Grenelle de l'environnement : 13h24 : L'Union nationale de la propriété immobilière (UNPI) demande «l'étalement des mesures» sur le bâtiment «pour tenir compte de la capacité financière des propriétaires occupants», dans un communiqué publié jeudi.
Son président Jean Perrin souhaite aussi «que les mesures s'appliquent progressivement de façon à ne pas créer d'incidence négative sur l'accession à la propriété».
BLOG: les coulisses du Grenelle, c'est ici.
13h02: Jean-Louis Borloo annonce un gel sur les cultures de maïs génétiquement modifié jusqu'à l'examen de la loi sur les OGM «dès janvier 2008». «On garde le gel du Mon 810 (maïs transgénique produit par la société Monsanto, le seul OGM cultivé en France) jusqu'au vote de la loi qui interviendra avant les prochains semis», a-t-il déclaré.
12h18 : Nouveau changement. Une diminution de 50% de l'usage des pesticides dans l'agriculture française est bien actée mais elle est conditionnée à la mise en place de «méthodes alternatives» et sans calendrier, selon le relevé officiel de conclusion de la table ronde du Grenelle de l'environnement qui s'est tenue jeudi matin.
12h06 : Finalement, le Grenelle de l'environnement n'a pas tranché sur la réduction de moitié des pesticides en dix ans, mais juste rouvert le débat, a indiqué Alain Capmas, représentant du Medef.
11h36: Le Grenelle de l'environnement a décidé de créer une «trame verte» sur le territoire français, Outre-Mer compris, reliant les espaces naturels afin de faciliter la circulation des espèces sauvages, végétales et animales, a annoncé jeudi Allain Bougrain-Dubourg de la LPO.
Le Grenelle n'a pas tranché à ce jour le caractère juridiquement opposable de cette trame verte dans l'aménagement du territoire - qui permettrait aux écologistes de s'opposer à un chantier qui menacerait une ou plusieurs espèces.
10h16: Les participants au Grenelle de l'environnement se sont engagés à «réduire de moitié en 10 ans la fréquence de traitements des pesticides» dans l'agriculture française, a annoncé François Veillerette du Mouvement pour le respect des générations futures (MDRGF) qui participe aux négociations. «Le ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo a tranché. La FNSEA (le principal syndicat agricole) s'est trouvée isolée», a souligné François Veillerette pour qui il s'agit «d'une mesure forte».
9h42: Les participants au Grenelle de l'environnement se sont accordés sur un objectif portant la part du «bio» dans l'agriculture française à 6% en 2012 et 20% en 2020, contre 2% actuellement, ont rapporté les ONG.
8h07: Jean-Michel Lemétayer, patron du principal syndicat agricole français, la FNSEA, a affirmé qu'il n'accepterait «pas n'importe quoi» concernant la réduction de l'usage des pesticides. Evoquant la réduction des phytosanitaires de 50% en dix ans, réclamée par les écologistes, il a jugé que «ça mettrait la production en péril s'il y a une maladie et qu'on ne peut plus lutter contre».
7h51: Après une première journée fructueuse, les négociations du Grenelle de l'environnement ont repris jeudi matin à Paris, au ministère de l'Ecologie. Au menu, deux dossiers sensibles, les OGM et la réduction des pesticides. Le ministre de l'Agriculture Michel Barnier s'est joint aux débats.
Après la 4e et dernière table ronde en début d'après-midi, les conclusions du Grenelle seront examinées par le président Nicolas Sarkozy qui doit prononcer un discours à partir de 16h00. Le chef de l'Etat devra trancher sur la taxe carbone.
Son président Jean Perrin souhaite aussi «que les mesures s'appliquent progressivement de façon à ne pas créer d'incidence négative sur l'accession à la propriété».
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13h02: Jean-Louis Borloo annonce un gel sur les cultures de maïs génétiquement modifié jusqu'à l'examen de la loi sur les OGM «dès janvier 2008». «On garde le gel du Mon 810 (maïs transgénique produit par la société Monsanto, le seul OGM cultivé en France) jusqu'au vote de la loi qui interviendra avant les prochains semis», a-t-il déclaré.
12h18 : Nouveau changement. Une diminution de 50% de l'usage des pesticides dans l'agriculture française est bien actée mais elle est conditionnée à la mise en place de «méthodes alternatives» et sans calendrier, selon le relevé officiel de conclusion de la table ronde du Grenelle de l'environnement qui s'est tenue jeudi matin.
12h06 : Finalement, le Grenelle de l'environnement n'a pas tranché sur la réduction de moitié des pesticides en dix ans, mais juste rouvert le débat, a indiqué Alain Capmas, représentant du Medef.
11h36: Le Grenelle de l'environnement a décidé de créer une «trame verte» sur le territoire français, Outre-Mer compris, reliant les espaces naturels afin de faciliter la circulation des espèces sauvages, végétales et animales, a annoncé jeudi Allain Bougrain-Dubourg de la LPO.
Le Grenelle n'a pas tranché à ce jour le caractère juridiquement opposable de cette trame verte dans l'aménagement du territoire - qui permettrait aux écologistes de s'opposer à un chantier qui menacerait une ou plusieurs espèces.
10h16: Les participants au Grenelle de l'environnement se sont engagés à «réduire de moitié en 10 ans la fréquence de traitements des pesticides» dans l'agriculture française, a annoncé François Veillerette du Mouvement pour le respect des générations futures (MDRGF) qui participe aux négociations. «Le ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo a tranché. La FNSEA (le principal syndicat agricole) s'est trouvée isolée», a souligné François Veillerette pour qui il s'agit «d'une mesure forte».
9h42: Les participants au Grenelle de l'environnement se sont accordés sur un objectif portant la part du «bio» dans l'agriculture française à 6% en 2012 et 20% en 2020, contre 2% actuellement, ont rapporté les ONG.
8h07: Jean-Michel Lemétayer, patron du principal syndicat agricole français, la FNSEA, a affirmé qu'il n'accepterait «pas n'importe quoi» concernant la réduction de l'usage des pesticides. Evoquant la réduction des phytosanitaires de 50% en dix ans, réclamée par les écologistes, il a jugé que «ça mettrait la production en péril s'il y a une maladie et qu'on ne peut plus lutter contre».
7h51: Après une première journée fructueuse, les négociations du Grenelle de l'environnement ont repris jeudi matin à Paris, au ministère de l'Ecologie. Au menu, deux dossiers sensibles, les OGM et la réduction des pesticides. Le ministre de l'Agriculture Michel Barnier s'est joint aux débats.
Après la 4e et dernière table ronde en début d'après-midi, les conclusions du Grenelle seront examinées par le président Nicolas Sarkozy qui doit prononcer un discours à partir de 16h00. Le chef de l'Etat devra trancher sur la taxe carbone.