Les quatre éléments

GE funds energy start ups in smart grid contest

 

Having scoured the globe via the Internet for promising power grid technologies, General Electric today said it and its partners will invest $55 million to into 12 energy-focuses start-ups. At a press conference in New York, CEO Jeffrey Immelt said that GE will also give out five $100,000 grants to scientists with less mature technology ideas. In another initiative, it will make $10 million available starting next year in a new University Challenge to spur more expertise and research in grid-related technologies, such as power electronics and materials science.

In July, GE announced that it and four venture-capital companies-- Emerald Technology Partners, Foundation Capital, Rockport Capital, and Kleiner, Perkinsk, Caufield & Byers-will invest $200 million in companies with ideas to make the grid more efficient and reliable. This initial investment, made up of $45 million from GE and the rest from venture capital companies-will be followed by more later, Immelt said.

Many of the companies chosen for the investment fall into the category of "software and sensing," Immelt said. Sentient Energy and FMC-Tech make a set of sensors to better manage energy flow and spot problems on the grid. Others were SynapSense, which makes energy-monitoring equipment for data centers, and Scientific Conservation which monitors building energy. On the energy efficiency side, GE and partners invested in Opower, a company which generates energy efficiency recommendations for consumers, and Soladigm, a company which makes windows that automatically tint to lower energy use.

They also invested in SustainX, a company which designed a system of storing energy for utilities using compressed air in tanks, and in ClimateWell, which is making a solar-powered air conditioner for consumers. Having an investment from GE will help these small companies get to market quicker, which is particularly difficult in the energy industry, said Tom Noonan, the CEO of Sustain X.

To give an idea of the money required to commercialize energy products, Immelt said that the money Google raised before it went public is equal to what is required to build one solar power plant.

In all, GE's panel of judges evaluated about 3,800 energy-related proposals from 150 countries. The $100,000 grants went to more risky ideas, including Capstone Metering which makes a water meter powered by flowing water and inflatable wind turbine blades from a company called Winflex.

There were also "Consumer Innovation" awards of $10,000 given out to people who gained a lot of votes online during the contest, which included Clarian Technologies, which is making a "plug and play" solar power system designed for relatively small solar systems. Solar Roadways, which envisions power-generating roads made from solar panels, received $50,000 for getting the most votes among people participating in the online discussion around the grid challenge.

In terms of its venture-grade investments, GE has built a database of potential companies and plans to continue investing the rest of the $200 million between now and the end of next year, said Beth Comstock, GE's chief marketing officer. One of the big differences between the traditional venture capital model and working with GE is that the due diligence process is more rigorous because GE experts were tapped to evaluate very technical contest submissions, said Steve Vassallo from Foundation Capital.

Looking forward, GE will seek to keep the community of entrepreneurs and scientists it gathered online engaged. The company is also planning to develop a referral system to match companies in different stages of development with the appropriate source of funding and research, such as universities and angel investment groups, Comstock said.

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Les leaders du Smart Grid joignent leurs forces pour lancer la Smart Energy Demand Coalition à Bruxelles

 
BRUXELLES, November 16, 2010 - Pour souligner le rôle essentiel des utilisateurs d'énergie dans le Smart (SMAR.JK - actualité) Grid, les services publics principaux, les sociétés technologiques, et les groupes du secteur ont lancé la Smart Energy Demand Coalition (SEDC) aujourd'hui lors d'une conférence de presse à la Strategic Energy Technology Plan Conference de l'Union européenne. Les membres de la SEDC comprennent les fondateurs eMeter et VaasaETT, ainsi que Landis+Gyr, EDF (EDF (Paris: FR0010242511 - actualité) .FR), ENEL (Milan: ENEL.MI - actualité) (ENEL.MI), Gas Natural Fenosa (BMAD: GAS), the Climate Group, Vodafone (London: VOD.L - actualité) (LSE: VOD, Nasdaq (NASDAQ: actualité) : VOD), Universidad Comillas (Madrid), the European Smart Meter Investment Group, the Demand Response et la coalition Smart Grid (DRSG), The Peak Load Management Alliance (PLMA), Capgemini (Euronext (Paris: NL0000290641 - actualité) : CAP), Entelios, Jouleasset, Schneider Electric (Paris: FR0000121972 - actualité) (Euronext: SU), the ZigBee Alliance et Silver Spring Networks.

La SEDC est une association à but non lucratif de l'industrie située à Bruxelles et elle est constituée de services publics, de distributeurs d'électricité et de fournisseurs de service et de technologies en rapport à la réponse à la demande, la réduction de la consommation d'énergie, les comptages intelligents et les réseaux électriques intelligents. La Coalition est disposée à partager son expertise et ses informations avec les participants de l'industrie, ainsi que les organismes de contrôle et les décisionnaires, la presse et les associations de consommateurs en ce qui concerne le déploiement de comptages intelligents et de systèmes de communication cherchant à permettre aux fournisseurs d'énergie d'offrir à leurs clients des taux basés sur les délais avec des remises en période creuse, permettant ainsi aux consommateurs d'économiser sur leurs factures d'électricité en variant leur demande en réponse aux signaux des prix. Des avantages supplémentaires sont offerts par les réseaux électriques intelligents, qui automatisent les transformateurs électriques et les circuits utilisés pour la distribution d'électricité.

L'association sera dirigée par la directrice générale Jessica Stromback, qui est actuellement une associée principale centre global de recherche en matière d'énergie VaasaETT. Chris King, le fondateur de DRSG, un groupe similaire aux États-Unis, et un expert leader de l'industrie qui a effectué plusieurs discours lors d'évènement divers en Europe et qui a également témoigné devant le congrès américain sur la demande d'énergie intelligente et les comptages intelligents, présidera au départ la SEDC.

<< Les organismes de contrôle à travers l'Europe sont actuellement en cours de débats et finalisent les exigences nécessaires pour les déploiements de comptage intelligent et de réseau électrique intelligent, notamment les plateformes sur lesquelles la réponse à la demande et les programmes de réduction de consommation d'énergie seront construits, aidant ainsi à influencer la possibilité des clients de services électriques à contribuer à l'avancement des objectives agressifs de l'U.E. de changement de climat pour 2020, >> a déclaré Mme Stromback. << Notre but est de fournir des informations utiles sur les charges dépendant des prix, la technologie et le programme, les règles et les structures du marché, y compris les informations sur les rôles des participants au marché, les actions et les besoins des clients, les technologies et les programmes spécifiques, le cas échéant. >>

Équilibrer la consommation avec les générations pourrait être considéré comme la formation du coeur de l'intelligence du Smart Grid. Dans une certaine mesure, le succès du réseau électrique << intelligente >> est ainsi dépendant de la capacité qu'ont les services publics à rendre la demande d'énergie << intelligent >>, en utilisant des outils tels que le feedback, la tarification, l'automatisation, etc. Malgré leur position centrale dans un nouveau futur des réseaux électriques intelligents, les programmes centrés sur la demande sont bien derrière les marchés mondiaux.

Des milliards d'euros sont actuellement dépensés pour le développement et le roulement d'une variété de technologies liées au Smart Grid à travers l'Europe. Celles-ci comprennent Smart Metering, la génération du vent, la génération du solaire, les véhicules électriques et les pompes à chaleur, etc. Pourtant en comparaison avec le financement, les initiatives de standardisation, les régulations, la publicité et l'intérêt spécial pour ces technologies, relativement peu d'attention est portée au développement et au soutien des programmes pour la demande qui seront essentiels pour les intégrer avec succès dans le réseau, et qui sont le coeur de << l'intelligence >> du réseau.

<< Comme nous l'avons vu dans de nombreux roulements et pilotes Smart Meter à travers l'Europe, le développement technologique sans développement de programme ne peut pas fournir de bénéfices adéquats pour le client pour justifier les coûts, >> a indiqué Chris King, responsable des réglementations d'eMeter. << eMeter a plusieurs projets en Europe et travaille avec des organismes de contrôle dans les pays de l'U.E. sur le comptage intelligent et les meilleurs pratiques correspondantes. Nous sommes heureux de nous consacrer aux clients et aux bénéfices créés par la demande en énergie intelligente. >>

La SEDC organise une conférence annuelle sur la demande en énergie intelligente pour que tous les participants de l'industrie partagent l'histoire de leurs réussites et l'apprentissage des programmes allant de pilotes à des roulements à grande échelle. La SEDC tient également des réunions réservées aux membres pour les programmes européens et le développement et la planification de politique, le partage trimestriel des informations et les wébinaires de réseau, une base de données étendue de recherche sur la demande et les informations sur les clients, et les communications habituelles, notamment une newsletter bimensuelle de la société et des bulletins spéciaux sur les développements de l'industrie et de la politique.

À propos de SEDC : La Smart Energy Demand Coalition (SEDC) est une association de négoce européenne pour les sociétés qui offrent des produits et des services dans les domaines de réponse à la demande et de réseau électrique intelligent. La SEDC travaille à augmenter la prise de conscience sur la façon dont la réponse à la demande et les technologies des réseaux électriques intelligents peuvent aider à moderniser notre système électrique et offrir aux clients de nouvelles informations et des options pour gérer leur consommation en électricité.

À propos de VaasaETT : VaasaETT, un Global Energy Think Tank (centre global de recherche en matière d'énergie), partage et développe les meilleurs pratiques pour le secteur des services mondiaux d'électricité, de gaz et d'eau à travers notre réseau de milliers de dirigeants, de représentants, de chercheurs et autres experts qui sont pour la plupart que nous connaissons personnellement et en qui nous avons confiance. La valeur est offerte aux partenaires par la synergie des forums interactifs et des projets de recherche en collaboration ou de développement de marchés. Le << Think-Tank >> se couvre une large palette de problématiques telles que les affaires stratégiques, le marché, l'innovation et la régulation, et il est reconnu mondialement pour son expertise dans des domaines tels que la psychologie et le comportement du client, le comptage intelligent et la réponse à la demande.

À propos d'eMeter : eMeter propose des logiciels indispensables pour permettre aux services d'électricité, de gaz et d'eau de réaliser pleinement les promesses du réseau électrique intelligent. Les services publics de premier plan, dans le monde entier, dépendent du logiciel de gestion de ce réseau électrique intelligent proposé par eMeter pour réduire leurs frais d'exploitation, améliorer le service client, et réduire leur consommation d'énergie. Grâce à des déploiements à grande échelle dans l'industrie et à des partenariats stratégiques avec Accenture (NYSE: ACN - actualité) , IBM (NYSE: IBM - actualité) , Logica (London: LOG.L - actualité) , et Siemens (Xetra: 723610 - actualité) , eMeter la société eMeter s'est bâti une réputation d'expertise inégalée qui garantit la réussite de ses clients.

