« 31 janvier 2011 - 6 février 2011 | Accueil | 14 février 2011 - 20 février 2011 »
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O2 in the UK has announced that it has signed a multi-million pound contract with G4S Utility Services, one of the UK’s largest providers of Smart metering and field services, to simplify the remote management and monitoring of the company’s national Smart meter network.The new partnership marks O2’s first move into the Smart metering market, which is set for huge growth as utility providers roll out Smart meters in households to meet the government’s 2020 deadline. In a multi-million pound deal over three years, O2 will provide M2M technology, including around 150,000 SIM cards, to connect Smart meters across the UK to G4S’ data centre.
G4S will use O2’s SMS gateway to securely relay information from its Smart meters to its data centre and back again. Outbound messaging will allow G4S to monitor the working order of its Smart meters remotely reducing the cost of maintenance and servicing as well as carbon emissions associated with travel. The deal will also see O2 providing G4S with the connectivity to run the annual testing of its disaster recovery process. Ben Dowd, Business Sales Director, O2, said: “We believe there are real opportunities to use our network to accelerate the roll out of Smart meters by helping utilities companies and other suppliers to deploy and manage the devices in a quicker and more cost effective way. We’re delighted to announce the substantial deal with G4S, and are confident this partnership will create further new revenue opportunities for both parties.”
The deal follows hot on the heels of an announcement by G4S that it has signed a three year contract with British Gas Business to deliver end-to-end Smart gas and electricity metering services across the whole of Great Britain. Kim Challis, Managing Director of G4S Utility Services, commented: “The provision of O2’s SMS gateway technology will greatly enhance the remote monitoring of our Smart metering provision, providing a more efficient cost effective service to our customers. We are looking forward to rolling out this technology during our Smart metering installation phase.” Ben Dowd concluded: “G4S is a major player in the Smart metering market and this deal builds on our expertise of delivering streamlined communications on a global scale. We’re proud to be their provider of choice.”
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Balises: G4S Utility Services
Télécharger l'appel à manifestations d'intérêt
Les projets retenus permettront de :
Ils permettront également d’aider les industriels français à renforcer leur compétitivité sur ces marchés notamment au niveau international.
Date et heure limite de dépôt des dossiers : 2 mai 2011 à 15h
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Balises: Appel à Manifestations d'Intérêt Photovoltaïque
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Les mardis durables du Palais, c’est le nom donné au cycle de conférences sur le thème “Energie & Développement Durable” organisé par le Palais de la Découverte et parrainé par l’Ademe. Les mardis durables débuteront le 15 février. Ils se prolongeront jusqu’au 31 mai 2011. Les ambitions des mardis durables sont de faire le point sur la stratégie nationale et européenne dans le domaine de l’énergie. Plusieurs tables rondes associeront industriels et scientifiques. Elles aborderont notamment les besoins croissants en énergie, la raréfaction des sources d’énergies fossiles et les enjeux énergétiques.
Daniel Clément, directeur scientifique adjoint de l’Ademe, interviendra lors de la première table ronde sur le thème “Les îles, terres d’innovation pour les réseaux électriques intelligents”.
Autres thématiques abordées:
- Le 8 mars 2011: CO2, enterrer le problème?
- Le 5 avril 2011: Profiter du soleil
- Le 3 mai 2011: Convertir l’énergie des mers
- Le 31 mai 2011: Hydrogène, l’avenir est en marche
Programme détaillé des conférences sur le site du Palais de la Découverte
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LIFE+, the Financial Instrument for the Environment, has entered into force with the publication of the Regulation in the Official Journal L149 of 9 June 2007. View the LIFE+ Regulation
Update December 2010 The 2011 call for proposals will be published in Mid-February 2011, with a deadline for submission for the end of Mid-July. Applicants may already begin preparing their proposals on the basis of the 2010 application package, but should be aware that there may be some small changes in the 2011 application package and very possibly a major change in the submission procedure.
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Control4, start-up américaine de domotique et de gestion de l’énergie, avait déjà levé en tout 75 millions de dollars auprès de fonds de capital-risque : cette fois c’est auprès de trois nouveaux
« investisseurs stratégiques » non dévoilés qu’elle a encore levé 25 millions de dollars
Strategic Investors’ Lead $25M Funding Round for Control4
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Concurrence dans l’électricité : cette fois-ci c’est la bonne ?
Il fut abondamment question de l’application de la loi NOME (Nouvelle organisation du marché de l’électricité), bien évidemment, à la conférence Energie 2011 des Echos, le 10 février à Paris. Même si la volonté d’EDF de préserver sa position dominante fait toujours peur, certains semblaient croire enfin à un vrai démarrage de la concurrence sur le marché de l’électricité français. A commencer par Louis-Jacques Urvoas, directeur du marketing stratégique à la direction commerciale d’EDF qui dit organiser ses troupes pour cette « étape très importante » en « rapprochant les équipes du front office ». Preuve que certains concurrents y croient aussi, Frédéric de Maneville, président de Vattenfall France, filiale du groupe suédois, s’inquiétait déjà de ce qui arrivera lorsque les concurrents se seront partagés l’intégralité de l’ARENH (Accès régulé à l’électricité nucléaire historique) que EDF doit leur céder, plafonné par la loi à 100 terrawats heure soit environ 25% de la production de l’entreprise nationale. A la tribune les participants se regardaient parfois comme des sportifs qui vont bientôt s’affronter.
La grande inconnue du match dont le coup d’envoi doit être donné le 1er juillet reste bien évidemment le coût d’accès à cette « rente nucléaire » que les concurrents rêvent à 35 euros le mégawatheure en moyenne pour commencer tandis qu’EDF s’estimera volée à moins de 42. Plusieurs concurrents continuent à exprimer la crainte du « ciseau tarifaire » qui leur ferait acheter le gros de leur électricité à un tarif ne leur permettant pas d’être concurrentiels et de couvrir leurs coûts. Le suspens doit durer jusque vers la mi mars environ. Le ministre, Eric Besson, chargé de l’industrie, de l’énergie et de l’économie numérique, attend les propositions de la nouvelle mission Champsaur mais la décision, précise-t-il, sera politique.
On s’obsède peut-être trop d’ailleurs sur cette affaire de prix. Olivier Freget, avocat associé chez Allen & Overy Paris, s’appuyant sur l’expérience de l’ouverture du marché des télécommunications, explique qu’il faut essentiellement s’assurer qu’on laisse aux concurrents suffisamment « d’espace économique ».
Prochaine bataille : les concessions pour les barrages français
Pour qu’il y ait une vraie concurrence sur le marché de l’électricité français il faut que les challengers d’EDF puissent accéder aussi à la production d’électricité. Cette idée a été émise par plusieurs participants à la conférence Energie 2011 des Echos. Ils pensent à l’ouverture du capital de certaines centrales nucléaires mais aussi à la remise en jeu des concessions de dix vallées françaises dont les barrages pourraient être repris par des concurrents d’EDF. GDF Suez fait valoir par la voix de Jean-Baptiste Sejourné, directeur délégué de la branche énergie France, son expérience, notamment à travers la Compagnie Nationale du Rhône. Frédéric de Maneville, président France met en relief l’expérience historique de Vattenfall dans l’hydroélectricité en France. Si les barrages intéressent tant les concurrents d’EDF c’est qu’ils représentent la seule manière connue à ce jour de stocker massivement de l’électricité ou plutôt de la capacité à la produire, en période de pointe par exemple. « C’est un outil de flexibilité indispensable », confirme Louis-Jacques Urvoas de EDF.
