Un peu plus d'un an après avoir renoncé à investir dans des sociétés produisant des mines antipersonnelles (MAP), le groupe AXA vient d'annoncer qu'il renonçait également à investir chez les producteurs de "bombes à sous-munitions" (BASM), des armes autorisées par la convention de Genève mais critiquées par de nombreuses associations en raison du risque qu'elle font peser sur les populations civiles lors des conflits armés. Selon l'association "Non aux BASM" http://www.sousmunitions.org , ces armes sont encore produites par plus de 85 entreprises dans 34 états différents dont la France, les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la Russie ou encore Israël.
Selon l'association "[Non aux BASM]url:
http://www.sousmunitions.org , ces armes sont encore produites par plus de 85 entreprises dans 34 états différents dont la France, les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la Russie ou encore Israël. Sur les 440 millions de sous-munitions dispersées dans différentes zones de conflit, près de 132 millions n'auraient pas explosé, menaçant de mutilation ou de mort plus de 400 millions de personnes.