ICT4ALL-Tunis+5 : A l'occasion du Forum «Villes vertes et connectées 2.0» ACIDD a présenté son programme d'étude sur les Smart Grids

 
Tunisie «Villes vertes et connectées 2.0» - Pour une meilleure qualité de vie:

En marge du forum international ICT4ALL-Tunis+5, qui s'est déroulé à Hammamet du 10 au 12 novembre sur le thème « TIC et jeunes : source d'inspiration, d'innovation et d'entreprenariat» et dans le cadre des événements parallèles, l'Association tunisienne d'Internet et de multimédia (Atim) a organisé en collaboration avec l'Association communication et information pour le développement durable (Acidd)-(France), un atelier international sous le thème «les villes vertes et connectées 2.0» et en présence de Mme Lamia Chaffai Sghaïer, secrétaire d'Etat auprès du ministre des Technologies de la Communication chargée de l'Informatique, de l'Internet et des Logiciels libres.

Dans son allocution, Mme Lamia Chaffai Sghaïer a tenu à souligner l'importance du thème du workshop «Les villes vertes et connectées 2.0» qui représente un concept majeur dans l'amélioration de la qualité de la vie dans nos villes, et ce, par la présence de plusieurs composantes : administration électronique, transport intelligent, etc. En effet, selon Mme la secrétaire d'Etat, un tel rassemblement permet de pousser la réflexion sur la bonne utilisation des TIC.

En parallèle, M. Gilles Berhault, président de l' l'Association communication et information pour le développement durable (Acidd) a mis l'accent sur l'importance des TICs dans la vie quotidienne des citoyens du monde comme l'atteste la massive utilisation du téléphone portable et de l'ordinateur (5 milliards de GSM et 1 milliard de machines connectées dans le monde). D'autre part, en s'adressant aux étudiants participant à l'atelier, il a déclaré : «Vous les jeunes, vous avez la chance de vivre dans une époque où les TIC nous permettent de faciliter plusieurs tâches du quotidien ainsi que la géo-localisation et le partage de l'information».

De son côté, M. Moez Souabni, président de l'Association tunisienne d'Internet et de multimédia (Atim), a annoncé que les municipalités de Sidi Bou Saïd, Bouarada, El Bradaâ et Hammam-Sousse vont mettre prochainement à la disposition de leurs habitants, sur leurs sites officiels, une application (une sorte de logiciel) leur permettant de calculer la taxe locative.

30 villes inscrites dans le projet «Ville-Jardin»

En tant que premier intervenant dans le panel : «Le réseau des villes numériques : Etat de l'art/Expériences», modéré par M. Gilles Berhault, M. Ameur Hamrouni, représentant de la commission nationale de la propreté et de l'esthétique de l'environnement (Cnepe), a mis en exergue le concept de «La ville-Jardin». Il a tout d'abord mentionné que 30 villes (24 chefs-lieux de gouvernorat et 6 pôles touristiques) sont inscrites dans ce projet dont 23 ont déjà obtenu le label et les 7 restants l'obtiendront au début de l'année 2011. Toutefois, toujours selon M. Hamrouni, pour l'obtention du label Ville-Jardin, 13 critères, doivent être remplies : un minimum de 15m2 d'espace vert par habitant, existence d'au moins cinq espaces verts importants, existence d'un parc urbain, existence d'un boulevard de l'Environnement, existence d'au moins 3 artères principales bien aménagées, présence d'un parcours de santé et/ou un circuit touristique ou culturel, partenariat avec au moins une association dans les domaines de la sensibilisation, adoption d'un arbre ou d'une plante ornementale spécifique à la ville, existence d'au moins 3 monuments spécifiques à la ville, adoption de systèmes d'économie d'eau ou d'énergie, encouragement à l'embellissement des façades (balcons fleuris, architecture traditionnelle...), aménagement approprié des différentes entrées de la ville en particulier en termes d'esthétique et, enfin, la conception et mise en Å"uvre d'un projet innovant dans une perspective de développement durable.

L'avenir est dans la ville numérique

M. Touhami Midani, expert en TIC, membre de l'Atim, ancien vice maire de la ville de Tunis, a donné un petit aperçu sur le concept des réseaux des villes numériques en Tunisie à travers l'avancement du réseau tunisien des 8 villes numériques (les municipalités de Sidi Bou Saïd, Bouarada, Chenini, Le Kef, Denden, El Bradaâ, Hammam-Sousse et Kairouan). De son côté, M. Béji Chaouachi, maire de la ville de Sidi Bou Saïd, a mis en avant l'expérience de sa commune comme étant la première ville numérique du sud de la Méditerranée, notamment après la réalisation d'un ensemble de projets et l'offre de plusieurs services à distance dont la connexion à Internet dans les parcs et lieux publics, la création de clubs de production numérique dans les institutions éducatives et scolaires, outre les possibilités offertes aux touristes et visiteurs d'effectuer des visites virtuelles aux sites archéologiques de Carthage-Sidi Bou Saïd.

Reste à noter que l'atelier a été animé par un deuxième panel intitulé : «Technologie et service pour une ville 2.0» modéré par M. Adel Gaaloul, directeur général de Sotetel dont plusieurs interventions faisaient partis dans la charpente de ce panel dont les thèmes étaient : «Qualité numérique, qualité de la vie», «Développement des hauts débits dans les villes» et une présentation par Eric Chauvelot, responsable Analyses et Etudes d'ACIDD de l'étude et du programme Smart Grids coordonné par Acidd et l'Institut Télécom.

Les réseaux électriques n’ont quasiment pas évolué depuis leur mise en place, il y a plus de 100 ans. Dans ces conditions, comment ces systèmes qui entrent en désuétude vont pouvoir répondre aux nombreuses problématiques rencontrées aujourd’hui par le marché de l’électricité : augmentation de la demande énergétique, diminution des ressources disponibles, protection de l’environnement et intégration des énergies renouvelables ? Pour répondre à ses questions, les pouvoirs publics, les organismes de réglementation, les compagnies de distribution et les entreprises technologiques envisagent de créer un « réseau de distribution d'électricité intelligent », également appelé Smart Grid, qui devrait regrouper, coordonner et superviser l’offre et la demande d’électricité de façon globale.

Assurément de tels concepts permettront sans aucun doute d'améliorer les mutations économiques et sociales, au coeur de la ville intelligente, et contribueront à créer des valeurs sur les territoires, grâce aux nouveaux métiers et activités via ce nouveau type de villes : les villes d'aujourd'hui et de demain.

Abdel Aziz Hali

Les télécoms au service du smart grid

Par Nic Cantuniar, VP Europe de Cable&Wireless Worldwide

Les réseaux électriques n’ont quasiment pas évolué depuis leur mise en place, il y a plus de 100 ans. Dans ces conditions, comment ces systèmes qui entrent en désuétude vont pouvoir répondre aux nombreuses problématiques rencontrées aujourd’hui par le marché de l’électricité : augmentation de la demande énergétique, diminution des ressources disponibles, protection de l’environnement et intégration des énergies renouvelables ?
 
La création du réseau de distribution d'électricité intelligent
Pour répondre à ses questions, les pouvoirs publics, les organismes de réglementation, les compagnies de distribution et les entreprises technologiques envisagent de créer un « réseau de distribution d'électricité intelligent », également appelé Smart Grid, qui devrait regrouper, coordonner et superviser l’offre et la demande d’électricité de façon globale.
 
L'an dernier, le « package télécom » européen est officiellement entré en vigueur avec pour objectif la création d’un marché énergétique européen intégré, première étape vers un réseau de distribution intelligent [1]. Les directives s'appliquant au marché du gaz et de l'électricité imposent aux états membres de L’Union Européenne d’instaurer des « systèmes de compteurs intelligents » favorisant la participation active des consommateurs. Il est prévu que 80 % des ménages en Europe soient équipés avec ce type d’appareil d'ici 2020 et que tous en soient dotés en 2022.
 
L'installation de compteurs intelligents capables de surveiller la consommation d'énergie et de revendre l'éventuel surplus au réseau de distribution constitue la première étape vers le déploiement un réseau intelligent européen. En France, le Ministère de l'Ecologie, de l'Energie du Développement Durable et de la Mer a publié, le 2 septembre 2010, un décret prévoyant l’installation de ces compteurs intelligents dans les foyers français à partir de 2012. L’appareil est d’ores et déjà testé à Tours et à Lyon.
 
Le futur réseau intelligent utilisera le numérique pour surveiller l'approvisionnement électrique affluant dans le réseau et contrôler, en même temps, la demande des consommateurs - y compris pour les appareils électroménagers - avec les objectifs suivants : économiser l'énergie, réduire les coûts et accroître la fiabilité de l'alimentation. Pendant les heures creuses, les utilisateurs pourront, grâce au réseau intelligent, mettre en marche certains appareils domestiques, comme une machine à laver ou des machines-outils, dans les usines. Durant les pics de consommation électrique, on peut, au contraire, éteindre ces appareils pour réduire la consommation.
 
Un réseau intelligent utiliserait, en outre, des lignes supraconductrices pour renforcer l'efficacité du transport, améliorer la faculté de stockage de l'électricité non-consommée et la distribuer au cours de périodes de forte demande. La capacité de stockage constitue une caractéristique importante dans la gestion des fluctuations de l'énergie produite par les ressources solaires et éoliennes. Voilà qui constitue un avantage fondamental pour permettre une bonne adaptation aux énergies renouvelables.
 
Les perspectives de ce secteur sont florissantes. Ce type de réseau électrique modernisé est promu par de nombreux États comme un moyen de résoudre les problèmes d'indépendance énergétique, de réchauffement climatique et de résilience aux pannes.Le développement d’un réseau intelligent est aujourd’hui promu par de nombreux gouvernement comme une solution permettant indépendance énergétique mais aussi de lutter contre le réchauffement climatique et d’améliorer la résilience du réseau. Ainsi, selon SBI Energy, le marché mondial du réseau intelligent devrait augmenter de 150 % entre 2009 et 2014, atteignant 171 milliards de dollars d'ici 2014.
 