Les pointes de consommation vont devenir le problème de tout le monde
Les nouvelles règles du jeu du marché de l’électricité français vont imposer à tous les participants et pas seulement à EDF la responsabilité des pointes de consommation. Chaque participant devra mettre au pot soit des capacités de production, soit des capacités d’effacement de la demande en période de pointe, soit « payer une soulte libératoire » a tenu à rappeler fermement Eric Besson, le ministre chargé de l’industrie, de l’énergie et de l’économie numérique. Il a demandé la mise en place d’une mission de concertation à RTE (Réseau de Transport d’Electricité) et veut que la solution retenue soit mise en œuvre début 2012 au plus tard. Si la loi doit s’en mêler c’est parce que le marché ne donne pas les bons signaux a expliqué en substance Jean-François Raux, conseiller du Président de l’Union Française de l’Electricité. L’électricité n’arrive pas à se vendre assez cher en période de pointe pour rendre rentable la construction et l’exploitation des centrales nécessaires. Ces nouvelles obligations vont rendre « l’effacement » des clients en période de pointe stratégique pour les concurrents d’EDF. C’est un des enjeux des « compteurs intelligents » dont ERDF a commencé à tester le déploiement. Pas question que le gestionnaire du réseau se réserve l’exploitation des données qu’il va recueillir ! Fabien Choné, directeur général délégué de Direct Energie a montré les dents : « Nous refusons toute concurrence de ERDF sur la maîtrise de la demande. Il n’est pas question qu’ils y mettent même un doigt de pied ».
Les tarifs ne seront pas toujours transparents
L’électricité traverse en France une période de transparence exceptionnelle. Le juste prix de l’électricité nucléaire d’EDF est un objet de débats publics et de multiples expertises. Le directeur général de l’énergie et du climat, Pierre-Franck Chevet, se félicite du mouvement de décomposition en éléments constitutifs qui permet au consommateur de mieux comprendre des tarifs moins « intégrés ». Les concurrents d’EDF seront sans doute amenés à faire de la pédagogie pour vendre à ces mêmes particuliers des forfaits et tarifs aussi intelligents que les nouveaux compteurs. Sur les marchés de gros de l’électricité les cotations sont par définition transparentes.
Il n’en reste pas moins qu’entre gros intervenants les marchés de gré à gré et le secret des affaires pourraient redevenir la règle une fois cette période de transition vers la concurrence passée. Ce fut une revendication explicite de Ludivine Mellier, Présidente de la commission électricité de l’Uniden, l’organisme représentant les consommateurs industriels : « sur les contrats de gré à gré il n’y a aucune raison de transparence totale ». La même idée fut exprimée par Jean-François Raux (UFE) : « La concurrence n’implique pas la transparence sur tout. À terme, les coûts de production ne seront pas transparents ».
La bulle gazière américaine s’installe
Les marchés de l’énergie et notamment des hydrocarbures ont toujours réservé de grandes surprises déjouant toutes les prévisions. Actuellement et pour un certain temps sans doute c’est le marché du gaz aux Etats-Unis qui illustre cette règle. Didier Houssin, Directeur des marchés et de la sécurité énergétique à l’Agence Internationale de l’Energie, a insisté sur ce point en dressant un large panorama des équilibres mondiaux de l’énergie pour les participants à la conférence Energie 2011 des Echos. Les ressources de gaz aux Etats-Unis s’avèrent beaucoup plus considérables que ce que l’on pensait notamment grâce à la « révolution » des gaz de schiste. Ce qui entretient cette « bulle » c’est que, malgré l’effondrement des prix, les investissements continuent. Le gaz se met à concurrencer le charbon jusque sur les marchés côtiers chinois. Du coup l’intérêt qui semblait commencer à se réveiller aux Etats-Unis pour les énergies renouvelables depuis l’arrivée au pouvoir de Obama devient d’autant moins vif que le gaz est hyper compétitif.
L’éolien terrestre compétitif ?
L’un l’a dit en termes prudents : « la compétitivité n’est pas hors de portée pour l’éolien ». C’est Pierre-Marie Abadie, directeur de l’énergie à la Direction Générale de l’énergie et du climat. Il évoque un coût moyen de 80 euros le mégawatheure. L’autre a été beaucoup plus affirmatif : « l’éolien sera bientôt au-dessous des coûts du marché ». C’est André Antolini, président du SER, le Syndicat des Energies Renouvelables. Il compte sur l’élévation progressive du coût de l’énergie nucléaire pour accélérer le phénomène.
Pas de vagues entre EDF et AREVA
Pas un mot plus haut que l’autre entre les représentants de EDF et AREVA à la conférence Energie 2011. Les bisbilles au sommet entre les deux groupes et leurs dirigeants ne sont sans doute pas oubliées mais les représentants des pouvoirs publics font clairement sentir qu’ils préfèrent le calme. « Au niveau des équipes ils travaillent ensemble » constate ainsi Eric Besson, le ministre chargé de l’industrie, de l’énergie et de l’économie numérique.
Les questions de la filière nucléaire française
Les questions semblent plus nombreuses que les réponses chez les différents acteurs de la filière nucléaire française. Le rapport Roussely, du nom de l’ancien président d’EDF, a notamment libéré la parole sur deux thèmes. Le coût de la sécurité d’abord. Faut-il concevoir des systèmes un peu moins parfaitement sûrs mais plus compétitifs sur le marché international ? « Ne veut-on que des réacteurs dont on autoriserait la construction sur le territoire national », traduit Thomas Branche, sous-directeur de l’industrie nucléaire à la Direction Générale de l’énergie et du climat ? La réponse semble être oui ou presque oui puisqu’il précise que « le conseil de politique nucléaire a mis en avant le meilleur niveau de sûreté comme un avantage compétitif ». Même tendance chez un gros client potentiel Paul Rorive, Directeur corporate des activités nucléaires de GDF-Suez : « On ne va pas contre le cours de l’histoire. Dans les pays matures on va vers des réacteurs à niveau de sûreté élevé. C’est dans l’intérêt de l’industrie nucléaire …Les pays entrants se calent assez vite là dessus ».
L’autre question est celle de la gamme. Tout le monde s’est appliqué, AREVA en tête, représenté par Claude Jaouen, directeur adjoint du Business Group « Réacteurs et Services », à dire qu’il n’y a pas que l’EPR. Il faut continuer à s’intéresser à des réacteurs de moyenne puissance comme ATMEA1 et KERENA qui font aussi partie en principe de l’offre AREVA. Mais tout le monde a convenu aussi avec Thomas Branche qu’on ne peut pas développer trop de modèles de réacteurs en même temps, chacun exigeant de lourds investissements, en personnel qualifié notamment.
Une certitude finalement : l’investissement nucléaire est lourd et risqué à cause notamment des incertitudes affectant le coût final de l’investissement et les délais de construction. Tout le monde ne jure donc que par les partenariats qui permettent de partager les risques .
Par Jean-Claude Hazera, journaliste.
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La filiale énergie de Veolia se positionne sur le futur métier « d'agrégateur » avec la première démonstration de « smart grid » en France, qui va être déployée à Nice.
