ce projet, au milieu d’autres candidatures toutes d’excellente qualité, comme l’a rappelé la Ministre Penny Wong.
Source : Australian Government
Les résultats sont encourageants pour l'avenir du Smart Grid.
Pour contribuer au développement des réseaux électriques dits "intelligents" sur le territoire français, Edelia* a mis en place dans la région bretonne une expérimentation de pilotage à distance sur des équipements domestiques - ballons d'eau chaude et chauffages électriques. Pour mener cette expérience, quatre cents vingt foyers ont été équipés de capteurs sur leurs compteurs électriques et d'un boîtier faisant figure de passerelle communicante avec la plate-forme générale du service électrique. Toutes les dix minutes, le boîtier enregistrant l'énergie dépensée par le foyer renvoyait via le réseau sans-fil ou GPRS une estimation de la consommation de l'habitat. Et lors de pics de consommation, la plate-forme renvoyait des ordres de coupures à ce même boîtier qui les transmettait à son tour aux capteurs actionnaires. "Ces périodes de coupures pouvaient avoisiner les dix à trente minutes et touchaient des groupes de foyers", précise à L'Atelier Martine Gouriet, PDG d'Edelia. Le particulier quant à lui avait toujours la possibilité de réactiver ses équipements s’il le désirait.
Le particulier garde la main sur ses équipements
Cela à l’aide d’un simple bouton poussoir sur le boîtier, gardant ainsi constamment la main sur leur fonctionnement. Selon les responsables du projet, les premiers résultats sont encourageants. "Sur l’hiver 2009-2010, 15 000 coupures d'électricité de quelques dizaines de minutes ont été passées avec un taux d’acceptation de la part du client de près de 90 %", confie la responsable. Un suivi personnalisé par Internet des consommations a également été mis en place. "Au début de l'expérience, les candidats ont pu remplir un questionnaire pour estimer leur consommation et indiquer le montant idéal qu'ils aimeraient atteindre", indique Martine Gouriet. De cette manière, les participants ont pu comparer leurs consommations réelles par rapport aux prévisions initiales.
Un suivi personnalisé pour connaître sa consommation en énergie
Le service propose aux particuliers une répartition par usage à différentes périodicités (journalière, hebdomadaire, annuelle). Et leurs équivalences en euros, kWh et CO2. Les consommateurs pouvaient également demander à recevoir une alerte par courrier électronique lorsque le seuil de consommation était dépassé. "L'hiver prochain, la solution devrait être déployée à un plus grand nombre de foyers", précise Martine Gouriet. Et de déplorer : "le parc de production breton ne permet pas d'assurer les besoins électriques de sa population alors que ces derniers augmentent annuellement de 3 % ". L'opérateur prévoit à l'avenir d'étendre son pilotage aux foyers équipés de pompes à chaleur et de délivrer via le site une gamme de conseils en gestion de l'énergie. A noter : Edelia a travaillé avec ses partenaires industriels IBM, Sagemcom, Delta Dore.
*opérateur de télé-services énergétiques, et filiale du Groupe EDF
L'objectif du projet de quatre ans, connu sous le nom PowerShift Atlantic, est d'examiner comment l’évolution des tendances en consommation d'énergie peut aider les services de production d’électricité à réduire les gaz à effet de serre. Jusqu'à 2000 clients auront accès à de nouvelles données sur la consommation qui les aideront à consommer moins d'électricité et ainsi réduire leurs factures d'électricité.
Plus d'informations : Centre des nouvelles du Canada - Le gouvernement du Canada ...
A couple of weeks ago I reported on Arqiva’s long-range radio smart metering proposition. I mentioned at the time that while the solution looks good there are a lot of forces lined up in the battle to supply the UK smart grid communications infrastructure, including some formidable ICT suppliers who are championing other technologies.
Well now Arqiva has a powerful ally in the form of BT, which announced today that it’s joining forces with Arqiva and Detica. BT apparently spent 18 months analysing the various communications options available to meet the smart metering initiative before joining with Arqiva.
The Government will publish details of the project and the possible commercial opportunities in the autumn, which is when Arqiva and partners will formally launch their proposal.