Le « super-réseau intelligent » européen comme d'autres propositions précédentes (telles que le réseau intelligent unifié continental d'Al Gore) a pour objectif une interconnexion des réseaux à l'échelle nationale et internationale sans qu’une panne localisée puisse affecter l’ensemble.         
 
Il n'y a aucun doute sur les avantages d’un réseau intelligent : baisse de la consommation d'énergie, respect de l'environnement, économies pour les entreprises et les particuliers, source de revenus pour un large éventail d'entreprises du secteur de l'informatique et des télécommunications. Il est donc clair que cet outil s’avère bénéfique pour les particuliers comme pour les entreprises.
 
Un réseau quasi-illimité
Voilà pour les bonnes nouvelles. Si le réseau intelligent est doté d'un potentiel quasi-illimité, sa complexité l'est presque tout autant. Ce projet, qui suppose ni plus ni moins que de redéfinir la manière dont les pays alimentent entreprises et foyers en électricité, pourrait facilement s'enliser en raison de priorités divergentes, d'un attentisme des pouvoirs publics et d'un mode de pensée trop traditionnel.
 
Alors que de nombreuses discussions portent sur le « réseau intelligent », il semble y avoir quelques hésitations quant à sa mise en place concrète. L'infrastructure devra dépendre de la communication, rendant les Technologies de l'Information et de la Communication (TIC) essentielles à son développement et à son installation : le plus grand obstacle.
 
La création du réseau intelligent sera sans aucun doute un projet s'étalant sur plusieurs années avec un parcours semé d'embûches. Parmi les protocoles qui piloteront le réseau intelligent, beaucoup sont bien connus, comme l'Internet Protocol (IP) et 802.15, la référence en matière de réseau personnel sans fil. Malgré tout, des protocoles et des normes spécialisés devront être créés et fonctionner comme un réseau maillé coordonné et interdépendant. Ce type de réseau, pour la majeure partie, n'existe pas encore.
 
Le réseau intelligent, comme son nom l'indique, est un nouveau système électrique plus intelligent qui associera les TIC et les sources renouvelable d’énergie afin d’améliorer la manière dont l'électricité est produite, fournie et consommée. Il apportera une information en temps réel aux compagnies de distribution, leur permettant de gérer un réseau électrique entier comme un système intégré unique. Ainsi, les entreprises pourront détecter et répondre aux modifications intervenant dans la demande en énergie, l'alimentation, les coûts et les émissions, et ce, des panneaux solaires jusqu’aux parcs éoliens en passant par les usines à forte consommation d'énergie.
 
Les conditions de création du réseau sont primordiales au bon fonctionnement des divers outils utilisés dans le réseau intelligent : capteurs, moniteurs, appareils de communication, etc. En se reportant à la manière dont les problèmes rencontrés dans le réseau intelligent ont déjà été résolus dans le secteur des télécommunications, il est possible pour les entreprises d'en tirer des leçons.
 
Les racines du secteur des services publics nous éclairent sur les mesures nécessaires pour relever une grande partie des défis posés par la mise en place d'un réseau intelligent. Ils comprennent les aspects suivants : interaction, efficacité optimale, facturation seconde par seconde, surveillance des systèmes en temps réel, visibilité de l'infrastructure jusqu’au niveau du moindre nœud et sécurité. Beaucoup d'entre eux ont déjà été abordées par le secteur des télécommunications et peuvent être mis à profit pour le développement de ce réseau intelligent.
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[1] Un réseau intelligent est composé d’un système de supervision intelligent gérant l'ensemble de l'énergie affluant dans le système. Il comprend aussi l'utilisation de lignes de transmission supraconductrices réduisant les pertes de puissance ainsi que la capacité d'intégrer de l'électricité renouvelable comme le solaire ou l'éolien.

Top 10 Countries for Smart Grid Investment

Smart grids are the future of energy distribution and represent a significant front in the effort to lower global emissions. Using advanced metering technology, they create a two-way communication between the grid and appliances and are able to smoothly bring more renewable energy into the system . The net result is a more efficient flow and consumption of electricity — reducing costs for consumers and providers, lowering waste, and making power distribution more scalable to meet growing demand.

In 2010, China is the worldwide leader, having designated $7.32 billion for smart grid investment, based on data from Zpryme Research & Consulting, an Austin, Texas research and consulting firm that draws on stated federal spending figures. The U.S. was second at $7.09 billion; Japan was a distant third at $849 million and South Korea was fourth at $824 million. The first European nation was Spain, which finished fifth at $807 million. The below graphic shows the full top ten, with countries’ sized relative to smart grid investment amount.

 Top 10 Countries for Smart Grid Investment | GE Reports

* Learn about today’s $2 billion investment that GE is making in China, including two joint ventures on smart grid technologies

Second consultation on smart metering in Ireland

Ireland’s Commission for Energy Regulation (CER) has published a second consultation paper on smart metering aimed at eliciting further feedback on possible functional requirements for a national rollout. This second consultation builds on the responses to an earlier consultation launched in June, and it presents a number of proposals by the CER for adoption as working assumptions relating to the business/data and other requirements for a full smart metering rollout to be used in the cost benefit analysis.

Specifically the consultation covers the following:

• Objectives of National Smart Metering Program
• Ownership, display and provision of smart metering information
• Smart meter functionality
• Scenarios for smart metering wide area network (WAN) communications technology
• Scenarios for model for providing and managing smart metering wide area network (WAN) communications technology
• Scenarios for smart metering home area network (HAN) communications technology
• High level program implementation timelines.

The CER proposes that data should be recorded on a half-hourly basis for electricity and probably as a minimum daily for gas. A data portal will be provided through which suppliers can access data for their customers, updated daily, on a push and/or pull basis. The same portal could possibly also be used by consumers to access their data, but whether an in-home display will be mandatory will depend on the results of testing.It is assumed that a single communications infrastructure will be leveraged for both electricity and gas smart metering, and work is on going to investigate the potential synergies with water metering. The proposed scenarios for the wide area network (WAN) communications technology are: DLC (urban) + RF (rural); DLC (urban) + GPRS (rural); and GPRS (all). For the home area network (HAN) communications technology, the two likely scenarios are two separate HAN communication ports on the electricity meter, or a pre-installed embedded HAN chip plus full HAN communications stack.

The CER proposes a four-phase implementation of which phase 1 of discovery, exploration and business case development is under way currently with completion due by the end of Q1 2011. Phase 2 will comprise planning, requirement definition, procurement and selection over a period of up to 2 years. This will be followed by phase 3, comprising the detailed design, system testing and pre-deployment rollout of around 20,000 meters, before moving into the phase 4 2-4 year full deployment phase. 

The consultation period ends on January 14, 2011. The responses will inform input into the cost benefit analysis for smart metering in Ireland, which will be completed during Q1 2011.

Partnering for Progress : Creating a Consumer-Safe, Consumer-Friendly Smart Grid

 

 Join top utilities, vendors, consumer advocates and researchers as we discuss cutting-edge techniques for empowering and engaging consumers at the Smart Grid Consumer Collaborative Annual Symposium on Jan. 31, 2011 in San Diego. The SGCC is the only organization that brings together all stakeholders — utilities and vendors and consumer advocates and researchers — to work in partnership towards a modern, consumer-friendly smart grid. Attend this fast-paced, half-day symposium to get :

• Findings from the latest research, including the results from SGCC’s focus group studies in different regions of the U.S.
• Lessons from pioneering utilities as they reveal what works and what doesn’t
• Insights from consumer advocates as they share what their constituents need and want
• Expertise from other industries that have decades of experience understanding, segmenting and satisfying consumers

Partnering for Progress is a must-attend event for anyone charged with delivering smart grid programs, products or services to consumers. And for anyone charged with helping consumers gain the benefits of the smart grid while protecting their rights, including utility commissioners, consumer counsels, and environmental groups.

Bonus: All registrants will receive a free copy of the SGCC’s State of the Smart Grid Consumer report, an integrated analysis of the common themes from more than two dozen major research studies (many not available to the public). 

To register: Fill out the registration form being sure to check one of the two Smart Grid Collaborative check boxes in the lower right of the second page (highlighted in red). You can register for the DistribuTECH conference on the same form if you choose.

Partial list of speakers and panelists

• Jesse Berst, Founder, Smart Grid News and co-founder SGCC
• Greg Guthridge, Managing Director, Accenture Retail and Business Services for Utilities
• David Merkowski, Executive Creative Director, frog design
• Judith E. Schwartz , Founder, To the Point Marketing
• Richard Walker, President, Control4 Energy Services

About the SGCC : The SGCC was founded in spring 2010 with the mission to foster consumer adoption of the Smart Grid. Its membership includes consumer electronics and technology companies, retailers, consumer advocacy groups and utilities working to help industry understand consumers and consumers to understand the smart grid.

 SGCC_Symposium_Registration_Form

Home Area Network is the Future for Millions of Homes

 
ON (News - Alert) World Inc, provider of world class business intelligence on smart technology markets recently published a report on the emerging Smart Energy Home market that also covers ZigBee, Wireless Sensor Networking (WSN). According to ON World a global market research firm, millions of neighborhoods and homes worldwide will be using Wireless Sensor Network (WSN) in the next five years. Mareca Hatler, ON World’s research director stated "The Home Area Network (HAN) is becoming the developer opportunity of the coming decade. Although smart metering is the largest Smart Grid market today, the HAN promises to be the fastest growing with new products and services appearing daily." ON World conducted survey on the Smart Energy Homes with 600 consumers from five continents. From that 59 % are interested to adopt new technologies that will help to manage their energy in a better way and 81 % are even ready to pay for energy management equipment if they can save up to 30 percent on their energy bill.

Developers from energy, security, telecom, consumer products and home networking industries were already attracted towards WSN technologies such as ZigBee and its Smart Energy Profile. With the support of market leaders like Belkin, Cisco, D-Link and GE, ZigBee become the preferred Home Area Network technology by Smart Home platform providers worldwide.

By 2015, 250 million wireless chipsets will be used in products for building a smarter grid. 

ADT Security recently launched its interactive home control service. British Telecom, Bouygues Telecom, Comcast and Verizon are also planning or already offer Home Area Network to their customers. Cloud platforms by Alertme, iControl, Intamac, IJENKO, and uControl are also targeting a growing number of service providers that are making HAN services both affordable and accessible for the mass market.