Les réseaux électriques intelligents ou « smart grids », qui font l'objet de colloques spécialisés depuis des années, vont connaître leur première expérimentation grandeur nature en France. Le projet Réflexe, présenté par un consortium mené par Veolia Environnement, via sa filiale énergie Dalkia, est le premier à avoir été retenu par l'Ademe (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie) et le gouvernement, dans le cadre du « programme d'investissements d'avenir ». Un démonstrateur va être mis en place dès 2011 et tourner pendant deux ans et demi dans la région de Nice, pour un budget global de 9 millions d'euros, dont l'Ademe assume 35 %. D'autres expériences verront le jour dans l'Hexagone. « L'Ademe est en train de sélectionner sept à huit nouveaux projets de smart grids, qui viseront les particuliers, les consommateurs industriels et les systèmes îliens, avant de lancer une nouvelle consultation pour des projets de plus grande ampleur courant 2011 », indique le directeur à l'Ademe, François Moisan.
« L'objectif de Réflexe est de tester la faisabilité d'un réseau intelligent d'un point de vue technique mais aussi économique », précise Jean-Philippe Laurent, de la direction stratégie de Dalkia. Son principe : relier entre eux une vingtaine de bâtiments tertiaires et industriels qui seront chacun, selon les périodes, consommateurs ou producteurs d'électricité afin de former une centrale électrique virtuelle. L'objectif est d'optimiser la consommation globale, notamment pendant les périodes de pointe.
Confort strictement égal
« La nouveauté sera d'appeler les effacements de chauffage ou de climatisation en fonction des besoins du réseau, tout en assurant un confort strictement égal pour l'utilisateur », indique Jean-Philippe Laurent. Parmi les sites : des bureaux communaux, des centres commerciaux, deux hôtels dont un à Monaco, une usine de traitement des eaux et une centrale photovoltaïque. « Les réseaux intelligents pourront aussi permettre de pallier l'intermittence des énergies renouvelables lorsqu'elles représenteront plus 20 % de notre parc électrique, à partir de 2020 », explique François Moisan.
Dans ce projet de « quelques mégawatts », Dalkia exploitera le centre de coordination en jouant le rôle d'agrégateur, un nouveau métier appelé à se développer avec le déploiement de ces réseaux décentralisés. Alstom fournira le système d'information qui permettra ce pilotage, Sagemcom les systèmes intelligents qui équiperont les bâtiments. Le CEA-INES sa centrale photovoltaïque de Cadarache et son expertise sur les batteries. Supelec est également associé. Marie-Caroline Lopez
http://www.veolia.illusio.fr/mois.php?mois=janvier&langue=bi
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Convaincu que les élus locaux sont un interlocuteur incontournable pour nombre de ses activités, General Electric Energy a noué il y a deux ans un partenariat avec l'Assemblée des régions d'Europe (ARE). L'objectif, parfaitement assumé, est de sensibiliser les représentants de ces 270 régions de 33 pays aux problématiques énergétiques, tout en faisant la promotion des solutions estampillées GE, sur toutes les énergies (thermique, nucléaire, solaire ou éolienne). Dans le cadre de ce partenariat, GE Energy envoie donc ses émissaires présenter dans les régions intéressées ses solutions les mieux adaptées au contexte et organise régulièrement des journées d'information.
Mardi dernier à Bracknell (Angleterre), le programme portait sur les réseaux intelligents. En favorisant le dialogue entre le client final et le producteur d'énergie via des compteurs intelligents, ils doivent permettre une meilleure gestion de l'offre et de la demande, un lissage et, in fine, une réduction de la consommation d'énergie. Des problématiques très distinctes selon les régions ne donnent que plus de poids au contact avec leurs représentants. Avec son marché dérégulé, l'Angleterre, où GE Energy est très présent, constitue une parfaite vitrine pour ses « smart grid » (réseaux intelligents).
C'est donc pendant la semaine du Sommet de l’UE, en réaffirmant son engagement pour un futur à basse consommation, que l’Assemblée des Régions d’Europe (ARE) a organisé, en collaboration avec GE Energy, des représentants régionaux et des experts en énergie, une journée pour présenter des actions viables pour la construction d’un territoire européen utilisant l’énergie de manière rationnelle. « Une grande partie du succès de la Stratégie européenne Energie 2020 dépend des politiques et des actions régionales : les régions ont prouvé qu’elles étaient plus efficaces et actives que les autres niveaux de gouvernance. Mon Comté, le Hampshire, nous avons déjà mis en place des solutions concrètes et innovantes. » a déclaré Mel Kendal, Conseiller régional du Hampshire (UK). « Toutefois, nous devons encore améliorer nos politiques énergétiques et nous devons le faire rapidement si nous voulons nous sortir de la crise environnementale dans les années à venir. C’est le but de notre événement d’aujourd’hui » conclut-il.
A l'instar du Suédois Kenneth Backgaard (président du groupe de travail de l'ARE sur l'énergie et le climat) et de l'Anglais Melville Kendal (du Comté du Hampshire), les membres de l'ARE s'avouent globalement séduits par l'éventail des problématiques abordées et des solutions proposées par GE. Tout en se défendant de toute collusion, les commandes publiques étant soumises à appels d'offres au-delà d'un certain montant. « Nous sommes habitués à travailler avec des entreprises privées, par exemple depuis plusieurs années nous avons une collaboration très fructueuse avec Veolia », témoigne Melville Kendal. « Nous avons récemment assisté à une conférence passionnante de Johnson Controls (acteur clé dans l'efficacité énergétique des bâtiments, ndlr) », renchérit Kenneth Backgaard.
Dans le même temps, les régions se désolent de leurs difficultés à accéder aux fonds européens, notamment à l'enveloppe de 8 milliards d'euros du fonds de cohésion dédiée à l'efficacité énergétique, à ce jour largement inutilisée.
Plus d'informations :
Voir en ligne : La Stratégie européenne Energie 2020
Rédigé à 09H57 dans Communication, Energie, Europe | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Face au développement du bois énergie, les acteurs du bois construction viennent de se regrouper dans une nouvelle interprofession. Dans la filière bois construction, l’heure est à l’offensive, les organisations professionnelles de la filière amont du bois construction se sont regroupées au sein de France Bois Industries Entreprises (FBIE). Objectif officiel de cette nouvelle interprofession : « développer l’utilisation du matériau bois », donner une « réelle visibilité » au secteur et être « force de proposition » vis-à-vis des pouvoirs publics. Autrement dit, le lobby du bois construction s’organise.
Derrière le regroupement de ces organisations professionnelles se cache la volonté de se défendre face à un secteur du bois énergie qui les menacerait. Une concurrence jugée déloyale, car soutenue par l’Etat, et qui pourrait provoquer des délocalisations. Pour les acteurs du bois construction, le développement du bois énergie diminuerait les ressources en matière première et tirerait les prix vers le haut. Une mésentente qui trouve surtout son origine dans une gestion défaillante de la forêt, morcelée et peu valorisée.
Les membres de France bois industries entreprises (FBIE) souhaitent ainsi être force de proposition, en étroite relation avec les organisations de l'amont, vis-à-vis des pouvoirs publics. Les organisations professionnelles fondatrices de FBIE sont l'UIB (Union des industries du bois), l'UIPP (Union des industries de panneaux de process), la FFPPC (Fédération française des producteurs de pâtes de cellulose), l'Unifa (Union nationale des industries françaises de l'ameublement), la FFB-UCMP (Fédération française du bâtiment Union charpente menuiserie parquet), la Capeb-UNA-CMA (Confédération de l'artisanat et des petites entreprises Union nationale artisanale charpente menuiserie agencement). L'ont rejoint en tant que membres : la FNB (Fédération nationale du bois), LCB (Le commerce du bois), l'IRB (Interprofessions régionales bois). D'autres organisations rejoindront prochainement FBIE.