The fact that BT doesn’t have a mobile phone operation of its own may have been a factor in going with Arqiva, but it does open the prospect of a real battle for smart grid communications technology in the UK.
Le producteur d’énergie finlandais Helsingin Energiale, les installateurs de réseaux Helen Sähköverkko, ABB et Nokia Siemens Networks ont signé une lettre d’intention pour entamer une collaboration technologique de développement et de test de solutions d’énergie intelligente tournées vers l’avenir.
Le système énergétique sera construit près d’Helsinki, à Kalasatama. Il comprend par exemple une production locale d’énergie renouvelable (tels que le solaire et l’éolien), et un système de stockage d’électricité qui alimente les voitures électriques. Mais aussi des réalisations domotiques d’économies d’énergie destinées aux habitations et aux bureaux.
L’échelle du projet de Kalasatama est en fait une importante étape vers un réseau électrique encore plus intelligent et plus souple : il est capable d’incorporer une production d’énergie distribuée et renouvelable, assure Dick Kronman, directeur du développement commercial d’ABB. En milieu urbain, les gens pourront vivre selon des normes écologiques.
Les solutions énergétiques de l’avenir reposeront sur des services personnalisés et le libre choix des consommateurs. Mais les ‘petits usagers’ aussi auront leur part : Un réseau intelligent va créer un genre entièrement nouveau de marché progressif également pour les petits clients, explique Markku Hyvärinen, responsable du développement chez Helen Sähköverkko.
Les systèmes intelligents facilitent les économies d’énergie et utilisent les énergies locales solaire et éolienne.
Ces nouveaux services permettent de diriger la consommation d’électricité sur l’éolien en période venteuse ; et d’un autre côté, d’éviter la consommation aux moments où les prix sont les plus élevés sur le marché de l’électricité, souligne Jussi Palola, chargé de la Recherche&Développement chez Helsingin Energia.
Jaakko Aho, le responsable des nouvelles solutions énergétiques chez Nokia Siemens Networks l’affirme : Nous allons vers une ’société de l’efficience énergétique’. Les solutions informatisées qui permettent ces services laissent envisager une véritable percée des réseaux intelligents.
Auxiliaire futé de cette révolution, le bon vieux compteur électrique. Il transmettra au fournisseur énergétique des informations en temps réel sur la consommation. Cela permettra d’équilibrer la distribution électrique. Dans à peine 3 ans, tous les compteurs pourront être relevés à distance.
L’intérêt ?
Exemple, fourni par le professeur Jarmo Partanen, de l’université de Technologie de Lappeenranta : Si une grosse centrale électrique cesse d’alimenter le réseau, il faut la remplacer rapidement par une quantité d’énergie équivalente d’une autre source. À l’avenir, un compteur électrique pourra s'éteindre sans intervention extérieure par exemple la climatisation, le réfrigérateur ou l’un des radiateurs pendant quelques minutes. Lorsqu’un nombre suffisant de foyers font cela en même temps, l’équilibre dans la consommation est rétabli. Plus besoin de recourir aux coûteuses réserves d’électricité.
Sans tambour ni trompettes, ces technologies font leur chemin en Scandinavie depuis les années 70. Alors que de nombreux pays en sont encore à se demander s’ils vont l’exploiter. Et pourtant, tout le monde y trouvera son compte. Lorsque le réseau intelligent commencera à fonctionner, les foyers disposeront peut-être de leur propre production d’électricité. Ils pourront donc aussi en vendre.
La possibilité d’offrir de l’électricité dans le réseau constituera un autre grand changement dans l’avenir, poursuit le professeur Partanen. L’électricité peut provenir de générateurs à gros potentiel, de l’énergie solaire ou éolienne, ou encore d’une usine de bioénergie. Le réseau intelligent permettra aux consommateurs de participer activement au marché de l’électricité. Les surplus d’électricité pouvant être revendus dans le réseau.
