Copenhague s'ouvre sous de meilleurs auspices que prévu
La venue du président américain en fin de négociation est un signal positif. Le secrétaire général des Nations unies demande aux chefs d'Etat de mettre en place une aide annuelle de 10 milliards de dollars pour les pays en développement. A priori, la nouvelle paraît banale. Vendredi, la Maison-Blanche a annoncé la décision du président Barack Obamade retarder son arrivée à Copenhague, prévue normalement mercredi, et de la reculer à la fin de la semaine prochaine. Mais pour les quelque 20.000 négociateurs, représentants des ONG, des milieux d'affaires ou syndicalistes à peine arrivés dans la capitale danoise, cette décision vient confirmer le sentiment que les lignes sont en train de bouger. Et que la conférence des Nations unies sur le climat a une petite chance d'aboutir sur un texte politique ayant du sens.
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