Dans son rapport sur le développement de la filière bois remis en avril 2009, l’ancien sénateur Jean Puech appelait à la mise en place d’un « esprit de filière » pour redresser la situation. Il faut croire qu’il n’a toujours pas été entendu. Dans le communiqué de présentation de FBIE, il est précisé que l’interprofession est ouverte « à toutes les entités représentatives au niveau national des secteurs utilisateurs du bois et de ses dérivés, de la pâte à papier, de la construction
Rédigé à 08H56 dans Bois, Eco construction | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Depuis plusieurs mois maintenant, la question du gaz schiste fait polémique en Europe et sur le territoire national français. Un réel engouement se forme autour d’une éventuelle extraction de cette ressource dans la région du Sud Est du pays où l’or gazier a notamment été détecté par le géant pétrolier français Total suite à l’obtention de permis exécutifs de recherche, délivrés par le Ministre de l’Ecologie de l’époque, Jean-Louis Borloo. Les Etats-Unis et le Canada l’ont bien prouvé, la ressource est rentable, abondante et les procédés techniques sont aujourd’hui suffisamment développés pour assurer une rentabilité du processus d’extraction. Seul problème, un impact environnemental désastreux d’où l’inquiétude grandissante des ONG et des militants écologistes. Publié par Sequovia Facilitateur du développement durable
http://www.sequovia.com/actualites/5893-la-ruee-vers-le-gaz-de-schiste.html
Rédigé à 08H47 dans Energie | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Dans le classement général de la Relation Clients on-line, Monster arrive en 5ème position, ex-æquo avec Dior Parfums
Levallois Perret, le 11 février 2011 – Monster, spécialiste de la gestion de carrière et du recrutement en ligne, s’est vu remettre le Prix de la meilleure Relation Client en ligne pour la catégorie Annonces-enchères, dans le cadre du 13ème Baromètre Qualiweb Edition 2011 de la Relation Client on-line. Monster se place également en 5ème position du classement général, derrière Clarins, Caudalie, L’Oréal Paris et Transilien, ex-æquo avec Dior Parfums.
Depuis douze ans, les Trophées Qualiweb mesurent l’évolution de la qualité de la Relation Clients on-line sur les sites web français et récompensent les marques et institutions les plus performantes, en testant leurs réponses à des e-mails mystères envoyés dans la boîte aux lettres de leurs sites Internet. L’institut Cocedal Conseil, qui a conçu cette étude, a décidé, à l’occasion de la vague d’étude 2010, de soumettre plus de 260 sites à sept questions (contre cinq auparavant), en renforçant les demandes commerciales.
Les marques prennent d’année en année la mesure de l’importance de l’attention portée à leurs clients. Les résultats s’en ressentent fortement. Le niveau d’excellence, qui équivaut à une note supérieure à 70 sur 100, est atteint par 47% des sites, contre 26% en 2009.
Avec une note de 88,9 sur 100, la politique de gestion de la relation client de Monster est récompensée pour la qualité et la pertinence des réponses apportées aux recruteurs.
Tous secteurs confondus, Monster.fr se situe à la 5ème position sur 263 sites testés. « L’année dernière, Monster se situait à la cinquantième place du classement. Nous nous félicitons de cette belle progression et sommes heureux que l’attention portée à nos clients soit distinguée par ce trophée. Ce prix est également le fruit de la politique d’investissement que nous avons menée ces deux dernières années, tant sur le plan humain qu’au niveau des innovations technologiques. C’est ainsi que nous avons lancé en fin d’année dernière, 6Sense™, une nouvelle technologie de recherche intelligente répondant à l’évolution des besoins de nos clients recruteurs et des candidats. Ces investissements nous permettent aujourd’hui d’offrir de véritables améliorations et une plus-value à nos clients. » commente Bruno Bremond, Directeur Général de Monster France et Europe du Sud.
A propos de 6Sense™ et Power CV Search™
Afin de répondre aux défis de la nouvelle ère du monde du travail, Monster a mis au point un moteur de recherche unique, capable d’identifier les candidats et les offres répondant parfaitement aux critères recherchés. Pour les entreprises, trouver le meilleur CV dans une base immense de candidatures et ce le plus rapidement possible, est un défi de taille, lorsqu’il s’agit de pourvoir un poste. D’un point de vue technologique, le moteur de recherche sémantique 6Sense™ suit une logique conceptuelle et contextuelle. Il génère pour les recruteurs des résultats correspondant vraiment à leurs recherches, rapidement et sans utiliser les opérateurs booléens. S’apparentant à la compréhension humaine, l’outil Power CV Search™ analyse les intitulés de poste, les qualifications, les niveaux d’expérience, les secteurs d’activité ou encore le niveau de formation pour évaluer l’expérience professionnelle du candidat avec la même précision qu’un recruteur, mais bien plus rapidement
Power CV Search™ a été récompensé, parmi 10 autres produits vainqueurs, d’un prix reconnu par toute la profession RH aux Etats-Unis, le « Top HR Product of the Year Award 2010 ». Chaque année, le magazine Human Resource Executive dresse une sélection des meilleures solutions RH en fonction de différents critères tels que l’innovation, la valeur ajoutée ou encore la fiabilité.
Plus d’informations sur les trophées Qualiweb de la Relation Client on-line : Le baromètre QualiWeb mesure, depuis 1998, l’évolution de la qualité de la Relation Clients on-line sur les sites web français. L’édition 2010 du Baromètre Qualiweb a testé 263 sites dans 17 secteurs d’activité. Pour cela, chaque site reçoit 7 e-mails mystères par site, selon 4 scénarios représentatifs des messages reçus par les services clients : 4 demandes d’informations commerciales, 1 réclamation, 1 problème technique et 1 demande de stage. Chaque message de réponse est analysé à partir d’une grille d’évaluation, qui permet in fine de calculer un indice qualité et d’établir un classement. L’indice Qualiweb, noté sur 100 points, est calculé en fonction du délai de réponse, de la pertinence et de la forme des réponses (personnalisation, ton, qualité rédactionnelle). Pour plus d’informations, veuillez consulter le site : http://www.cocedal.fr
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Cartes d’identité biométriques, fichiers et empreintes génétiques, vidéosurveillance, traçabilité et géolocalisation par les mobiles et les cartes de paiement, exploitation commerciale, politique ou policière des traces qu’on laisse sur le net à son insu ou de son plein gré…
Au delà d’une perception paranoïaque de l’environnement numérique de l’utilisateur face à l’ »ennemi invisible » caché au coeur des réseaux, n’y a t il pas une réflexion plus large à mener sur l’utilisation des données personnelles aux fins de profiling, contrôle social, détournement commercial, voire de manipulation politique, ainsi qu’on a pu constater récemment les effets en Tunisie ou une Egypte. Si l’outil informatique n’est pas le diable lui même, (« Dont be evil » déclare Google comme règle fondamentale), l’utilisation humaine des données et applications peut se révéler beaucoup hasardeuse, voire dans certains cas contraire aux intérêts et droits des personnes contributrices. Le Cercle Asimov et Silicon Sentier souhaite lancer un débat ouvert et contradictoire afin de faire le point, le 16 février prochain de 19h30 à 21h00, lors une table ronde sur la société de surveillance 2.0 : convergence des dispositifs ou fantasmes de paranoïaques ?
Renseignements et inscriptions
Avec :
- Dan Van Raemdonck, docteur en philosophie, vice-président de la Fédération internationale des droits de l’Homme (et Président d’honneur de la Ligue des droits de l’Homme belge).