Sources :
Le concept de smart grid, ou réseau de distribution d’électricité intelligent, s’est développé ces dernières années. La mise en place de ces compteurs électriques « intelligents » implique la collecte d‘informations détaillées sur notre consommation électrique, ce qui pose des problèmes de respect de la vie privée. C’est l’occasion d’en parler avec Yann PADOVA, le Secrétaire Général de la CNIL, qui nous présente ces dispositifs et leurs enjeux en termes de protection des données personnelles.
| La chronique de Karine Duchochois (4'49") | |
Compteurs électriques intelligents |
La simplicité facilitera ladoption du compteur intelligent Pour généraliser les smart meter, le Fraunhofer développe un système proposant des services de gestion et de diminution de sa consommation variés et accessibles instantanément depuis plusieurs supports.
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In their first face-to-face meeting, the leaders of the Smart Grid Interoperability Panel (SGIP) and utility regulators explored options for increasing state-level participation in developing the standards needed to modernize nation's electric power system with two-way communication and control capabilities. Such capabilities will be needed to give consumers greater control over their energy bills, facilitate charging of electric vehicles, enable high penetrations of renewable energy, and improve the reliability of the power system.
Attending the annual summer meeting of the National Association of Regulatory Utility Commissioners (NARUC), which concluded yesterday, SGIP representatives briefed utility regulators on the array of standards-related activities intended to support cost-effective deployment of current and future Smart Grid technologies. State participation in these activities, according to the SGIP leaders, is key to ensuring that the emerging technical specifications further both state and federal policy goals and that U.S. consumers fully realize the intended benefits of the Smart Grid.
The Energy Independence and Security Act (EISA) of 2007 established development of the Smart Grid as a national goal. EISA also assigned the National Institute of Standards and Technology with “primary responsibility to coordinate development of a framework that includes protocols and model standards for information management to achieve interoperability of smart grid devices and systems.”
Last November, NIST initiated the SGIP to sustain its efforts in coordinating, accelerating, and harmonizing the development of standards needed to support early Smart Grid deployments and to enable new energy-related technologies and applications in the future. The SGIP now has more than 600 member organizations distributed among 22 stakeholder categories, from investor-owned utilities to consumers to information technology suppliers.
"Standards help define how the smart grid will develop and need to reflect regulatory policies in the different states,” said Ohio Public Utility Commissioner Paul Centolella, who represents the “State and Local Regulators” stakeholder category on the SGIP Governing Board. “The interactions at this meeting between the SGIP Governing Board and utility regulators represent an important step in ensuring utility regulatory commission participation in the development and adoption of consensus-based interoperability standards."
GE vient de dévoiler le Nucleus, un petit boîtier appelé à devenir le système nerveux de l'énergie de la maison. Disponible en 2011 aux Etats-Unis, ce "noyau" doit permettre de réduire la consommation d’électricité. Pas de doute, General Electric veut devenir un géant des réseaux électriques intelligents, le smartgrid, et des solutions de gestion énergétique dans l'habitat, le smarthome. Déjà spécialiste des compteurs électriques communicants, le groupe investit aussi dans des sociétés innovantes comme Trilliant (systèmes de communication entre compteurs intelligents et réseau électrique), Tendrill (systèmes de gestion énergétique) ou OpenPeak (tablettes de gestion énergétique multifonction).
Une mémoire énergétique sur les trois dernières années
Avec son Nucleus, GE vient de dévoiler un produit concret et central dans sa stratégie sur le marché du smarthome. Ce « noyau » se veut avant tout un système de mesure de l'énergie domestique, capable ensuite de communiquer les informations collectées. Il permet aussi d'archiver les données sur les trois dernières années, un plus par rapport à une concurrence en ordre de marche. Il se présente sous la forme d'un petit boîtier de la taille d'un pot de yaourt, facturé entre 149 et 199 dollars (116-155 euros). Il se branche sur une prise ou le réseau électrique de la maison et nécessite la présence d'un compteur électrique intelligent. Doté de dispositifs de communication sans fil (puces Zigbee, Wifi) et d'un port Ethernet, il ne possède pas d'écran de gestion à part entière.
Les consommations électriques sont compilées et gérées sur une interface logicielle sur un ordinateur et un téléphone mobile. L'utilisateur peut ainsi surveiller l'énergie de sa maison en temps réel, et voir sa retranscription en termes de coût. Un bon moyen pour mesurer l'impact de la mise en route du four électrique ou du climatiseur, par exemple.