About 250 million wireless chipsets will be used in products for building a smarter grid by the year 2015. ON World recently published reports covering ZigBee, smart metering, green buildings, and home energy management based on 1000 plus phone interviews and surveys with consumers and professionals. ON World market research and information services are sold to Fortune 1000 companies, service providers, venture capitalists and startups worldwide.

 

Smart Grid Distribution Automation Spending to Total $46 Billion Worldwide by 2015

 

As the smart grid has evolved, most of the media and public focus has been on consumer-facing products and technologies, such as smart meters, automated metering, and home energy management systems.  While those areas will continue to be important, a new study from Pike Research finds that utilities are placing increased emphasis on adding greater intelligence and control capabilities to their distribution infrastructure.  During the period from 2010 to 2015, the cleantech market intelligence firm forecasts that worldwide utility investment in distribution automation (DA) will total $46 billion, with a robust growth in spending over the next few years.

“Distribution automation is emerging as the next hot topic in the smart grid industry,” says senior analyst Bob Gohn.  “For utilities, DA deployments can yield significant cost savings through measurable improvements in operational efficiency, reliability, service quality, and energy conservation – all of which can contribute to customer satisfaction.  In many cases, we expect that DA will yield stronger return on investment than smart meters or other high-profile smart grid initiatives.”

Gohn adds that the largest category for DA spending will be distribution switchgear, which includes upgraded distribution transformers, reclosers, sectionalizers, disconnect switches, and fused cutout switches.  Pike Research anticipates that switchgear will represent 53% of distribution automation spending during the 2010-2015 forecast period.  Other key DA categories will include Volt/VAR optimization; fault detection, isolation, and recovery (FDIR); and feeder protection and control.

Pike Research’s report, “Distribution Automation”, forecasts the size and growth of the worldwide distribution automation market by region and technology segment through 2015.  The report analyzes market factors and technology issues that affect the DA market’s growth, and it addresses the key applications producing benefits and value for utility customers.  Detailed profiles are also included for prominent utilities, industry vendors, and other players involved in the DA ecosystem.  An Executive Summary of the report is available for free download on the firm’s website.

Pike Research is a market research and consulting firm that provides in-depth analysis of global clean technology markets.  The company’s research methodology combines supply-side industry analysis, end-user primary research and demand assessment, and deep examination of technology trends to provide a comprehensive view of the Smart Energy, Clean Transportation, Clean Industry, and Building Efficiency sectors.  For more information:  www.pikeresearch.com or call +1.303.997.4619 .Posted in Newsroom

Smart Grid Managed Services Market to Grow 75% Year-over-Year Between 2010 and 2011

 
Utilities in many parts of the world, and especially in the United States, are experiencing radical operational change as they deploy smart grid upgrades. To meet this challenge, many utilities are already seeking consulting and implementation services from vendors to assist with smart grid deployments. And even after the infrastructure is in place, utilities will face a new set of challenges associated with ongoing smart grid operations, presenting an expanded opportunity for managed service providers. According to a new report from Pike Research, the smart grid managed services market is accelerating rapidly, and the cleantech market intelligence firm forecasts that the sector will experience year-over-year growth of 75% between 2010 and 2011, rising from $470 million to $821 million during that period. The firm anticipates that smart grid managed services will reach $4.3 billion in global revenue by 2015.   MORE INFO

 

Smart Grid : GridPocket fournit une plate-forme de services pour la maîtrise de l’énergie

GridPocket fournit une plate-forme de services pour la maîtrise de l’énergie

par Stéphane Parpinelli | Cleantech Republic

Susciter l’adhésion des consommateurs aux projets de smart grid est un défi majeur que devront relever les fournisseurs d’énergie. La jeune entreprise GridPocket leur vient en aide en leur fournissant en marque blanche une plate-forme de services mobiles à valeur ajoutée de gestion de la maîtrise des ressources énergétiques.

Dans leur projet de déploiement de smart grid, les fournisseurs d’énergie sont confrontés à un défi majeur : susciter l’adhésion des consommateurs. Pour convaincre les usagers et les fidéliser, ils vont devoir, comme les opérateurs de téléphonie mobile, développer des services innovants fondés sur les technologies de comptage intelligent et les équipements domotiques dernier cri. Ils pourront notamment s’appuyer sur le savoir-faire de la jeune entreprise GridPocket. Laquelle fournit en marque blanche aux opérateurs d’énergie une plate-forme de services mobiles à valeur ajoutée de gestion de la maîtrise des ressources énergétiques.

Née fin 2009 et basée à Sophia-Antipolis, la start-up a dégagé de son étude de marché trois problématiques essentielles auxquelles devront répondre les fournisseurs d’énergie : un manque d’informations du côté des usagers, la gestion de la demande avec, en corollaire, l’équilibre entre la production et la consommation d’énergie, et une concurrence accrue suite à l’ouverture du marché de l’énergie. S’agissant de l’information des usagers, tout reste à faire. « Aujourd’hui, le consommateur d’énergie est aussi informé qu’un client qui achèterait des produits dans un supermarché n’affichant pas les prix », illustre Filip Gluszak, Président de GridPocket.

Un affichage des données de consommation d’énergie sur smartphone

Dans ce domaine, la jeune pousse a développé des fonctions satisfaisant aux résultats d’une étude de l’université d’Oxford menée en 2006 sur le comportement des usagers : celle-ci concluait que l’affichage ambiant de données contribuait à réduire la consommation d’énergie de plus de 15%, et de 25% en cas d’impact social d’une attitude éco-responsable.

La brique, baptisée GridPocket Client, a ainsi deux principales vocations. La première est de fournir aux usagers des applications mobiles d’affichage d’informations sur leur consommation d’énergie (watts, CO2, prix…). Et cela, sur des smartphones – iPhone, Android, et plus tard Windows Mobile - mais aussi sur des terminaux IPTV. La seconde consiste pour un usager à relayer dans ses réseaux sociaux préférés, Facebook ou Twitter, ses prouesses de « consommacteur » en matière de lutte contre les émissions de gaz à effet de serre.

Au chapitre de la gestion de la demande, et en particulier celle en période de pointe, GridPocket a développé un module logiciel embarqué de contrôle des appareils de la maison (radiateurs électriques, frigidaires, machines à laver, etc.). La technologie de ce logiciel de contrôle d’équipements connectés au réseau internet fait l’objet d’un brevet dit de délestage IP à bas coût. Autrement dit, grâce à ce module, il sera possible pour un fournisseur d’énergie de procéder, lors d’un pic de demande, à un effacement diffus de certains appareils.

Une technologie brevetée de délestage à bas coût

Quant à la question de la fidélisation des clients des opérateurs soumis à une concurrence de plus en plus rude (le « churn » est de 10 à 15% chez les énergéticiens), GridPocket y répond avec son Mobile Energy Server. Ce serveur « dans les nuages » fait le lien entre les distributeurs d’énergie et les usagers. Interfacé aux compteurs intelligents, il collecte les informations de consommation, les analyse et sécurise leur diffusion. La phase de traitement et d’analyse de cette masse de données s’appuie sur un système expert dont les algorithmes d’apprentissage vont permettre au fil du temps d’affiner la relation avec les clients. Ce qui passera par la fourniture de services plus en adéquation avec les attentes des consommateurs.

Le premier déploiement commercial de la plate-forme de GridPocket est prévu pour 2011. La jeune société participe pour l’heure à un projet pilote sur la ville de Cannes. Et Filip Gluszak de confesser que « l’avenir de GridPocket est associé en grande partie au déploiement des compteurs intelligents, dont le nombre d’unités devrait dépasser les 250 millions au niveau mondial dans quatre ans ». Juste une question de temps…

Smart meters and the coming data deluge

Smart meters and the coming data deluge

Managing the information is key to realizing full smart grid benefits

Published In: Intelligent Utility Magazine September/October 2010

 

   

THE MOVE TO THE SMART GRID RESULTS IN A PARADIGM shift regarding metering data. Currently, most utilities create monthly files of meter reads (using manual collection) and submit them to the billing system. With the smart grid, utilities are transformed from distributors of power to brokers of information that handle millions of data transactions every day. For a utility this means that the simple transactions involved in the meter-to-cash function are completely altered. When the numerous other functions are considered, such as outage management and demand response events, the impending scale of the challenge becomes apparent. To illustrate, for every million meters that a smart meter operations team serves, the team can expect to support :

• More than 2,000 meter exchanges per day during deployment
• More than 1,000 customer moves per day (assumes 25 percent yearly turnover)
• 10,000 missing reads per day (assumes 99 percent daily read success)
• 20 meter failures per day (assumes a 0.5 percent annual failure rate)
• 10,000 data changes per day
• More than 97,000,000 meter reads per day (assumes 15-minute data intervals)

Utilities will be inundated with data not only coming from smart meters, but also intelligent assets on the grid, weather systems, energy traders, customer patterns, social medias, participants throughout the energy community and other sources.

Clearer view of typical behavior

The amount and frequency of this new data will provide utilities with a much clearer view into how the end-customer utilizes their service by revealing their typical behavior and usage patterns. The next evolution in the smart grid is to utilize this influx of data and associate it with key action items that can be applied and communicated to customers to help modify their behaviors.

To minimize costs and maximize benefits, utilities need a long-term, structured plan that provides a clear and coordinated map of where data originates, where it goes, what processing takes place along the way and how every department that touches it extracts its full value

To do this, utilities need to determine their data strategy. This will require a substantial amount of education, research and knowledge development. Having a clear line of sight on what the end purpose for the data is, and what intelligence the utility, the regulator and the customer needs to create real, tangible value, is critical for such a strategy. By having a structured plan, utilities will make the management and storage of data much more focused.

Faced with the prospect of dealing with enormous amounts of data, such a step will ensure that the volume of data and associated costs will be effectively managed

Obama plan calls for improving home energy. Biden unveils plan to score homes for energy efficiency

 
U.S. homeowners will be able to get low-cost energy audits that rank a home's efficiency on a scale of one to 10 and get federally insured loans for upgrades, under an Obama administration plan to be announced today. With the new Home Energy Score, consumers will find out how their home compares with others and how much money they could save by adding insulation, sealing air leaks or doing other upgrades. Nine U.S. communities will test the score, similar to a miles-per-gallon label for cars, before it's rolled out nationally next summer.