- Patrick Bloche, député et maire du XIe arrondissement de Paris.
- Olivier Razac, docteur en philosophie, enseignant-chercheur à l’École nationale d’administration pénitentiaire, auteur de « Histoire politique du barbelé » (Flammarion, coll. Champs Essais).
- Charles Simon, avocat au Barreau de Paris.
Rédigé à 07H36 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Les sociétés intègrent mieux le développement durable
Le concept de développement durable n'est pas nouveau. Né dans les années 1980, il s'appuie aujourd'hui sur trois piliers : environnemental, son pilier fondateur, mais aussi économique et social/sociétal. «Le développement durable ne se limite donc pas au seul respect de l'environnement», souligne Thierry Raes, responsable des activités développement durable chez PwC et co-auteur du livre «Développement durable, aspects stratégiques et opérationnels»*. Changement climatique, traitement des déchets, finance carbone, consommation durable, progrès social… Toutes ces thématiques font désormais partie intégrante de la vie économique. «Pour les entreprises, cela signifie que leurs objectifs ne doivent pas se limiter à la seule prise en compte des intérêts des actionnaires et des partenaires financiers», explique Thierry Raes. D'autres parties prenantes ont fait leur entrée dans le jeu, comme les fournisseurs, sous-traitants, salariés et clients. Mais aussi les médias, les ONG, la communauté scientifique, les riverains, ou encore les élus. «Le développement durable oblige les entreprises à changer de modèle de croissance et à s'approprier de nouveaux leviers de performance», ajoute l'expert de PwC.
Certains critiques voient dans cette approche une nouvelle contrainte imposée aux entreprises. Mais pour Thierry Raes, «le développement durable est également source de création de valeur pour les entreprises, dans la mesure où il représente non seulement une opportunité de réduction des risques, mais aussi de conquête de nouveaux marchés et de création de nouveaux modèles économiques». En prenant en compte le bien-être de leurs employés, par exemple, les entreprises ont moins de chances de se trouver confrontées à un mouvement social qui viendrait perturber leur production. Par ailleurs, la réduction de la consommation énergétique entraîne une baisse des coûts de fonctionnement, ce qui bénéficie au final au compte d'exploitation des entreprises.
«Enfin, l'entreprise peut tirer partie du développement durable en se positionnant sur les nouveaux métiers et produits qu'il engendre et qui sont en croissance forte», ajoute l'expert de PwC. Selon le cabinet de consulting, des montants considérables sont en jeu. Ainsi, le marché des biens et services liés à l'environnement représenterait 1370 milliards de dollars aujourd'hui et pourrait doubler d'ici à 2020. Pour réellement profiter de cette manne, en revanche, les entreprises doivent mettre en place des actions concrètes.
Comme le relèvent les critiques, certains acteurs vantent leurs politiques de développement durable pour «verdir» leur image. C'est ce qu'on appelle le «greenwashing». Ces cas sont plus rares aujourd'hui, note Thierry Raes, qui cite les bonnes pratiques mises en place dans de nombreux secteurs, comme l'automobile, le BTP, ou encore les produits de consommation. Toutefois, admet-il, d'autres acteurs décollent tout juste, notamment dans ceux du private equity (capital-investissement) ou ne sont pas encore très avancés dans l'intégration du développement durable, comme le secteur des SSII.
* «Développement durable, aspects stratégiques et opérationnels», éditions Francis Lefebvre, co-écrit par Thierry Raes, responsable des activités Développement durable chez PwC, Françoise Bussac, associée de PwC, Bettina Laville, responsable du département Conseil juridique et fiscal en développement durable chez Landwell & Associés, Sylvain Lambert, responsable du département Conseil en développement durable chez PricewaterhouseCoopers Advisory, et Guillaume Sainteny, Maître de conférences à l'Ecole Polytechnique.
Un ouvrage pratique pour aider les entreprises
Rédigé sous forme de questions/réponses, cet ouvrage propose «une approche pratique du développement durable», explique Thierry Raes. Plus de 100 experts de PwC et de Landwell & Associés ont contribué à son élaboration en participant à des ateliers de travail. Vingt trois grands thèmes du développement durable sont ainsi passés au crible, afin d'évaluer leur influence sur l'activité d'une entreprise. «Ce livre est destiné à tous les responsables et directions opérationnelles des entreprises, quelque soit leur taille ainsi qu'aux collectivités locales», affirme l'expert de PwC. Dix sept fonctions de l'entreprise sont étudiées, afin d'aider les décideurs à intégrer le développement durable dans leurs pratiques quotidiennes, et treize secteurs d'activité sont passés en revue. Enfin, deux chapitres spécifiques sont consacrés aux entreprises patrimoniales ainsi qu'au secteur public et collectivités territoriales.
LIRE AUSSI :
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Balises: Développement durable
La Commission européenne lance une consultation pour améliorer le financement de la recherche et de l’innovation par l’UE, qui visent à faciliter la participation aux programmes, à renforcer leurs effets scientifiques et économiques et à en améliorer le rapport qualité-prix. Cette initiative intervient peu de temps après la publication d’un rapport qui montrait que l’Europe était très en retard sur cette question de l’innovation (L’Europe est-elle fâchée avec l’innovation ?).
Le «cadre stratégique commun» proposé, exposé dans un livre vert, couvrirait le programme-cadre de recherche (7ePC) actuel, le programme-cadre pour l’innovation et la compétitivité (CIP) et l’Institut européen d’innovation et de technologie (EIT).
Le rapport intitulé « Tableau de bord de l’Union de l’innovation » (TBUI) qui a été publié il y a quelques jours montrait que L’Union européenne ne parvenait pas à combler l’écart en matière d’innovation avec ses principaux concurrents internationaux, à savoir les États-Unis et le Japon. Bien que la tendance soit prometteuse dans la plupart des États membres malgré la crise économique, les progrès ne sont pas assez rapides.Le tableau de bord 2010 repose sur 25 indicateurs liés à la recherche et à l’innovationet couvre les 27 États membres de l’Union (UE27), la Croatie, la Serbie, la Turquie, l’Islande, l'Ancienne République yougoslave de Macédoine, la Norvège et la Suisse.
Il en résultera un ensemble cohérent d’instruments couvrant l’ensemble de la « chaîne de l’innovation », depuis la recherche fondamentale jusqu’à la mise sur le marché de produits et services innovants, qui soutiendront aussi l’innovation non technologique, par exemple dans les domaines de la conception et de la commercialisation. Le livre vert de la Commission pose également les bases d’une simplification de grande ampleur des règles et procédures. Tous ces changements visent à maximiser la contribution du financement de la recherche et de l’innovation par l’UE à l’initiative «une Union de l’innovation» et à la stratégie Europe 2020. Les réponses des parties intéressées sont attendues jusqu’au 20 mai 2011.
[suite...]
Liens
- Consultation sur le livre vert
- Page web consacrée à l’Union de l’innovation
- Institut européen d’innovation et de technologie (EIT)
- Septième programme-cadre
- Programme-cadre pour l'innovation et la compétitivité
- Conseil européen de la recherche
- Mécanisme de financement avec partage des risques(MFPR)
- (Évaluation du MFPR)
- Rapport du groupe d’experts sur l’évaluation intermédiaire du septième programme-cadre
- Réaction de la Commission au rapport d’évaluation intermédiaire
- Communication de la Commission d’avril 2010 sur la simplification
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Les bâtiments représentent à eux seuls 43% de la consommation d’énergie en France. Compte tenu du faible taux de renouvellement du parc immobilier en France, plus de 80% des gisements d’économie d’énergie et de réduction des émissions de Co2 résident dans les bâtiments existants. L’objectif du Grenelle est de réduire de 38 % d’ici à 2020 la consommation énergétique dans les bâtiments et les logements.
