Brent Constantz, un scientifique américain de la société californienne Calera a réussi à lier le CO2 émis par une centrale électrique à des atomes de calcium ou de magnésium pour en faire du ciment. Une technique qui pourrait permettre d´associer l´industrie cimentière, responsable d´environs 5 des émissions de CO2 dans le monde, à la lutte contre l´effet de serre. Plus d’infos : La news de venturebeat A secretive Silicon Valley company called Calera says it can stop global warming and ocean acidification by pulling greenhouse gas out of the atmosphere. Carbon Sciences, autre compagnie Californienne, estime qu’une voie prometteuse est l’utilisation des résidus miniers, dont l’Ouest américain regorge. Ceux-ci, une fois finement broyés, sont susceptibles de réagir avec le CO2. Carbon sciences espère avoir un pilote opérationnel d’ici 24 à 36 mois. Ces voies, si elles sont encore expérimentales, sont intéressantes alors même que le n°2 du DOE, le Dr Ray Orbach, a clairement exprimé ses doutes quant aux possibilités de séquestration à grande échelle du CO2 issu des centrales au charbon. Les experts s’accordent néanmoins sur le fait qu’une certaine résistance de la profession du bâtiment et des travaux publics risque de retarder l’adoption de nouvelles formules pour le ciment.
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