Réchauffement climatique, biocarburants et déficit en installations sanitaires seront au centre des débats de la Semaine de l'eau qui se déroule cette semaine à Stockholm. Quelque 2500 experts du monde entier participeront à cette 17e édition annuelle, intitulée "Progrès et perspectives dans le domaine de l'eau: pour un développement durable dans un monde qui change".
Au programme : conférences et ateliers de réflexion animés par des représentants de gouvernements, d'entreprises, des experts, des membres d'ONG et des responsables des Nations unies.
L'Institut international de l'eau à Stockholm (SIWI), principal organisateur de cet événement, rappelle que l'eau joue un rôle prépondérant dans le phénomène de réchauffement climatique. En effet, près de 80% des catastrophes naturelles enregistrées au cours de la décennie 1996-2005 étaient d'origine météorologique ou hydraulique. Quant aux inondations, qui auraient affecté en moyenne 66 millions de personnes par an entre 1973 et 1997, elles représentent toujours les catastrophes naturelles faisant le plus de dégâts.
La question des biocarburants, dont la production à grande échelle est très gourmande en eau, sera également abordée au cours de cette semaine de réflexion.
La Semaine mondiale de l'eau attirera enfin l'attention des gouvernements et des populations sur l'urgence de développer les installations sanitaires un peu partout dans le monde. En effet, près de la moitié de la population mondiale n'auraient toujours pas accès à ce type d'installation à ce jour, situation qui n'est pas sans poser d'importants problèmes sur le plan sanitaire. Une volonté soulignée par un slogan des plus humoristiques : "Dépêchez-vous! 2,6 milliards de gens font la queue pour les toilettes".
L'Institut international de l'eau à Stockholm (SIWI), principal organisateur de cet événement, rappelle que l'eau joue un rôle prépondérant dans le phénomène de réchauffement climatique. En effet, près de 80% des catastrophes naturelles enregistrées au cours de la décennie 1996-2005 étaient d'origine météorologique ou hydraulique. Quant aux inondations, qui auraient affecté en moyenne 66 millions de personnes par an entre 1973 et 1997, elles représentent toujours les catastrophes naturelles faisant le plus de dégâts.
La question des biocarburants, dont la production à grande échelle est très gourmande en eau, sera également abordée au cours de cette semaine de réflexion.
La Semaine mondiale de l'eau attirera enfin l'attention des gouvernements et des populations sur l'urgence de développer les installations sanitaires un peu partout dans le monde. En effet, près de la moitié de la population mondiale n'auraient toujours pas accès à ce type d'installation à ce jour, situation qui n'est pas sans poser d'importants problèmes sur le plan sanitaire. Une volonté soulignée par un slogan des plus humoristiques : "Dépêchez-vous! 2,6 milliards de gens font la queue pour les toilettes".
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