Un référentiel des actions d’efficacité énergétique à mener dans le cadre de la rénovation de bâtiments, développé conjointement par le Syndicat ACR, La FFIE et le Gimélec a été présenté cette semaine. Trois classes différentes d’actions d’Efficacité Energétique ont ainsi été définies:
Classe EE1 : La Mesure
On retrouve dans cette classe toutes les actions du type : Comptage, Analyse, Affichage, Reporting. Ces actions ont pour objectif l’éducation des utilisateurs et la promotion des bons comportements pour pérenniser l’amélioration de la performance.
• Classe EE2 : Les actions sur les Systèmes
Cette classe regroupe en plus les actions sur la gestion de l’énergie, les systèmes intelligents de contrôle, la régulation, la gestion et les automatismes. Ces actions ont pour objectif d’améliorer l’optimisation énergétique par l’automatisation des fonctions et usages du bâtiment.
Classe EE3 : Les actions sur les équipements et l’enveloppe du bâtiment.
Cette classe prend les actions sur les matériaux performants, les isolants thermiques, les équipements de production d’énergie et appareils, le vitrage et les énergies renouvelables. Ces actions ont pour objectif d’agir dans tous les domaines possibles de l’efficacité énergétique.
Ainsi, par exemple, l’Affichage énergétique permettant la visualisation, sur écran, de la consommation et ‘broadcasting’ des messages clefs aux occupants et visiteurs d’un bâtiment (EE1) génère une économie moyenne d’énergie de 5 à 7% pour un temps de retour sur investissement de 2 ans. La Mise en place de systèmes de délestage des consommations (EE3) permettrait quant à elle 30% d’économie en moyenne.
Retrouvez tous les chiffres dans le rapport complet.
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Balises: efficacité énergétique, rénovation de bâtiments
Retenu dans le cadre du premier « programme d'investissements d'avenir » annoncé par le Premier Ministre François Fillon, le 6 décembre 2010, le projet de recherche « Réflexe » (Réponse de Flexibilité Electrique) porte sur le développement des réseaux et systèmes électriques intelligents. Il fédère les compétences des groupes Veolia Environnement, Alstom et Sagemcom, du Commissariat à l'Energie Atomique et aux Energies Alternatives localisées à l'INES1 et de Supélec.
1 INES : Institut National de l'Energie solaire (www.ines-solaire.org)
Repenser le fonctionnement du système électrique, s'adapter à la réduction de ses marges de sécurité, à la forte hausse de la demande d'électricité (en pointe) et à la multiplication des moyens de productions décentralisés - énergies renouvelables, unités de stockage- tels sont les enjeux auxquels répondent les réseaux électriques intelligents. Leurs différents éléments sont reliés non seulement physiquement par des lignes haute, moyenne et basse tension, mais également virtuellement par l'intermédiaire de compteurs et autres appareils communicants.
Piloté par la Recherche et Innovation de Veolia Environnement, le projet « Réflexe » va mettre en place, pendant trois ans et demi, un démonstrateur de réseau électrique intelligent en région Provence-Alpes-Côte-d'Azur. Il permettra d'évaluer sa faisabilité technique à plus grande échelle et ses divers bénéfices en termes de gestion énergétique, économique et environnementale.
Ce nouveau réseau électrique - décentralisé et intégrant de nombreuses sources diffuses de production, consommation et stockage - devra gérer des masses importantes d'information en temps réél, ceci grâce à un réseau de communication qui doublera le réseau électrique.
Entre les consommateurs et les acteurs du marché électrique, l'agrégateur sera le gestionnaire qui pilote l'ensemble des données du parc en temps réél pour stocker et produire localement l'énergie et la fournir au réseau en cas de besoin.
Ces innovations favoriseront la connexion des énergies renouvelables au réseau, permettront de mieux gérer l'équilibre entre l'offre et la demande, de gérer et stocker l'énergie électrique et d'intégrer les véhicule électriques au système du réseau.
Choisie pour cette expérimentation, l'agglomération Nice Côte d'Azur territoire « a pour ambition de devenir un site pilote dans le domaine de la gestion intelligente et durable de son environnement », précise Christian Estrosi, président de Nice Côte d'Azur.
Dans ce projet « Réflexe », Veolia Environnement apporte son expertise en matière de gestion énergétique, via notamment sa filiale énergie Dalkia. En tant que leader du consortium, Veolia Environnement exploite aussi le centre d'agrégation. Alstom apporte ses compétences en matière de logiciels d'agrégation et de décision sur les différents moyens de production et de stockage distribués. Sagemcom fournit les équipements de concentration de données et le système nécessaires à la gestion des services de communication et de contrôle. Les deux partenaires institutionnels du projet, le CEA-INES et Supélec, contribuent respectivement par leur expertise en matière de production d'énergie photovoltaïque et de stockage électrique, et de connaissance du réseau électrique et de science des systèmes.
Le projet « Réflexe » avait reçu dès octobre 2010 le soutien de l'ADEME.
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Les nouveaux compteurs électriques intelligents Linky, testés à Lyon et Tours depuis un an, ont-ils un impact sur la santé ? C’est la question que se pose Next-Up, une association lyonnaise engagée dans la lutte contre les rayonnements électromagnétiques.
Son coordinateur, Serge Sargentini, a reçu ces dernières semaines plusieurs dizaines de témoignages de personnes se plaignant de maux de tête, de fatigue ou d’acouphènes après l’installation d’un Linky.«Deux mois après, j’ai commencé à me sentir très fatigué, a raconté à 20 Minutes un retraité du quartier de la Croix-rousse. Je souffre d’une irritation à l’œil et j’ai mal à une oreille. Le compteur est dans mes toilettes, et je dors juste au-dessus, dans une mezzanine.»
«Ils n'émettent aucune onde», assure ErDF
«ErDF doit prendre ses responsabilités, et commander une étude biologique et sanitaire sur l’impact des compteurs, estime Serge Sargentini, qui va réaliser sa propre enquête grâce à un questionnaire remis à plusieurs milliers de foyers équipés d’un Linky. Selon Next-Up, la technique du CPL (courant porteur en ligne), qui permet au compteur de transmettre par les câbles électriques les données de consommation au fournisseur, pourrait émettre un rayonnement « nocif ».
