Le rapport fait également état de préoccupations au sujet d'actes de violation des droits de l'homme perpétrés aussi bien par le gouvernement que par les forces rebelles, ainsi que du non respect de l'accord-cadre pour les consultations nationales sur les mécanismes de justice transitionnels. Le Secrétaire général relève également que l'engagement de la Commission de consolidation de la paix fourni un appui précieux pour promouvoir la stabilité et empêcher le Burundi de sombrer de nouveau dans la violence généralisée.