"Together, these programs will grow the home retrofit industry and help middle-class families save money and energy," says Vice President Biden, who plans to unveil the initiative at a meeting of his Middle Class Task Force. "This is the kind of program that could go viral," says Jared Bernstein, executive director of the task force, noting there are tens of millions of old U.S. homes. He says it will take time, however, to get it going.

U.S. officials expect that the audits, to be done by trained contractors, will cost less than half of current private ones, which often exceed $350, because of their streamlined approach. Consumers will be able to seek up to $25,000 in federally insured, PowerSaver loans at or below market rates. Financing will start early next year as part of a two-year pilot program. "These steps could make a big difference," especially the loans, in spurring retrofits, says Alex Wilson, executive editor of Environmental Building News. He says many homeowners fear they "won't be able to keep up" if energy costs rise again.

The energy score "is not a silver bullet" but a tool needed to educate consumers, says Stephen Cowell, CEO of Conservation Services Group, which manages retrofit programs in two dozen states. To trim energy use, consumers first have to know how much they use and be given incentives as well as feedback, according to a report earlier this month by the private American Council for an Energy-Efficient Economy.

The new initiative is part of the Obama administration's broader efforts to improve home energy efficiency. Its Recovery Act program to weatherize nearly 600,000 low-income homes by March 2012, however, was criticized earlier this year by the Department of Energy's inspector general for moving too slowly. Biden has said the program has picked up its pace this year and has already retrofitted more than 200,000 U.S. homes.

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Watteco développe une intelligence embarquée IPv6 basse consommation dédiée aux applications Smart Grid

Watteco développe une intelligence embarquée IPv6 basse ...

Watteco et Texas Instrument apportent leur technologie respective à un microsystème intégré dans un prototype de prise intelligente, développé au sein du programme collaboratif HOMES en France.

Watteco (www.watteco.com), acteur reconnu dans les technologies hardwares et softwares dédiées aux réseaux intelligents “Smart Grid”, annonce aujourd’hui le développement collaboratif avec Texas Instrument (TI) d’une solution de communication très basse consommation pour les futures générations d’objets communicants. Conçue pour les applications Smart Grid, le microsystème combine la technologie par Courant Porteur sur Ligne WPC™ de Watteco et le microcontrôleur MSP430™, reconnu dans le domaine de la gestion énergétique pour sa basse consommation. Pour plus d’informations, sur le MSP430™ de TI : www.ti.com/msp430.

La première mise en œuvre de ce co-développement est un microsystème de communication pour une prise intelligente assurant les fonctions de contrôle et commande, un prototype spécialement conçu au sein du programme collaboratif HOMES piloté par Schneider Electric et lancé par treize partenaires industriels et acteurs de la recherche en 2008. “La prise intelligente du programme HOMES est une solution “Plug&Control » qui permet de créer un véritable réseau de gestion énergétique en utilisant le réseau électrique de l’habitat » explique Didier Pellegrin, Directeur du programme HOMES. « Utilisant le protocole 6LoWPAN¹, cette solution offre un moyen simple et performant de créer une plateforme de communication hybride où les technologies RF (Radio-Fréquence) et CPL (Courant Porteur sur Ligne) peuvent coexister par le biais du standard IPv6. »

Le déploiement des réseaux Smart Grid vise, en premier lieu, à améliorer l’infrastructure et l’efficacité du réseau de distribution électrique actuel. Au-delà des moyens de distribution, le concept des réseaux électriques intelligents cherche à fournir les outils nécessaires au Contrôle / Commande autour de l’énergie afin de créer un écosystème où gestion énergétique des bâtiments, Maitrise de la Demande en Energie (MDE ou « Demand & Response ») et production individuelle des énergies renouvelables font parties intégrantes du réseau électrique. Pour cela, le déploiement de telles fonctions nécessitent la création de réseaux HAN (Home Area Network pour réseau local de communication domestique) au travers desquels les appareils électriques et les capteurs intelligents peuvent communiquer entre eux.

“C’est une réelle opportunité de travailler avec Watteco qui partage la même vision du Smart Grid que TI » explique Emmanuel Sambuis, Chef de Produit MSP430™. « Les réseaux HAN vont jouer un rôle critique dans la conception des futures solutions de gestion d’énergie. Notre développement commun avec Watteco a pour but d’apporter une intelligence embarquée basse consommation et dotée d’une communication bidirectionnelle ouvert sur le monde de l’IP pour améliorer l’interopérabilité entre les objets communicants ».

La CRE lance un think tank sur les Smart grids

La Commission de Régulation de l'Energie (CRE) lance le premier think tank institutionnel français dédié aux Smart grids, un cercle d'échanges et de réflexion sur les réseaux d'électricité du futur.

Les réseaux électriques connaissent des évolutions et des changements : augmentation de la consommation, diversification des usages, nécessité de décarboner l'environnement, augmentation de la production d'électricité décentralisée à partir de sources renouvelables.

Parce que les infrastructures actuelles ne permettent pas de répondre à ces évolutions, les réseaux doivent être adaptés, modernisés, pour devenir des réseaux intelligents qui gagneront en souplesse et en efficacité grâce à l'intégration des nouvelles technologies de l'information.

Les enjeux liés aux réseaux électriques intelligents sont industriels, sociétaux et économiques. Les réseaux intelligents constituent un champ d'innovations et d'applications industrielles majeures, qui demande une coopération entre les entreprises des nouvelles technologies de l'information et de la communication et les entreprises de la filière électrique. En effet, les équipements et matériels qui composent actuellement le réseau électrique ne sont pas adaptés pour intégrer cette nouvelle intelligence. Les réseaux intelligents sont aussi facteurs d'innovation sociale. En effet, les consommateurs deviendront des acteurs de leur consommation
d'énergie en apprenant à mieux la maîtriser, notamment grâce au compteur électrique évolué qui constitue un premier pas vers des réseaux plus intelligents.

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En tant qu'autorité publique indépendante, le régulateur s'est très tôt saisi de la problématique Smart grids. Compétent en matière de réseaux, il veille au bon fonctionnement et au développement des réseaux publics de transport et de distribution d'électricité. En outre, il lui semble important d'informer sur les changements énergétiques à venir et d'expliquer la nature et les formes que prennent ces changements. La CRE favorise l'interaction des différents acteurs du système électrique : transporteur, distributeur, industriels, spécialistes de l'information et de l'informatique. Pour ce faire, elle organise la réflexion et la concertation grâce au site internet www.smartgrids-cre.fr et aux forums qui en alimenteront le contenu. La collaboration des acteurs concernés par le sujet Smart grids assure la richesse et la diversité des informations et points de vue.

Les réseaux électriques intelligents sont aussi appelés Smart grids. Ce sont les réseaux électriques publics auxquels sont ajoutés des fonctionnalités issues des nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC). Le but est d'assurer l'équilibre entre l'offre et la demande d'électricité à tout instant et de fournir un approvisionnement sûr, durable et compétitif aux consommateurs.

Comment fonctionne le réseau actuellement ?

Le rôle du réseau électrique est de connecter les producteurs d’énergie, tels que les centrales nucléaires et thermiques, les panneaux solaires ou les éoliennes, avec les consommateurs d’électricité (particuliers, industries, …). La caractéristique de l’électricité est qu’elle est très difficile à stocker : à tout moment, la quantité d’électricité demandée par le consommateur doit être égale à la quantité injectée sur le réseau de manière quasi-immédiate pour éviter le black out. Cet équilibre entre l’offre et la demande est aujourd’hui atteint de deux manières : en prévoyant la consommation électrique sur la base des données historiques et des conditions climatiques et en ajustant en permanence la production. Sur le réseau actuel, l’électricité circule principalement dans un sens unique : des producteurs aux consommateurs.

Depuis quelques années, de plus en plus de sources d’électricité d’origine renouvelable (éolien, photovoltaïque) sont reliées au réseau électrique. L’intermittence de cette production (l’éolien dépend du vent, le photovoltaïque du soleil) la rend très difficile à intégrer au réseau et ne correspond pas forcément aux périodes de consommation de pointe (19h). L'électricité produite, ne pouvant être stockée, est alors perdue. Le développement des énergies de sources renouvelables est ainsi souvent freiné par une inadéquation des moyens de production avec le fonctionnement du réseau actuel.

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Les consommateurs deviennent des consom-acteurs : ils contrôlent leur consommation et consomment et produisent de l'électricité. Demain, l'électricité fournie par leur éolienne ou leurs panneaux photovoltaïques sera directement injectée sur le réseau ou dans le circuit énergétique de leur maison, immeuble ou usine. Elle servira, par exemple, à la recharge des batteries de leurs voitures électriques. Grâce aux compteurs intelligents, les consommateurs et les gestionnaires de réseaux connaîtront précisément la consommation d'un site ou d'un foyer : les fournisseurs d'énergie pourront proposer aux consommateurs de nouvelles offres selon leur profil de consommation, ainsi que de nouveaux services d'efficacité énergétique ou de maîtrise de la demande d'énergie.

Les centres de contrôle des gestionnaires des réseaux d'électricité sont informés en temps réel des besoins en énergie des consommateurs : ils distribuent alors la juste quantité d'électricité sur le réseau. Grâce aux nouvelles technologies de l'information, les gestionnaires de réseaux détectent et localisent facilement les pannes sur le réseau et effectuent les opérations de maintenance, relève et conduite à distance.

La CRE lance également un site dédié à ce Think Tank : à découvrir >>>> ICI

Northwest Energy's Smart Grid Demonstration Project

 
Building a more efficient way to move electricity takes careful planning and strategy. Every moment the entire grid must be changed to balance energy supply with the demand for electricity. NorthWestern Energy has joined with regional partners to develop a smart grid demonstration project using matching stimulus monies from the U.S. Department of Energy (DOE). We’re using innovative technologies to find ways we can enhance the safety, reliability and efficiency of our system. via NorthWestern Energy – Smart Grid Demonstration Project.

eMeter Announces Smart Grid Partnership with Convergys to Extend Next-Generation Rating…

 
At Knowledge 2010, eMeter, a leader in Smart Grid management software, announced its partnership with Convergys, a global leader in relationship management, to provide proven real-time rating, billing and data management capabilities to utilities and their customers. The partnership is aimed at evolving current utility billing and customer care systems to enhance the time it takes for utilities and consumers to realize true Smart Grid value while reducing any potential risks which may arise during deployment.

 eMeter Announces Smart Grid Partnership with Convergys to Extend Next-Generation Rating… — SAN MATEO, Calif., Nov. 10, 2010 /PRNewswire/ –.