« Il n’y a aucune fréquence nuisible à la santé dans les compteurs. D’ailleurs, je peux garantir qu’ils n’émettent aucune onde », assure David Micheau, adjoint au directeur d’ErDF (Electricité réseau distribution France) dans le Rhône
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Procédure accélérée pour le nouvel appel d'offres de la CRE publié hier au BOAMP? Les prestataires souhaitant concourir pour l'une "étude technico-économique portant sur le projet de système de comptage évolué «Linky» d’ERDF" ont jusqu'au 25 février pour déposer leur dossier, soit un peu plus de deux semaines... en pleine période de vacances scolaires. Heureusement, il y a Energie2007 pour faire un peu de buzz (pardon: ramdam) autour des marchés publics. Limitée aux "utilisateurs dont la puissance souscrite est inférieure ou égale à 36 kVA", l'étude devra "confirmer les fonctionnalités envisagées par ERDF pour la généralisation du compteur Linky". Trois points debvront être spécifiquement évalués: "quantifier les impacts sur le tarif d’utilisation des réseaux publics d’électricité (Turpe), évaluer les gains apportés par ce système en termes de maîtrise de la demande en énergie (...), identifier les effets du déploiement d’un tel système sur l’ensemble de la chaîne électrique (gestionnaires de réseaux, fournisseurs, consommateurs, producteurs, prestataires de nouveaux services, …)". L'appréciation du service rendu aux consommateurs ne figure pas en tant que telle dans les objectifs d'évaluation, ceux-là se trouvant intégrés dans "l'ensemble de la chaîne électrique". Au regard de l'investissement que représente le compteur évolué, c'est regrettable d'autant plus que la directive européenne 2009/72 , en son considérant n° 55, estime qu'il "devrait être possible de baser l’introduction de systèmes intelligents de mesure sur une évaluation économique. Si cette évaluation conclut que l’introduction de tels systèmes de mesure n’est raisonnable d’un point de vue économique et rentable que pour les consommateurs dépassant un certain niveau de consommation d’électricité, les États membres devraient pouvoir tenir compte de ce constat lors de la mise en place des systèmes intelligents de mesure". Les candidats retenus devront effectuer une "restitution intermédiaire (...) trois semaines après la notification du marché" et "réunion finale (...) avant la sixième semaine à compter de la notification du marché". Il reste à souhaiter que ces délais, particulièrement courts, laisseront le loisir au cabinet retenu de partir à la rencontre des consommateurs, afin que l'évaluation ne se fasse pas uniquement sur la base de documents (il est bon, parfois, de s'aventurer au-delà du périphérique). Les autorités concédantes y sont favorables et sont prêtes à apporter leur aide et leur connaissance du terrain au cabinet retenu. Cliquez ici pour télécharger le cahier des clauses particulières (N° 2011-02 - BOAMP du 9 février 2011). Le dossier complet sur le site du BOAMP. |
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Balises: CRE , Linky
Application Monster pour iPhone : déjà près de 382 000 téléchargements dans le monde, dont plus de 50 000 en France
Levallois Perret, le 10 février 2011 – Monster, spécialiste de la gestion de carrière et du recrutement en ligne, annonce que son application emploi Monster pour iPhone et iPod Touch, disponible gratuitement dans l’App Store, a dépassé les 50 000 téléchargements en trois mois en France.
Avec plus de 162 000 utilisateurs en Europe, dont près de 36 000 en Allemagne, plus de 28 000 en Angleterre, plus ou moins 12 000 en Italie ainsi qu’aux Pays-Bas, l’App Monster est un vrai succès !
Aux Etats-Unis, où l’application a été lancée en septembre 2010, les téléchargements dépassent à ce jour les 205 000.Grâce à ses nombreuses fonctionnalités, l’application emplois de Monster permet aux candidats de trouver les meilleures offres de job et de postuler à tout moment et de n’importe où.
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Balises: Application Monster, iPhone
François Drouin, Pdg d'OSEO, a tenu sa conférence de presse annuelle, le mardi 8 février 2010. Il a dressé un bilan de l'activité 2010 – 80 000 entreprises accompagnées pour 29 milliards d’euros de financement (+16 % par rapport à 2009) –, et annoncé les engagements d'OSEO pour 2011 : consolider la reprise via les 3 "i" – innovation, investissement et international. L’activité d’OSEO en 2010 est restée à un niveau très soutenu avec, outre ses interventions traditionnelles, une implication forte dans le cadre du plan de relance et du programme d’investissements d’avenir.
En 2010, OSEO a soutenu 80 000 entreprises(1) .
Elles ont obtenu 29 milliards d’euros de financements (+ 16 % par rapport à 2009), publics et privés :
(1) Les entreprises bénéficiant de différents projets ne sont comptabilisées qu’une seule fois.
« La reprise est là, notre rôle est de la consolider », a précisé François Drouin.
La priorité d’OSEO pour 2011 est de contribuer à accélérer la reprise, de consolider le tissu des entreprises et de favoriser la création d’emplois durables à travers les trois "i", les trois principaux moteurs de la croissance : innovation, investissement et international. Près de 2,5 milliards d’euros supplémentaires ont été confiés à OSEO dans le cadre du programme d’investissements d’avenir pour stimuler la compétitivité des entreprises dans les deux ans à venir, dont notamment :
Rédigé à 22H51 dans Green business, Green tech | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Balises: filières industrielles, François Drouin, OSEO
Hedwige Chevrillon : Sur le Private Equity en France, est-ce qu'on peut parler de grand retour des fonds d’investissements ?
Maurice Tchenio : Je pense que 2009 a été une année sinistrée, puisque globalement les banques avaient fermé les robinets de crédit, et qu’à partir de là tous les vendeurs savaient qu’il n’y aurait pas d’acheteur crédibles, et donc ne mettaient plus d’affaires en vente.
L’année 2010 a vu un léger rebond, il y a eu une amélioration de l’ordre de 50 % mais on reste quand même très en-dessous des années fastes : 2006, 2007 et 2008. Mais l’année 2011 devrait voir une poursuite de ce renouveau pour le Private Equity.
Est-ce qu’il y a beaucoup d’argent disponible, de l’argent qui n’a pas été utilisé ?
Fondamentalement, entre 2007 et 2008, beaucoup d’argent a été levé par les fonds. Mais ces capitaux n’ont pas pu être déployés durant l’année 2009 et l’ont été seulement partiellement en 2010.
Cet argent va s’investir massivement en 2011 puisque les fonds de Private Equity ont des durées d’investissement limitées, et que passé ce délai, ils ne peuvent les prolonger qu’avec l’accord des institutionnels pourvoyeurs de capitaux. Donc clairement, avec d’une part l’ouverture du crédit et d’autre part le rebond économique, 2011 va être une année d’investissement.
En outre les fonds ont également l’obligation de faire tourner leurs actifs. Donc il y a une double pression sur eux : d’une part d’investir pour respecter la durée d’investissement et d’autre part de désinvestir pour faire tourner leurs portefeuilles et restituer de l’argent à leurs actionnaires.
Rédigé à 22H39 dans Green business | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Le gouvernement étudie la possibilité de rendre gratuite pour le consommateur l'installation du compteur électrique intelligent, dit «compteur Linky».
Le 1er février, en marge du colloque du Syndicat des énergies renouvelables, Éric Besson, le ministre de l'Industrie, avait indiqué que le coût de ce compteur - environ 120 euros - ne serait pas répercuté. Jeudi soir, à l'occasion de son intervention à la télévision, Nicolas Sarkozy pourrait officialiser cette option.
Le compteur Linky, qui doit favoriser une meilleure maîtrise de la consommation d'électricité, fait actuellement l'objet d'une phase d'expérimentation en Indre-et-Loire et à Lyon, menée par ERDF, la filiale d'EDF en charge de la distribution. À l'issue de ce test (dont le budget s'élève à 150 millions d'euros), qui s'achève au printemps, les pouvoirs publics décideront des modalités de financement et de déploiement de ces compteurs communicants.
Dans le meilleur des cas, le compteur Linky serait déployé dans 95 % des 35 millions de foyers à l'horizon 2018. ERDF a chiffré le coût de ce programme entre 4 et 4,3 milliards d'euros.
LIRE AUSSI : » Les ratés des nouveaux compteurs électriques
Rédigé à 22H31 dans Compteurs intelligents | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Les bâtiments verts seront nécessairement capables d’optimiser leur consommation d’énergie. De nombreux outils émergent pour rendre le bâtiment «intelligent», portés par de grands groupes. Le programme HOMES de Schneider Electric s’inscrit dans cette tendance. Olivier Cottet, directeur marketing du Programme HOMES, livre sa vision des bâtiments de demain (interview à retrouver sur le site GreenUnivers.com).