Investissements massifs dans les cleantech
Développé par la branche Ecomagination de GE, qui regroupe toutes les activités cleantech de l'américain (18 mds $ de revenus en 2009, 15 mds en R&D d'ici 2015), Nucleus est le premier produit d'une gramme technologique baptisée Brillon et tournée vers les solutions de gestion énergétique de la maison. A terme, l'électroménager communicant développé par GE devrait pouvoir inter-agir avec Nucleus, ce dernier devenant aussi une plateforme de contrôle.
La concurrence sur le marché prometteur de la gestion énergétique de la maison s’organise. A côté de pléthore de sociétés américaines, comme 4Home ou Ameresco, on trouve les géants de l'informatique tels Google, Microsoft et Cisco, ou encore Apple. En France, Schneider Electric et Legrand se positionnent, de même que des start-up comme Watteco ou GridPocket.
Publié par Alexandre Simonnet
Despite all of the hullabaloo over consumer backlash against smart meters, the investment in smart meters will actually only make up a small percentage of the spending for the entire smart grid, according to a report from research firm ABI Thursday morning. ABI says that while $41 billion will be invested into adding digital intelligence to utilities’ transmission and distribution networks between now and 2015, only $4.8 billion (around 10 percent) will be spent on smart meters over that time period.
That financial break puts the entire smart grid into perspective, and is something we’ve pointed out several times before. The smart grid is still a very large market and opportunity despite how fast or slow, or successful — or not successful — utilities’ smart meter projects end up being.
Now if only 10 percent (not 99 percent) of the mainstream media stories on the smart grid were about smart meters. But the transmission and distribution portion of the smart grid doesn’t sit on the outside of a consumer’s home, so it’s not as fun to write about (except for smart grid cyber spies!).
There is actually a significant problem with the general public equating “smart grid” with the angry news stories about smart meters, so clearly there is more education needed. Smart grid vendors and utilities have recently been responding with more public education and community groups, particularly in California.
As far as ABI’s overall smart grid market prediction goes, comparing it to forecasts from research firms makes it seem like ABI low-balled it a bit. According to Pike Research (yes, they’re bullish on most things) the smart grid have an estimated $210 billion in cumulative investment between 2010 and 2015.For more research on the smart grid check out GigaOM Pro (subscription required):
With the unfolding of a smart grid the operators are currently interested in new models of pricing that have become available thanks in part to new infrastructures. Among them the:”Time of Use” and “Net Metering”. “Time of use” is a model defining pricing in advance depending on different periods of the year and based on prior estimations of electric demand. Typically the consumer can get the rates on the internet, therefore allowing him to adapt his demand. The pricing grid is updated twice a year. “Net Metering” is a model in favor of renewable energy giving the possibility to equipped consumers of such production capability that they can resell their electricity to the operators. The price of repurchasing electricity is based on the model “Time of use”, however if the consumer produces a surplus of energy in relation to his usage the operator does not reimburse the difference.
Watteco, a French startup providing PLC solutions, will undertake the American market.
Watteco, a new French company has launched itself into the smart grid market and more specifically in the market of energy management. The company has developped a chip, Watt Pulse Communication, based on Powerline Communication technology (PLC). Thanks to this technology, the French startup provides a solution which allows sending of information through copper cables used for the electric network. The advantage of this type of communication is that it offers a solution to range limitations and to problems of autonomy linked to wireless communications. Thanks to registered patents, Watteco is currently the only one on the market to offer a low power chip based on the CPL (using approximately 100 times less energy than the traditional CPL usage). Low power is the determining factor in limiting the size of supply to the chip. In this manner Watteco has succeeded in producing a complete modem whose size is approximately comparable to a sugar cube, much smaller than the standard size which is closer to a large box of matches. Keep reading →
It’s about speed, scale and making money, GE’s CEO Jeff Immelt told me in an exclusive interview in reference to GE’s $200 million smart grid fund that it unveiled on Tuesday at a splashy media event at the Bentley Reserve in downtown San Francisco. GE plans to offer up $100 million, with its venture capitalist partners doling out another $100 million, that will be invested into startups that have built the latest cutting edge smart grid technology.
