Partant d’un constat – l’engouement pour les énergies renouvelables et les difficultés à accéder à ces technologies – Christophe Bayart a décidé de créer La Maison Positive,un site marchand dédié aux énergies renouvelables et aux économies d’énergie. Cet entrepreneur de 34 ans mise, après sept années d’expérience dans le domaine du génie climatique, sur une plateforme qui propose des informations, des guides et des annuaires, ainsi qu’une section marchande d’équipement. Une offre qui s’appuie sur de nombreux partenariats avec les marques des différentes familles de l’énergie “verte” et des prix réduits. L’interface marchande du site, ludique et claire, regroupe six familles (chauffage, ventilation, eau, électricité, extérieur et accessoires) pour une gamme allant de la simple ampoule à économie d’énergie jusqu’au système de pompe à chaleur
Sept personnes ont été récompensées par le Goldman Environnemental Prize. Elles se sont distinguées dans la lutte pour la protection de l'environnement. Lutter contre des chantiers de démolition de bateaux au Bangladesh, contre la pollution chimique héritée de l'URSS, contre les compagnies minières dans les Appalaches, autant d'actions récompensées par le Goldman Environnemental Prize. Ce prix remis lundi 20 avril à San Francisco récompense sept «héros» de l'environnement en Afrique, Asie, Europe, Océanie, Amérique du Nord et en Amérique latine. Parmi les sept lauréats, le Gabonais Marc Ona Essangui a été distingué pour avoir dénoncé un accord entre le gouvernement gabonais et une entreprise minière chinoise mettant en danger la forêt équatoriale de son pays et notamment le parc national d'Invindo. Le président de Brainforest, organisation environnementale gabonaise, est parvenu à faire accepter par le gouvernement une réduction de la taille de la concession minière. Comme les six autres lauréats, Marc Ona Essangui a reçu 150 000 dollars (116 000 euros) pour poursuivre ses actions. Générosité En bref Environnement Monde



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Le groupe Bolloré envisage d'investir 1,2 milliard de dollars pour exploiter les réserves de lithium de Bolivie. Mardi, le Président Evo Morales a déclaré que des discussions dans ce sens étaient en cours. "Nous n'avons pas encore conclu d'accord" a toutefois prévenu le Président. Celui-ci dit vouloir que le projet implique au mieux l'industrie locale.On estime à 5 millions de tonnes les réserves de minerai boliviennes, soit la moitié du lithium dans le monde. Le site dont il est question se situe dans le désert de sel d'Uyuni, dans le sud-ouest du pays. Le lithium est notamment utilisé pour les batteries des véhicules électriques.Le groupe Bolloré a mis au point une batterie lithium métal polymère à haute performance, permettant à un véhicule électrique de rouler à 125 km/h pendant 250 km. Cette batterie équipe les véhicules Bluecar, qui seront prochainement proposées à la location. Le lithium bolivien intéresse également les groupes LG, Mitsubishi et Sumitomo.













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