Le bâtiment devient intelligent à partir du moment où sa consommation d’énergie est mesurée (capteurs) et contrôlée grâce à des systèmes de «monitoring». A partir de ces flux d’informations, les besoins d’énergie peuvent être optimisés. Cette surveillance des besoins en énergie d’un réseau couplée à une optimisation informatisée s’appelle le Smart Grid. Pour en savoir plus sur ce sujet hautement stratégique, Cleantech-republic consacre régulièrement des articles et dossiers, notamment ce dossier complet « Smart Grid, comment démarrer concrètement ? » avec notamment une vidéo avec Laurent Schmitt (Alstom Grid) et Philippe Prévost (Legrand).
Selon Olivier Cottet, 2/3 des grands bâtiments seront intelligents, avec une forte proportion de bâtiments neufs. L’objectif est une réduction de moitié des consommations énergétiques. Et pour atteindre cet objectif, les systèmes de contrôle-commande et de monitoring doivent être couplés à un bâti de qualité et des équipements performants.
Le partage de savoirs et la collaboration métiers est à remarquer dans le programme Homes. 13 partenaires collaborent ensemble en toute complémentarité : Philips pour l’éclairage, ST Microelectronics ou Somfy, ainsi que des laboratoires de recherche publics comme ceux d’EDF, du CSTB ou du CEA. L’intelligence collective au profit de solutions innovantes, c’est aussi l’esprit du développement durable. Cette philosophie avait également été déployée par Bouygues sur le programme «green office». Pour retrouver l’interview complète de Olivier Cottet : greenUnivers
Rédigé à 22H26 dans Batiment intelligent, Smart Grid, Smart Grids | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Nicolas Sarkozy pourrait l'annoncer jeudi... Nicolas Sarkozy participera jeudi à l’émission «Paroles de français» sur TF1. Et il pourrait en profiter pour annoncer la gratuité du compteur intelligent, destiné à mieux maîtriser sa consommation d’électricité, selon une information publiée mercredi par Le Figaro.
«Le 1er février, en marge du colloque du Syndicat des énergies renouvelables, Éric Besson, le ministre de l'Industrie, avait indiqué que le coût de ce compteur - environ 120 euros - ne serait pas répercuté», précise le quotidien. Le «compteur Linky» doit permettre aux Français de mieux maîtriser leur consommation d’électricité. La filiale d’EDF en charge de la distribution, ERDF, l’expérimente jusqu’au printemps en Indre-et-Loire et à Lyon.
Dans le meilleur des cas, le compteur intelligent pourrait ensuite être déployé dans 95 % des 35 millions de foyers français d’ici à 2018. ERDF a chiffré le coût de ce programme entre 4 et 4,3 milliards d'euros. Selon l'Agence de l'Environnement et de Maîtrise de l'Energie (Ademe), une meilleure information permettra aux ménages de réduire leur consommation électrique de 5 à 15%.
Pour éviter que les foyers les plus modestes ne puissent en bénéficier, l’Ademe avait demandé fin 2010 à l’Etat de financer le coût de ce compteur intelligent. Il «ne doit pas être réservé aux "bobos" (…) Il doit être un objet d'intérêt général avant d'être un objet de marché», avait pour sa part expliqué Bruno Léchevin, directeur général des services du médiateur de l'énergie.
Rédigé à 22H21 dans Compteurs intelligents, Smart Grid, Smart Grids | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Balises: compteur intelligent, consommation d’électricité
Depuis plusieurs mois, la thématique du Smart Grid fascine le petit monde du green business. Face à l’explosion de la demande énergétique, l’heure semble venue de troquer nos antiques réseaux énergies pour des systèmes communicants, intelligents et donc plus efficients. Pour mieux cerner cette thématique, la rédaction de Cleantech Republic a réuni une palette de spécialistes à l’occasion d’un WebTV Thema consacré aux réseaux intelligents. |
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Rédigé à 21H56 dans Smart Grid, Smart Grids | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Balises: Smart Grid
Par secteur, les énergies renouvelables ont représenté en 2010 un peu moins de la moitié des opérations en valeur (35 deals) et plus de la moitié en volume (143,8 millions d'euros). Deux autres secteurs attirent également fortement les fonds : les transports (notamment ce qui concerne la mobilité électrique) avec 51 millions investis et l'efficacité énergétique (bâtiment vert, green IT, smart grid...) avec 36,8 millions investis.
Par stade de maturité, le capital risque (hors premiers tours) arrive en tête avec 31 deals pour un montant de 108 millions d'euros. Les premiers tours de financement ont représenté 29 opérations pour 51,4 millions et le capital développement 22 deals pour 103,2 millions d'euros.
Pour le seul quatrième trimestre 2010, le montant des investissements s'est élevé à 65,2 millions d'euros dans le cadre de 22 levées de fonds.
Les plus grosses opérations de l'année :
- Numéro 1: Fonroche (production d'énergie d'origine solaire et assemblage de panneaux solaires) avec 25 millions d'euros levés auprès du fonds Eurazeo.
-Numéro 2 : Gruau (transports : diversification dans la production de véhicules électriques) avec 17,2 millions d'euros levés auprès de plusieurs investisseurs : FSI (9,7 Millions) + les fonds Ouest Croissance, Nexstage, Océan Participations, Volney Développement (7,5 Millions).
- Numéros 3 (ex aequo) : le groupe Vol-V (éolien, solaire) avec 15 millions collectés auprès de Natixis Environnement et Infrastructures et Electrawinds (éolien, biomasse) avec également 15 millions levés auprès de Demeter Partners.
Télécharger ici le PDF du Barometre Club Cleantech AFIC GreenUnivers/4e trimestre et bilan annuel 2010
* Méthodologie du Baromètre du Club Cleantech Afic : les données sont retraitées pour ne conserver que les montants investis par les fonds, en retranchant les éventuels apports d'entreprises par exemple. Les deals sont ceux qui concernent des entreprises françaises des cleantech ou des entreprises étrangères dans lesquelles un fonds français est leader de l'investissement. Les investissements dans les infrastructures ne sont pas concernés.
Rédigé à 21H44 dans Clean Tech, Green business, Green tech | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Balises: Association française des investisseurs en capital risque, cleantech, club Cleantech de l'Afic, fonds de private equity
L'Institut pour l'Innovation et la Compétitivité, créé par ESCP Europe et la Fondation Europe +, a pour but la stimulation de la création, de la diffusion et de l'échange autour de l'innovation, technologique ou non, et de ses différents éléments. Pour lire la suite : http://innovation-developpement.svp.com/2011/01/18/un-institut-pour-l-innovation-et-la-competitivite
Rédigé à 21H32 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Balises: Institut pour l’Innovation et la Compétitivité
WWF chiffre à 4.000 milliards d'euros par an d'ici 2050 les économies possibles... en redirigeant la consommation énergétique vers les énergies vertes !
http://www.sciencesetavenir.fr/depeche/nature-environnement/20110203.AFP1737/energie-wwf-chiffre-a-4-000-milliards-d-euros-par-an-les-economies-possibles.html
Rapport télécharageable sur :
http://www.wwf.fr/s-informer/actualites/pour-une-energie-100-renouvelable-en-2050
Rédigé à 21H25 dans Efficacité Energétique, Energies renouvelables | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Balises: WWF , économies "vertes"
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