Il annonce enfin qu’il veillera personnellement à ce que le Grenelle de l’environnement débouche sur le maintien de la politique actuelle et surtout de son extension.

Les faucheurs volontaires, auxquels j’appartiens, vont donc avoir du pain sur la planche si Sarkozy reprend à son compte un tel plaidoyer dont on imagine aisément qu’il a été dicté par les multinationales qui n’ont cure de l’intérêt des consommateurs mais se soucient avant tout de celui de leurs actionnaires.

Si le Grenelle de l’environnement se déroule de la même façon sur les autres thèmes, il aura servi à démonter que l’écologie forme un tout et que l’on ne peut dissocier les questions environnementales des autres aspects, notamment de santé et économiques.