Le 1 avril 2008, Maison de la RATP, 187 rue de Bercy, 75012 Paris. Ce colloque, organisé par L’ADEME, l'AMORCE (Association de collectivités et de professionnels concernés par la gestion des déchets, les réseaux de chaleurs et la gestion locale de l'énergie), l'ANAH (Agence Nationale de l'Habitat) et Projet européen EPEE , l’ANAH et AMORCE, présentera des exemples d’actions de prévention par la maîtrise de l’énergie mises en œuvre par des collectivités. Il sera ouvert par Martin Hirsch, commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté et clôturé par Chantal Jouanno, présidente de l’ADEME. Inscrivez-vous
Les conclusions du Grenelle de l’Environnement montrent qu’avec l’urgence de la rénovation du parc de logements existants, il est impératif d’améliorer les conditions d’accès à l’énergie des ménages les plus modestes et de mener des actions spécifiques de lutte contre la précarité énergétique.
La Fondation Abbé Pierre pour le logement des défavorisés, estime que 10% des familles n’ont pas les moyens de se chauffer correctement. De 1992 à 2000, le nombre de ménages ayant bénéficié d’une aide pour une situation d’impayé de facture d’énergie est passé de 52 000 à 230 000. Cela représente un coût pour la collectivité estimé à plus de 200 millions d’euros par an.
L’augmentation du prix de l’énergie accélère la progression de la précarité énergétique et de ses conséquences sociales, sanitaires, économiques et environnementales. Les aides apportées par les Fonds de solidarité pour le logement (FSL) à une famille en situation d’impayé d’énergie sont trop souvent gérées dans l’urgence, sans action sur les causes de l’impayé.
Ce colloque, organisé par l’ADEME, AMORCE et l’ANAH, avec le soutien du projet européen EPEE (programme Énergie Intelligente pour l’Europe) reviendra sur le contexte alarmant de cette problématique et présentera des exemples de prévention par la maîtrise de l’énergie qui fonctionnent et doivent être déployés.
Il s’adresse aux Conseils Généraux, élus et personnels des services, qui ont la responsabilité des Fonds de solidarité pour le logement et de manière générale, aux collectivités travaillant dans le domaine du social, du logement ou de l’énergie. Il s’adresse également aux responsables de patrimoine, aux bailleurs sociaux et privé, aux services décentralisés de l’État et aux associations concernées par la précarité énergétique.
La Fondation Abbé Pierre pour le logement des défavorisés, estime que 10% des familles n’ont pas les moyens de se chauffer correctement. De 1992 à 2000, le nombre de ménages ayant bénéficié d’une aide pour une situation d’impayé de facture d’énergie est passé de 52 000 à 230 000. Cela représente un coût pour la collectivité estimé à plus de 200 millions d’euros par an.
L’augmentation du prix de l’énergie accélère la progression de la précarité énergétique et de ses conséquences sociales, sanitaires, économiques et environnementales. Les aides apportées par les Fonds de solidarité pour le logement (FSL) à une famille en situation d’impayé d’énergie sont trop souvent gérées dans l’urgence, sans action sur les causes de l’impayé.
Ce colloque, organisé par l’ADEME, AMORCE et l’ANAH, avec le soutien du projet européen EPEE (programme Énergie Intelligente pour l’Europe) reviendra sur le contexte alarmant de cette problématique et présentera des exemples de prévention par la maîtrise de l’énergie qui fonctionnent et doivent être déployés.
Il s’adresse aux Conseils Généraux, élus et personnels des services, qui ont la responsabilité des Fonds de solidarité pour le logement et de manière générale, aux collectivités travaillant dans le domaine du social, du logement ou de l’énergie. Il s’adresse également aux responsables de patrimoine, aux bailleurs sociaux et privé, aux services décentralisés de l’État et aux associations concernées par la précarité énergétique.