C'est une véritable offensive des défenseurs de l'énergie nucléaire qui est actuellement en cours et la France y contribue activement. Le but : amalgamer les énergies renouvelables et nucléaire pour ne plus les opposer, créer une catagorie juridique commune à toutes ces énergies en prétendant qu'elles présentent un point commun, à savoir qu'elles seraient tout autant décarbonées.
Alors que la publicité AREVA tente de nous convaincre que le nucléaire serait, au même titre que les énergies éolienne et solaire, une "énergie avec moins de CO2", l'Etat français défend à Bruxelles l'idée qu'il conviendrait de ne plus distinguer les énergies nucléaire et renouvelables.
Cette stratégie vient d'être en partie couronnée de succès. Pour le vérifier, il convient de lire les conclusions du Conseil européen de l'énergie qui s'est tenu aujourd'hui. Rappelons que le Conseil européen de l'énergie est l'une des plus importantes instances de décision de l'Union européenne.
Or, aux termes de ces conclusions précisent que, la poursuite des objectifs de la politique énergétique de l'Europe, et notamment ceux relatifs à la lutte contre le changement climatique, supposer le recours, à l'efficacité énergétique, aux énergies renvouvelables
C'est une véritable offensive des défenseurs de l'énergie nucléaire qui est actuellement en cours et la France y contribue activement. Le but : amalgamer les énergies renouvelables et nucléaire pour ne plus les opposer, créer une catagorie juridique commune à toutes ces énergies en prétendant qu'elles présentent un point commun, à savoir qu'elles seraient tout autant décarbonées.
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