The smart grid could help you be smarter about your home electricity use

The smart grid could help you be smarter about your home ...

When experts try to describe the smart grid, their favorite analogy is the internet. Just as the internet enabled interactive, two-way communication, the smart grid, we're told, will deploy sensors and software to digitize a century-old analog electricity distribution system, transforming it into one capable of integrating renewable energy and decentralizing power production.

But while the benefits of the internet are manifest - YouTube, Facebook, Grist! - what will the smart grid do for you and me?

For most people, the most familiar part of the smart grid is the smart meter, those wireless digital devices being installed in homes by the millions so that residents can monitor electricity use in real time rather than through a monthly utility bill that arrives long after the power has been consumed.

Smart meters have been controversial in Northern California, where a number of communities have moved to ban the devices over fears about the potential health effects from their emission of electromagnetic frequencies. (Mobile phones, televisions, and other electronic devices also emit electromagnetic frequencies, and so far there has been no scientific evidence to support the health claims about smart meters.)

A sunnier view of the smart meter as a gateway to a new energy future emerges in Los Angeles, where utility Southern California Edison has built a model home with smart grid technology embedded in everything from the dishwasher to the thermostat.

"It's much easier to show than tell," says Mindy McDonald, a Southern California Edison project manager. She is standing outside the "Smart Energy Experience" home that's been constructed inside the utility's Customer Technology Application Center, just off the 210 freeway in the inland suburb of Irwindale. "Grappling with the smart grid, it's much easier to just walk people through," says McDonald.

The idea is to show people how smart grid technology can cut their electricity bills, reduce the need to build additional fossil fuel plants, and therefore cut greenhouse gas emissions.

The smart grid links every element of the power system, from large generators to homes and offices. The control center sends out price and control signals throughout the system and keeps it balanced.Image: Dillon Thompson Design

A Coda electric car is parked in the stylish suburban ranch's garage. Solar panels, a solar hot water system, and a wind turbine sit on the roof. LEDs provide the home's lighting, and every appliance contains communication chips, allowing them to "talk" to each other and to the utility through the smart meter attached to the front of the house.

A video screen in the living room displays the home's energy management system, and a large flat screen in the kitchen tracks the amount of electricity being consumed and its cost.

When McDonald turns on the washing machine and the air conditioner and then plugs in the car, an "energy speedometer" on the screen shows the cost of electricity rapidly accelerating from 11 cents an hour to $2.81. The display also tells the homeowner how much electricity has been consumed so far in the day and the price per kilowatt-hour.

"It's really has an impact when you can see how much it's costing and they realize that maybe they should turn something off," McDonald says. "Most people don't pay any attention to what electricity costs until they get their bill and it's too late to do anything about it."

The utility so far has installed smart meters in about a fifth of the 4.9 million households and businesses it serves. Beginning in January, those customers can set a monthly electricity budget and receive a text alert, email, or phone call when they're on track to exceed their limit, according to McDonald.

Another upcoming program, called Save Power Days, will let customers sign up to have their electricity consumption automatically curtailed when demand -- and prices -- spike, say on a hot summer afternoon. In return, they could save up to $200 a year on their bills.

"Your meter would receive a notification and send it to your programmable communicating thermostat, and it would automatically raise or lower the home's temperature," says McDonald. "If you have energy management system, you could set it up any way you want."

She touches the iPad that controls the house to show how a smart house would react. When the meter signals the energy management system, it adjusts the thermostats, turns off the air conditioner, and switches on ceiling fans. Window blinds lower to block sunlight and keep the house cooler while the lights are dimmed.

"It's all automatic," notes McDonald. "If you are home and you don't want to participate, you can opt out by turning up thermostat temperature, or just push 'opt out' on the screen."

The Smart Energy Experience home.Photo: Southern California EdisonTheodore F. Craver, Jr., chief executive of Edison International, the utility's parent company, said in an interview that these technologies will change people's relationship with the energy system.

"Most people think it's out of sight, out of mind -- as long as the light switch goes on and an appliance can be plugged in, that's it," he says. "Now the customer will interact with the grid instead of just being passive."

The question is just how successful utilities will be at persuading people to become active participants in managing their energy consumption.

"Too many of them are saying just giving people more and better information about electricity use, for example, is automatically a huge environmental plus," Ralph Cavanagh, the co-director of energy programs for the Natural Resources Defense Council, said at the E2 Environmental Entrepreneurs recent conference.

"I'm all for better information but the average electric bill in the average U.S. household is $3 a day," he continued. "If all you're talking about is giving people more and better information about their $3 a day, at some point many of them are going to conclude that they have more important things to do with their time."

Said Jesse Berst, president of the Center for Smart Energy, a research and consulting firm in Redmond, Wash.: "I think it's a lot easier to teach devices to be smart about energy than to teach people to be smart about energy. I don't see people clustered around the warmth of the home energy management console."

They might well start paying more attention when utilities begin introducing what is called "time of day" pricing. Since the smart grid lets utilities monitor electricity consumption in real time, they can start charging consumers higher prices when demand spikes and thus the cost of power rises.

In other words, if you set your air conditioner at arctic temperatures when all your neighbors are cranking up their units on a sweltering day, you'll pay the price. The flip side is that your smart meter could tell your smart washing machine and dishwasher to delay switching on until power prices drop in the evening.

The smart grid offers Joe and Josephine Ratepayer other benefits as well. For instance, if a storm knocks out a power line, all the 1,500 homes on a typical Southern California Edison circuit served by that line will lose electricity. The utility usually doesn't find out about such outages until customers call to complain. It can be hours before a repair crew can be dispatched and the problem located and fixed.

As part of its smart grid program, Southern California Edison will be installing sensors on the top of power poles to monitor the circuit. If a line goes down, sensors will reroute power to minimize the number of homes affected by a blackout. The sensors will also notify the utility of the problem and its location and the system will automatically dispatch a repair crew.

That means fewer people sitting in the dark.

Edison International's Craver says that a grid with this kind of smarts could make a huge difference. "There's such a high potential for change, and a perhaps pretty radical difference that will start to be created where the grid has a two-way communications capability, and some level of intelligence actually built into the system."

Compteurs évolués : position de la FNCCR

La FNCCR a rédigé une note de position relative au déploiement des compteurs évolués.

'Energie 2007'

Outre un rappel du contexte législatif et des expérimentations en cours, la FNCCR précise la position des autorités concédantes sur les enjeux industriels que représente le déploiement de compteurs communicants et, d’une manière générale, des réseaux intelligents. Elles sont favorables à ce que la France se dote d'un "chef de file", pourvu que l'expérimentation fasse l’objet d’une appréciation approfondie et d’un diagnostic partagé entre tous les acteurs concernés. La France aura également intérêt à présenter des produits différents pour mieux s'imposer sur les marchés internationaux. La FNCCR rappelle qu'il existe encore de nombreuses questions en suspens : impact des compteurs sur la maîtrise de la consommation d'électricité, dysfonctionnements, impact sur la gestion des périodes de pointe, coût du dispositif (y compris dans son évolution future)... Elle plaide pour un socle minimal d’informations mis à disposition de l'ensemble des consommateurs, destiné notamment à leur faciliter la compréhension des offres et par conséquent le dialogue avec les fournisseurs. Ces informations seraient mises à disposition des usagers via le compteur communicant, dans le cadre du service public d’acheminement. La FNCCR estime ainsi que le GRD pourrait proposer au consommateur, en complément du compteur « Linky », un afficheur déporté d’informations minimales, directement utilisable par le consommateur, par exemple dans une pièce de vie (boîtier relié à « Linky », par ondes radio).  Pour télécharger la note de la FNCCR: "Les compteurs évolués «communicants»: l’approche des collectivités concédantes".

La Commission de régulation de l'énergie lance le premier think tank institutionnel français dédié aux Smart grids

 
La CRE a organisé lundi 8 novembre un point presse qui marque le lancement du premier think tank institutionnel français dédié aux Smart grids, cercle d'échanges et de réflexion sur les réseaux d’électricité du futur. Après l'organisation d'un colloque le 27 janvier dernier, elle publie un livre avec l’Université de Paris-Dauphine, « L’Electricité du futur : un défi mondial », édité par Economica, qui sort en librairie le 8 novembre. La CRE ouvre également un site internet. Outil de diffusion et de promotion des travaux et expérimentations menés dans le monde sur les Smart grids, le site se veut un carrefour des idées, afin de fédérer l’ensemble des initiatives du think tank. Il sera nourri des contributions des différents acteurs impliqués dans les Smart grids, en particulier grâce aux forums thématiques organisés par la CRE.

Les réseaux électriques connaissent des évolutions et des changements : augmentation de la consommation, diversification des usages, nécessité de décarboner l’environnement, augmentation de la production d’électricité décentralisée à partir de sources renouvelables. Parce que les infrastructures actuelles ne permettent pas de répondre à ces évolutions, les réseaux doivent être adaptés, modernisés, pour devenir des réseaux intelligents qui gagneront en souplesse et en efficacité grâce à l’intégration des nouvelles technologies de l’information.

Les enjeux liés aux réseaux électriques intelligents sont industriels, sociétaux et économiques. Les réseaux intelligents constituent un champ d’innovations et d’applications industrielles majeures, qui demande une coopération entre les entreprises des nouvelles technologies de l’information et de la communication et les entreprises de la filière électrique. En effet, les équipements et matériels qui composent actuellement le réseau électrique ne sont pas adaptés pour intégrer cette nouvelle intelligence. Les réseaux intelligents sont aussi facteurs d’innovation sociale. En effet, les consommateurs deviendront des acteurs de leur consommation d’énergie en apprenant à mieux la maîtriser, notamment grâce au compteur électrique évolué qui constitue un premier pas vers des réseaux plus intelligents.

En tant qu’autorité publique indépendante, le régulateur s’est très tôt saisi de la problématique Smart grids. Compétent en matière de réseaux, il veille au bon fonctionnement et au développement des réseaux publics de transport et de distribution d’électricité. En outre, il lui semble important d’informer sur les changements énergétiques à venir et d’expliquer la nature et les formes que prennent ces changements. La CRE favorise l’interaction des différents acteurs du système électrique : transporteur, distributeur, industriels, spécialistes de l’information et de l’informatique. Pour ce faire, elle organise la réflexion et la concertation grâce au site internet www.smartgrids-cre.fr et aux forums qui en alimenteront le contenu. La collaboration des acteurs concernés par le sujet Smart grids assure la richesse et la diversité des informations et points de vue.

