Les chercheurs du New Jersey Institute of Technology ont développé une cellule solaire peu coûteuse qui peut être peinte ou imprimée sur des feuilles plastiques souples.
Ce système, au doux nom aisé à retenir de mur de nanotube fullerène à couche mince pour des cellules polymère photovoltaïques à bloc de jonction hétérogène (traduction personnelle, sûrement à améliorer de "fullerene single wall carbon nanotube complex for polymer bulk heterojunction photovoltaic cells") est le sujet de tête du l'édition du 21 juin du Journal of Materials Chemistry, publié par la Royal Society of Chemistry. Nous proposerons ce journal pour un prochain concours de ponctuation.
Les panneaux solaires actuels ont besoin de silicone purifiée. Ce n'est pas le genre de matériau qui peut être réalisé dans un abri de jardin.
Mitra indique que développer des cellules solaires organiques à partir de polymères est un solution peu onéreuse et relativement simple. Elles peuvent être imprimées ou simplement peintes sur les murs extérieurs ou les toits des bâtiments pour un coût dérisoire.
La cellule solaire développée au NJIT utilise des nanotubes de carbone en tant que spires et les associe avec des billes de carbone (appelées fullerènes). Si le polymère est excité par des électrons, les billes les capturent. Les nanotubes, en se comportant comme des boucles de cuivre conductrices, sont ensuite capables de transporter le courant là où on le souhaite.
Par Dominique Colombani traduit et adapté d’un article de Nick Farrell pour INQ