Une conférence proposée par Nature & Découverte avec Nathalie Lebas, créatrice d’Ekyog le samedi 8 décembre de 10h à 12h Maison de la Mutualité, salon Monge- 24 rue Saint-Victor, Paris 5e - M° Maubert-Mutualité
Entrée gratuite, réservation obligatoire sur
www.natureetdecouvertes.com
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Aujourd’hui, les fabricants de textile cherchent du côté des fibres naturelles,
des fibres ancestrales mais aussi des fibres nouvelles comme le bambou ou
le Seacell®. Que penser de ces nouvelles fibres dites naturelles ? Que se
cache derrière les appellations « coton équitable » et « coton bio » ? Quel
impact ont nos vêtements sur la planète ?
des fibres ancestrales mais aussi des fibres nouvelles comme le bambou ou
le Seacell®. Que penser de ces nouvelles fibres dites naturelles ? Que se
cache derrière les appellations « coton équitable » et « coton bio » ? Quel
impact ont nos vêtements sur la planète ?
Le chanvre, le lin ou encore l’ortie font un retour remarqué dans le secteur du textile,
pourtant, leur utilisation est ancestrale : du chanvre, on faisait autrefois des cordages et des vêtements pour travailler dans les champs. Mais parce qu’elle est résistante et qu’elle pousse sans pesticide ni herbicide, on s’intéresse de nouveau à cette fibre rustique.
pourtant, leur utilisation est ancestrale : du chanvre, on faisait autrefois des cordages et des vêtements pour travailler dans les champs. Mais parce qu’elle est résistante et qu’elle pousse sans pesticide ni herbicide, on s’intéresse de nouveau à cette fibre rustique.
Mais attention, qui dit naturel ne dit pas forcément non polluant. Le coton en est un
exemple parlant : la culture du coton conventionnelle est en effet la plus polluante de la planète puisqu’elle utilise à elle seule 10 % des pesticides et 25 % des insecticides vendus dans le monde alors qu’elle ne représente que 5 % de la surface agricole ! Le coton, une fois récolté, est transformé à grand renfort de produits chimiques : blanchi au chlore puis teint avec des teintures à base de métaux de lourds.
exemple parlant : la culture du coton conventionnelle est en effet la plus polluante de la planète puisqu’elle utilise à elle seule 10 % des pesticides et 25 % des insecticides vendus dans le monde alors qu’elle ne représente que 5 % de la surface agricole ! Le coton, une fois récolté, est transformé à grand renfort de produits chimiques : blanchi au chlore puis teint avec des teintures à base de métaux de lourds.
Nathalie Lebas, ingénieur textile et fondatrice de la marque Ekyog précurseur dans le
domaine du coton bio, dressera le portrait des différents types de fibres (naturelles,
artificielles, synthétiques), leurs avantages et leurs inconvénients et esquissera le parcours d’une fibre, de sa culture à sa transformation jusqu’au vêtement. Un parcours démontrant qu’en raison de l’utilisation à tous les niveaux de produits chimiques, l’industrie textile est considérée comme l’une des plus polluantes.
domaine du coton bio, dressera le portrait des différents types de fibres (naturelles,
artificielles, synthétiques), leurs avantages et leurs inconvénients et esquissera le parcours d’une fibre, de sa culture à sa transformation jusqu’au vêtement. Un parcours démontrant qu’en raison de l’utilisation à tous les niveaux de produits chimiques, l’industrie textile est considérée comme l’une des plus polluantes.
Elle présentera également les nouvelles fibres naturelles bambou, Seacell® ou Tencel®, économiquement viables et écologiquement responsables, puis apportera son témoignage sur son travail avec les cultivateurs de coton bio en Inde.
Visuels et textes téléchargeables sur le site www.mlaonline.net
Service de presse Mariette Landon et Associés
Service de presse Mariette Landon et Associés
Contact Wendy Roeltgen
E-mail : [email protected] Tel : 01 53 24 99 19 – Fax : 01 48 00 94 60
E-mail : [email protected] Tel : 01 53 24 99 19 – Fax : 01 48 00 94 60