» Consulter le dossier de presse

» Consulter le site Smartgrids-cre.fr

Réseaux électriques intelligents : un site web pour tout savoir

 

La Commission de régulation de l'énergie (CRE) a lancé ce lundi un site Internet pour nourrir la réflexion sur les réseaux électriques du futur, en partenariat avec des énergéticiens et des informaticiens, des professionnels du bâtiment et de l'automobile, et des universitaires.

Les réseaux électriques intelligents, ou «smart grid» «ne sont pas une option mais une obligation», a déclaré lundi Philippe de Ladoucette, président de la Commission de régulation de l'énergie (CRE), lors du lancement, ce lundi, du site Internet www.smartgrids-cre.fr, qui se veut le premier laboratoire d'idées français dédié aux réseaux électriques du futur.

Le terme de smart grid recouvre toutes les technologies qui, de la centrale nucléaire au consommateur final, en passant par les réseaux haute ou basse tension, les panneaux solaires ou les éoliennes, la voiture électrique, le compteur numérique et tous les équipements électriques de la maison, contribueront à ajuster une production de plus en plus décentralisée et intermittente à une demande en pleine transformation. La Commission européenne prépare une feuille de route pour développer les réseaux intelligents, la France expérimente le compteur communicant Linky mais le processus n'en est qu'à ses débuts.

La mise en oeuvre de ces réseaux suscite une foule de questions, dont beaucoup encore sans réponse: combien cela coûtera-t-il ? A qui ? Quel respect des données privées des consommateurs ? D'où l'intérêt de ce site auquel se sont associés les énergéticiens (EDF, GDF SUEZ, Alstom Grid), les informaticiens (Atos Origin, Capgemini) mais aussi le secteur du BTP (Bouygues Immobilier), l'automobile (BMW, Renault) ou encore l'Université Paris-Dauphine. L'un des économistes spécialistes de l'énergie, Jean-Marie Chevalier, a d'ailleurs codirigé, avec Philippe de Ladoucette un livre qui sort également ce lundi, Electricité du futur, un défi mondial, publié chez Economica.

La CRE publie un ouvrage sur les smart grids

 
La Commission de Régulation de l’Énergie  (CRE) vient de publier en collaboration avec l'Université Paris-Dauphine, un ouvrage dédié aux  réseaux intelligents (smart grids), sous la direction de Philippe de Ladoucette et de Jean-Marie Chevalier.

Selon les auteurs du livre, l’augmentation de la consommation d’électricité, le développement des énergies renouvelables et l’émergence de nouveaux usages comme la voiture électrique sont autant de défis qui mettent aujourd’hui à l’épreuve la solidité et la réactivité de nos réseaux électriques. Ces réseaux doivent évoluer pour devenir "intelligents" grâce aux nouvelles technologies de l’information et de la communication, qui doivent être intégrées sur l’ensemble de la chaîne de valeur, depuis la production de l’énergie jusqu’à son utilisation finale par le consommateur. Pour la première fois en France, ce livre donne la parole aux acteurs de ce changement, qui promet d’être révolutionnaire, le remet en perspective dans toute son ampleur et sa complexité.

"Rendre les réseaux électriques intelligents constitue certes d’abord un défi technique, c’est aussi et surtout un enjeu de société qui suppose un citoyen acteur, impliqué dans la maîtrise de sa demande d’énergie, et non plus seulement consommateur, mais aussi un citoyen producteur, quand il dispose de sources d’énergie renouvelables, capable d’interagir de manière croissante avec le réseau", expliquent les auteurs de l'ouvrage.

L’objectif de cet ouvrage est d’examiner les déterminants de ce changement de grande ampleur à travers ses dimensions techniques, économiques et sociales et de montrer comment l’émergence d’un système électrique évolué suppose la conciliation d’objectifs parfois contradictoires et une forte coordination des acteurs.

"L'Electricité du futur : un défi mondial", Éditions Economica - 186 pages
En librairie le 8 novembre 2010 au prix de 27 euros

Smart Home : la maison du futur à haute efficacité énergétique

http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/64995.htm

La maison intelligente (Smart Home) conçue dans le cadre de l'initiative de recherche MeRegioMobil de l'Institut de technologie de Karlsruhe (KIT, Bade-Wurtemberg) est enfin habitable. D'une surface de 80 mètres carrés, il s'agit d'un prototype de foyer du futur à haute efficacité énergétique, intégrant dans la gestion intelligente du foyer les véhicules électriques - pour le stockage de l'électricité - et les équipements consommateurs. L'inauguration aura lieu le 5 novembre 2010 sur le campus sud du KIT.

MeRegioMobil est un projet à la fois économique et scientifique. Sa réalisation, pilotée par l'entreprise EnBW, implique une étroite coopération entre le KIT, Opel, Daimler, Bosch, SAP, les services publics de Karlsruhe ainsi que l'Institut Fraunhofer de recherche sur les systèmes et l'innovation (ISI). L'objectif du projet soutenu par le Ministère fédéral de l'économie et de la technologie (BMWi) est l'intégration de véhicules électriques innovants dans le système énergétique du futur, en tant que supports de stockage mobiles d'électricité. La Smart Home est équipée d'appareils consommateurs et de systèmes producteurs décentralisés. Une installation photovoltaïque (PV) et une installation de cogénération [1] produiront de l'électricité. Les équipements consommateurs sont les appareils ménagers habituels comme la machine à laver le linge, le lave-vaisselle ou le réfrigérateur, ainsi que d'autres appareils électriques, intelligents et ainsi contrôlables.

Une station de charge intègre les véhicules électriques à la fois comme support de stockage et comme consommateur d'électricité. La batterie du véhicule peut absorber le courant excédentaire en période de charge réduite et réalimenter le réseau en période de charge élevée. Ainsi les pics de charge peuvent être compensés et les énergies renouvelables de sources fluctuantes peuvent être mieux intégrées dans le système énergétique. Les habitants de la Smart Home vivront plusieurs mois dans la maison et utiliseront et évalueront les composants développés.

Investissements d’avenir : lancement de l’appel à manifestation d’intérêt sur les bâtiments et ilots à énergie positive

Jean-Louis Borloo, ministre d’État, ministre de l’Écologie, et l’ADEME ont lancé, le mercredi 3 novembre 2010, le premier appel à manifestation d’intérêt du programme « démonstrateurs et plateformes technologiques en énergies renouvelables et décarbonées et chimie verte » du grand emprunt.

Cet appel à manifestation d’intérêt (AMI), qui porte sur la thématique des « bâtiments et îlots à énergie positive et à bilan carbone minimum », participera aux objectifs définis par le Grenelle Environnement à l’horizon 2020 et au facteur 4 à l’horizon 2050 dans le secteur du bâtiment.

 

Les technologies vertes sont au cœur du Grenelle Environnement et des investissements d’avenir

 

Les investissements d’avenir consacrent près de 10 Md€ au développement durable dont 2.85 M€ pour le développement des technologies vertes dans le cadre de programmes confiés à l’ADEME :

• 1,35 Md€ pour le développement des énergies renouvelables et la chimie verte ;
• 250 M€ pour le développement des réseaux électriques intelligents ;
• 250 M€ pour le tri et la valorisation des déchets ;
• 1 Md€ pour le développement du véhicule du futur.

 

Au cœur de l’AMI : des démonstrateurs, des expérimentations préindustrielles et des plateformes technologiques d’essai

 

Ce premier AMI, piloté par l’ADEME dans le cadre du programme « énergies renouvelables et chimie verte », portera sur la thématique des « bâtiments et îlots  à énergie positive et à bilan carbone minimum », avec un objectif ambitieux de consommation énergétique de 25 kWh EP/m².an pour les cinq usages réglementés. L’AMI accorde une forte priorité au parc existant où résident les plus forts enjeux.

 

Il s’agit notamment de :

• Contribuer à l’émergence de bouquets de composants technologiques, organisationnels et socio-économiques, propices à une réhabilitation énergétique massive des bâtiments et îlots existants.
• Expérimenter en condition d’usages réels, les jalons technologiques, organisationnels et socio-économiques (y compris juridiques et modèles d’affaire) permettant d’engager la transition vers des bâtiments et/ou îlots existants à énergie positive et à bilan carbone minimum.
• Intégrer dans la réhabilitation énergétique des bâtiments et îlots existants des équipements de gestion intelligente de l'énergie et des moyens de production / stockage décentralisés ou semi-décentralisés d’énergie.
• Développer des dispositifs de suivi des comportements d’adoption et d’usage des utilisateurs ou occupants des bâtiments et îlots à énergie positive et à bilan carbone minimum, afin de vérifier les performances des options technologiques, organisationnelles et socio-économique en conditions réelles d’usage et d’aboutir à de véritables gains en matière d’efficacité énergétique.

 

Deux échéances à retenir

• Dans un délai de 4 mois à compter du lancement, sont attendues les propositions de démonstrateurs ou d’expérimentations préindustrielles focalisés sur les technologies et méthodologies nécessaires pour parvenir à des réhabilitations de bâtiments et îlots à 25 kWh EP/m².an.
• Dans un délai d’un an à compter du lancement, sont attendus en priorité des projets de réhabilitation de bâtiments et îlots existants pour les amener à 25 kWh EP/m².an et à un bilan carbone minimum sur les cinq usages réglementés ; également, mais dans une moindre mesure, des projets de réalisation de bâtiments et îlots neufs à énergie positive et à bilan carbone minimum pour tous les usages de l’énergie.

 

L’Appel à Manifestation d’Intérêt est en ligne sur le site de l’ADEME (rubrique appels à propositions) et du ministère du développement durable (rubrique appels à projets) . Pour en savoir plus :  www.developpement-durable.gouv.fr www.ademe.fr

Le marché des smart grids à l’horizon 2015-2020 par Xerfi

Le marché des smart grids à l’horizon 2015-2020 par Xerfi

Les réseaux électriques intelligents, également connus sous l’appellation de « smart grids », semblent promis à une croissance plus que confortable.  

• Selon la commission Européenne 80% de la population européenne sera équipée en compteurs intelligents d’ici 2020.Un programme estimé entre 4 et 9 milliards d’euros, décidé par ERDF et piloté par Atos. 

