IBM has joined the $100 million Smart Grid, Smart City initiative as the systems integration partner. In addition to IBM, the EnergyAustralia Consortium consists of GE Energy Australia; AGL, Sydney Water, Hunter Water and Newcastle City Council. Under terms of an agreement with EnergyAustralia, IBM will deliver distributed generation, smart metering, and demand management solutions for what is Australia’s first smart grid network. The three-year project will test smart grid technologies in up to 50,000 NSW households.
The Smart Grid Smart City agreement calls for the installation of smart meters in the Hunter Valley and Sydney. Up to 20,000 houses will be equipped with in-home displays that enable consumers to track their energy use. Residents in ten percent of these homes will be able to control their energy devices using mobile devices such as the iPhone.
Glen Boreham, Managing Director of IBM Australia & New Zealand, called the Smart Grid, Smart City demonstration “a critical step in developing the necessary infrastructure meeting the energy demands of Australian citizens into the future. One of IBM’s key priorities is to help utility companies transform energy, environmental and sustainability issues into opportunities that positively impact the world. Being a member of the consortium that will carry out this project is a reflection of IBM’s commitment to the energy industry and our vision for a smarter planet.”
IT News reports that EnergyAustralia smart grid manager Adrian Clark says the demonstration tests business assumptions alongside technology deployed in real-world conditions. He also says the data generated during the trial will be critical for a wider smart grid rollout. “Data will inform how we as an industry understand those [customer] benefits and create products and technology. It’s not just technology; it’s also the business context in which that technology fits.”
Définir les enjeux, mobiliser les acteurs publics et privés, valoriser les initiatives, élaborer des propositions de recherche et de mise en oeuvre, tels sont les objectifs d'un nouveau programme sur les Smart Grids (réseaux électriques intelligents), lancé le 5 octobre à Paris, lors du forum Green IT.
L'institut Télécom et l'Association communication et information pour le développement durable (Acidd) se sont associés pour ce projet qui a reçu le soutien de l'Agence européenne pour l'environnement, de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe), de l'Afnor, de la Fédération française des télécoms, de la délégation aux usages de l'internet et du pôle de compétitivité francilien Cap Digital.
Le secrétariat d'Etat chargé du Numérique, également partenaire, a rappelé que les collectivités territoriales avaient un rôle déterminant à jouer dans cet effort d'économie énergétique au moyen des réseaux de télécommunication, notamment en adaptant les bâtiments publics ou les transports collectifs. Le concept de "ville numérique" est également à l'interface de ces sujets. Pour preuve, 250 millions d'euros sont consacrés au Smart Grid sur l'enveloppe des investissements d'avenir (ex-"grand emprunt"). L'Ademe, qui gère ce budget, sera amenée à lancer prochainement des appels à projets et à manifestations d'intention comme ceux déjà en cours pour les infrastructures à très haut débit en fibre optique ou les nanotechnologies.
Par ailleurs, si l'objectif de faire des économies d'énergie rencontre un large consensus, la mise en place de compteurs intelligents ou de plateformes de services pour partager la consommation électrique pose question au regard de la protection de la vie privée. La Commission nationale de l'informatique et des libertés l'a rappelé cet été. "Il faut réussir à mettre d'accord les collectivités, les opérateurs de réseaux, les start-up et les consommateurs pour moins gaspiller et être plus efficace", a conclu Gilles Berhault, président d'Acidd, en charge d'une mission de coordination sur le développement durable à la direction scientifique de l'institut Télécom. Cinq groupes de travail devraient être constitués dès novembre. Les collectivités intéressées sont appelées à y participer. Le prochain rendez-vous est fixé au forum Green and Connected Territories, les 9 et 10 décembre, à Strasbourg.
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