L'auteur de "La Planète bleue" revient avec un nouveau documentaire qui alerte sur les dangers qui menacent la planète, "Un jour sur Terre". Le film est sorti ce mercredi. Une oeuvre inédite et exceptionnelle pour (re)découvrir les merveilles de notre planète et mieux comprendre le danger du réchauffement climatique pour l'équilibre de la vie, telle que nous la connaissons.
La Terre, planète singulière et miraculeuse, la seule à porter la vie dans l'univers que nous connaissons. Alastair Fothergill, qui avait signé La Planète bleue en 2003, revient avec Un jour sur Terre, documentaire qui emmène le spectateur dans un périple de 1h40. D'un pôle à l'autre, le réalisateur nous invite dans l'intimité des tanières et des nids, se glisse au coeur des migrations géantes des caribous dans le grand Nord, accompagne l'épuisante quête d'eau des éléphants, attaqués par les lions dans le delta de l'Okavango, à la pointe australe de l'Afrique. Le film s'ouvre au début du printemps en Arctique, avec les premiers pas d'une ourse polaire et de sa progéniture sur une banquise presque fragile pour supporter leurs pas. De toundra en forêt tropicale, le voyage se poursuit vers le sud et se clôt sur la fin de l'hiver en Antarctique. Un film qui prend le parti des animaux et vient illustrer parfaitement ce que l'ancien vice-président américain Al Gore démontre et explique à propos du réchauffement climatique dans Une Vérité qui dérange. |
Cinq années de tournage auront été nécessaires à Alastair Fothergill et à son équipe pour réaliser Un jour sur Terre, spectaculaire périple à travers les saisons. L'objectif de cet ambitieux projet est de nous faire découvrir, grâce à des images d'une beauté à couper le souffle, toutes les splendeurs et les richesses de la Terre, et d'ainsi mieux nous alerter des dangers que fait peser le réchauffement climatique sur ce fragile équilibre.