I asked Immelt why does GE and its VC partners, which includes Kleiner Perkins, Foundation Capital, Rockport Capital and Emerald Technology Ventures, feel the need to move so fast when finding these smart grid partners? Particularly in light of the fact that a time crunch potentially rushed the allocation of the stimulus funds for the smart grid as well as the DOE loan guarantees.
Mais quelle mouche a donc piqué la présidente d'ERDF ?
La nouvelle présidente d'ERDF, Michèle Bellon, attaque de front le photovoltaïque.
En réaction aux propos tenus dernièrement par Michelle Bellon, présidente d'ERDF, le CLER a rédigé une tribune détaillant ses positions. Point de Vue de : Hélène Gassin, vice-présidente de la Région Ile-de-France, Denis Baupin, maire-adjoint de la Ville de Paris et Didier Lenoir, vice-président du CLER
A peine nommée à la tête d'ERDF, la filiale d'EDF chargée de la gestion des réseaux de distribution d'électricité qui, faut-il le rappeler, appartiennent depuis toujours aux communes la nouvelle présidente, Michelle Bellon, attaque de front le photovoltaïque. Ainsi, le développement futur de la filière préférée des Français, impulsé par le Grenelle de l'environnement, serait la principale cause de soucis pour son mandat.
Accusés ; les gigantesques besoins d'investissement qui seraient nécessaires, la complexité de la gestion du réseau qui en résulterait et les risques de coupures qu'il ferait peser sur les 34 millions de consommateurs, autant dire sur tout un chacun. Aucun de ces arguments ne résiste à l'analyse. Le photovoltaïque, pour peu que l'on sache anticiper sa montée en puissance, ne présente aucun danger ni aucun coût additionnel pour le réseau à court, moyen et long terme. Le marginaliser et tenter de freiner son développement n'aura qu'un seul effet, le rendre plus cher du fait des incertitudes générées chez les opérateurs.
Au contraire, le développement du photovoltaïque est en mesure d'améliorer la qualité du courant fourni. Il peut apporter à moindre coût aux gestionnaires des réseaux des 'services-systèmes' dont ils seront de plus en plus friands. Ces faits ont été démontrés à l'occasion d'une enquête réalisée auprès de plusieurs dizaines de gestionnaires de réseaux dans le monde entier dans le cadre de travaux menés par l'Agence internationale de l'énergie et publiée en 2009.
Le photovoltaïque compte parmi les très rares filières de production d'électricité qui peuvent être installées au coeur même de nos villes et de nos villages, à proximité immédiate des points de consommation, en évitant au passage des pertes en lignes chiffrées à 10 %, pas moins de six réacteurs nucléaires. Il constitue ainsi une étape indispensable pour aller vers les 'bâtiments à énergie positive', qui seront la règle demain après avoir fait l'objet d'un consensus de tous les acteurs du Grenelle. Mais surtout, le photovoltaïque, en tant que source de production décentralisée à très fort potentiel de développement, représente une formidable opportunité pour donner à ce bien commun irremplaçable qu'est le réseau de distribution une nouvelle raison d'être au service de l'intérêt général.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
Le V2G, ce sont des véhicules électriques et hybrides plug-in (à brancher) capables d'envoyer l'énergie de leur batterie vers le réseau électrique. Un moyen pour les distributeurs d'électricité de répondre ponctuellement aux pics de consommation d'énergie, et aux propriétaires des véhicules de devenir des fournisseurs d'énergie en vendant l'électricité stockée dans leur automobile quand celle-ci est en stationnement.
Pour autant, le marché du V2G n'est pas près de décoller, avec 1,7% du marché des véhicules en 2020, selon le cabinet américain Zpryme, dans une étude commandée par l'alliance Zigbee (sociétés réunies autour du protocole éponyme sur les communications sans fil).
De 2015 à 2020, la part du marché mondial du V2G pourrait passer de 0,1% (103.000 unités) à 1,7% (1.06 million de véhicules), sur un marché estimé respectivement à 81 millions et 89 millions de véhicules vendus (toutes motorisations confondues), selon Zpryme. Une goutte d'eau dans un océan de voitures à combustion !
Le décollage de cette technologie sera aussi long que le décollage du véhicule électrique. Les véhicules électriques ne représenteraient que 0,5% du marché environ en 2015 par exemple, selon les experts du cabinet PricewaterhouseCoopers Automotive Institute.
Spectrum Bridge, the leader in providing spectrum and technology for wireless networking, today announced a relationship with GE Energy to offer a new wireless network solution utilizing the licensed 218-219 MHz (IVDS) band for use in Smart Grid and other mission critical applications.
Using Interactive Video & Data Service (IVDS) spectrum auctioned in 1994, coupled with GE’s MDS SD2 radio, the use of this previously underutilized and unencumbered spectrum can now be used for industrial enterprise markets supporting Smart Grid Automated Metering, SCADA, Water/Wastewater control and Remote Monitoring.
| Challenges to Cisco's Smart Grid Strategy |
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| Cisco Smart Grid Strategy: The Grid's First Operating System |
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Landis+Gyr et CURRENT Group annoncent leur accord de partenariat ...
- L'accord de coopération permettra le déploiement de solutions de gestion de l'énergie de bout en bout, intelligentes, entièrement ouvertes et interopérables au Portugal et en Espagne, deux des marchés européens de réseaux intelligents qui connaissent une croissance des plus rapides.
- Le partenariat apporte le logiciel de norme PRIME de CURRENT dans le portefeuille de solutions Gridstream de Landis+Gyr, fournissant un système interopérable, clé à l'offre future de solutions de multi-énergie aux marchés de la péninsule Ibérique.
Securing the Smart Grid Utility AutomationElectric Light & Power
By Narasimha Chari, Tropos Networks
The evolution of the power grid into the smart grid will involve the expansion and integration of advanced communications and information technology into all aspects of utility operations, from power generation to the point at which power is used. Utilities will have a whole new level of visibility and control of applications and devices that will help improve grid reliability and efficiency. Data will be available and will benefit customers and utilities. Centralized visibility and control of systems and devices will help increase overall grid reliability and enable more real-time decision-making. With the evolution of the smart grid, data volume is vastly increased and highly distributed, making a utility’s approach to security a new challenge that requires a new approach.
Telvent is one of only two companies, including General Electric (GE), that have achieved recognition by EPRI for its OMS solution, the company said in a statement. The test demonstrated the reliability of the solution by seemlessly integrating it with other industry providers’ technology.
“Telvent provides utilities across the globe with smart grid solutions that can complement and improve their current technology and information systems,” said Ignacio González, Telvent CEO. “As the world moves closer to a smart grid, Telvent recognizes the importance of industry-wide standards and is honored to be one of only two companies to earn this recognition for our OMS solution.”
All Telvent smart grid technology offers standards-based interoperability aligned with government and industry priorities. This is key to the concept of a smart grid, which can only be achieved through the collaboration of multiple devices and software from many different providers.
Trilliant, vétéran du smartgrid depuis 20 ans, qui fournit aux compagnies d'électricité des logiciels et systèmes pour transmettre des données sans fil entre les réseaux et les compteurs intelligents installés chez les usagers (fournis par lui ou par d'autres) a encore levé 106 millions de dollars, auprès de poids-lourds américains et internationaux.
Trilliant Incorporated, a leader in delivering Smart Grid solutions that enhance energy efficiency, utility operations, and renewable resource integration, today announced that it has closed financing totaling $106 million from a global syndicate of industry and financial leaders.
The financing round was led by two highly-respected financial investors, Investor Growth Capital (the wholly-owned venture arm of Investor AB of Sweden) and VantagePoint Venture Partners and two leading global grid-related equipment companies, ABB and GE. The financing, which was coordinated by Deutsche Bank, also includes a significant credit facility from a major venture credit provider as well as continuing financial support from existing investors MissionPoint Capital Partners and zouk ventures. The new investment will be used to finance Trilliant’s continued growth in North America and globally.
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