• 5 Milliards d’euros, c’est le montant qu’a décidé d’investir RTE, le gestionnaire du réseau haute tension, au cours de la période 2009-2012 dans son réseau électrique. À ce montant s’ajoute 1 milliard d’euros pour répondre à terme à l’envolée des énergies renouvelables. 

• 60 ou 80 ans, c’est l’age moyen des infrastructures électriques actuelles. Il faut donc les adapter au nouvel environnement. Et en particulier aux énergies renouvelables et aux voitures électriques. 

• 35 millions, c’est le nombre de compteurs électriques qui doivent être remplacés d’ici 2016. Coût global de l’opération : entre 4 et 9 Milliards d’euros, financés par les consommateurs. 

Découvrez la vidéo de Phillipe Gattet, directeur d’études Xerfi ainsi que l'étude : http://www.xerfi.fr/etudes/0SCO17.pdf

Zoom sur les smart grids

Wi-Fi, HomePlug Alliances Announce Collaboration on Smart Grid, Home Energy Apps

The Wi-Fi Alliance and the HomePlug Powerline Alliance, both members of the Smart Grid Interoperability Panel, announced on Tuesday that they will work together on applications that enable smart energy grids to interoperate with "connected" homes. The Smart Grid Interoperability Panel coordinates smart grid standards. The two groups will be collaborating on wireless and wired network applications for what the forum refers to as Smart Energy 2 Applications Profile.

With HomePlug’s assistance, the Wi-Fi Alliance believes that it will be able mesh Wi-Fi equipment and devices connected to home powerline networks. According to the Wi-Fi Alliance CEO Edgar Figueroa, the focus of this collaboration is on helping to bring about "a great user experience with smart home technology."

8,000 products have been certified by the Wi-Fi Alliance so far, while HomePlug has provided specifications used in 60 million devices, including HomePlug AV, a device for plugging an adapter into a home wall power outlet. The adapter also has an Ethernet port for connecting to a computer. In another room, another adapter can be connected to the computer in the same way, enabling powerline networking between the two computers at 85 Mb/sec. The alliance is also developing an AV2 broadband specification that is expected to be completed early next year. This device will increase the data transfer capability to 600 Mb/sec over home powerlines.

Another specification is The HomePlug GreenPhy, utilized for smart meters and small appliances such as thermostats to enable data transfer between a home area network and a utility.

The Wi-Fi Alliance is a global non-profit organization founded in 1999 by many visionary leaders for the purpose of driving adoption of a single worldwide standard for high-speed wireless local area networking. At present the Wi-Fi Alliance has over 300 companies from dozens of countries.
Wi-Fi Alliance has the mission of delivering the best user experience through certification of products enabled with Wi-Fi technology; growing the Wi-Fi market across market segments and geographies, on different types of devices; developing market-enabling programs; and supporting industry-agreed standards and specifications.

In 2000, the Wi-Fi CERTIFIEDTM program was launched. This program offers a designation of interoperability and quality, and helps in ensuring that Wi-Fi enabled products provide the best user experience.

The HomePlug Alliance consists of industry leaders at all levels of the value chain. Its mission is enabling and promoting rapid availability, adoption and implementation of home powerline networks and products that are standards-based, interoperable, and cost effective.

New Study Says Utilities Missing Smart Meter Opportunities

 
According to a new study by Oracle, electric utilities in Europe, the Middle East and Africa (EMEA) are not taking full advantage of the opportunities being offered by smart networks. In the EMEA Smart Grid Rollout report, “The research also found that many utilities have adopted or plan to adopt Smart Meters but they are likely to be unable to gather and utilise the intelligence created by the technology because their IT systems are unable to cope with the amount of information Smart Meters produce.”

The research, which surveyed 50 senior executives from electricity utilities across Europe, Middle East and Africa, found that over half of utilities are worried that their current IT applications will not be able to scale to their needs. Nearly half of respondents expect to achieve return on investment from smart meter deployment in five years however, nearly a quarter don’t know when this will be achieved. In addition, 18 percent of utilities do not have a communications plan in place to educate customers about the different aspects of Smart Meters.

The study also discovered that 12 percent of utilities have not started to assess the systems they will need to assess data from Smart Metering and an additional 12 percent have no plans to
put this in place at all.

Oracle’s position is that smart grids have the capability to improve power distribution efficiency and reliability as well as reducing the need for expanded grids. But for utilities to make the most of these benefits they need to make some fundamental changes to their infrastructure.

“It’s positive to see that utilities are taking active steps towards planning and implementing their Smart Grid roadmap,” Oracle says in the report. “Despite the vast range of new possibilities the majority of utilities are not leveraging the process innovations and intelligence available to them through the Smart Grid infrastructure. Harnessing this information has the power to maximize improvements being made to their business and their ability to enhance efficiencies such as providing new customer offerings, improving field operations and supporting renewable generation. The utility industry is only at the very beginning of uncovering the disruptive evolution available today.”

And the Winner for Best Communications Technology for Smart Appliances Is…

 

   

Phil Carson, wrote a interesting piece entitled "Home Area Networks: Zigbee or Wi-Fi ?". In the article he examines a conversation occurring on a LinkedIn executive forum on smart grid that discusses the merits of Zigbee versus Wi-Fi as communication protocols. Now the home appliance industry has weighed in on their opinion of the best protocol for smart appliances. The Association of Home Appliance Manufacturers (AHAM) recently released a report entitled "Assessment of Communications Standards for Smart Appliances: The Home Appliance Industry's Technical Evaluation of Communication Protocols."

For background, AHAM represents manufacturers of major, portable and floor care home appliances, and suppliers to the industry. AHAM defines a smart appliance as a product which has the capability to receive, interpret and act on a signal received from a home energy management system, utility, or third party energy service provider, and automatically adjust its operation depending on the signal's contents and settings from the owner.

AHAM's membership includes over 150 companies throughout the world. In the United States, AHAM members produce more than 95 percent of the household appliances shipped for sale within the United States. The factory shipment value of these products is more than $30 billion annually. AHAM is also a standards development organization, accredited by the American National Standards Institute. AHAM authors numerous appliance performance testing standards used by manufacturers, consumer organizations and governmental bodies to rate and compare appliances.

According to the assessment's results, the most relevant communications technologies were clearly separated from their peers for use in smart grid appliance applications.  Across the physical, media and network layers evaluated, Wi-Fi received the highest rating, followed closely by ZigBee and HomePlug Green PHY. Actually, "closely" does not do the final ratings justice, as Wi-Fi's score was just 1.35 percent higher than ZigBee and HomePlug Green PHY.  For the Application layer, SEP 2.0 scored the highest, followed by OpenADR.

The assessment was built with a focus on consumers' needs. To represent those needs accurately, AHAM's approach was to use appliance consumers' requirements to drive identification of the best protocols to use for smart grid interfaces. These customer requirements included ease of installation, ease of use, interoperability, reliability of operations, privacy levels, security levels and safety levels.

The assessment also takes into account numerous system requirements such as acceptance of the technology in the marketplace, acceptable cost trade-offs, ease to provision, existence of supply chain, compatibility, noise handling and robust messaging capabilities.

I had the opportunity to ask Edgar Figueroa, CEO of the Wi-Fi Alliance, about his take of the report. "We're very pleased with the AHAM report, and not just because of the top score given to Wi-Fi as a communications standard for appliances," said Figueroa. "In this report AHAM has also validated the appliance industry's support for SEP 2.0, which is the focus of our collaboration with the Zigbee Alliance."

There is a need for national standards in order to ensure an appliance has the capability to function anywhere in the U.S. where smart grid infrastructure is available. These national standards also will promote interoperability between appliances and enhance consumer choice. National standard communications and application protocols will make it possible for consumers to move from one area of the country to another while continuing to benefit from smart grid technologies without having to replace, modify or upgrade their appliances.

Thanks to AHAM for such an interesting report, and I look forward to our readers' feedback.
Christopher Perdue  - Vice President, Sierra Energy Group - [email protected]
310.471.7396

HomePlug Powerline Alliance démontre l’interopérabilité multi-vendeurs livrant des flux TVHD sur le réseau sur ligne électrique

 
La famille technologique HomePlug exposée sur le stand C29 au Broadband World Forum 2010 à Paris

HomePlug^® Powerline Alliance, principal groupe industriel qui encourage l’adoption des produits domestiques de réseaux sur ligne électrique, exposera sa technologie de réseau sur ligne électrique de qualité transporteur qui a fait ses preuves sur le marché au Broadband World Forum 2010 à Paris, France. Le slogan de HomePlug est " Livrer aujourd’hui, définir demain, " qui reflète l’adoption générale de la technologie actuelle AV sur ligne électrique de HomePlug et la nouvelle technologie en cours de développement de HomePlug qui définira les solutions interopérables de demain.

« Nous sommes ravis des étapes importantes que nous avons réalisées en 2010, y compris l’achèvement de la spécification de notre Green PHY Smart Grid en juin, les puces AV de HomePlug en provenance de quatre sociétés de semi-conducteurs qui ont réussi le programme de certification, et les expéditions des appareils de HomePlug qui ont dépassé le point de référence des 60 millions, » a déclaré Rob Ranck, président de HomePlug Powerline Alliance. « L’année 2010 a également vu l’achèvement du standard de ligne électrique IEEE 1901 basé sur la technologie AV HomePlug, et la spécification du haut débit AV2 de la nouvelle génération sera terminée au début de 2011. »

Outre les démonstrations et les expositions de plusieurs membres de HomePlug sur le stand, l’alliance aura plusieurs autres activités qui se dérouleront dans le cadre de l’exposition, y compris :

• Présentations sur des réseaux sur ligne électrique par le président de HomePlug, Rob Ranck, au théâtre des écosystèmes, le mardi 26 à 16h00, le mercredi 27 à 12h00 et le jeudi 28 à 12h00.
• Une réception privée avec une présentation par le président de l’alliance Rob Ranck et une compétition de Formule Un avec de multiples simulateurs de Formule Un grandeur nature connectés à un grand affichage à l’écran permettant aux conducteurs et aux spectateurs de vivre la course en temps réel en utilisant la technologie AV sur ligne électrique de HomePlug.
• Plusieurs sociétés membres de HomePlug ont des stands y compris :
  • Billion Electric co, Limited – Stand G5
  • devolo AG – Stand C6
  • LEA – Stands J7-J8
  • Motorola Inc. – Stands H1 et H11
  • Sigma Designs – Stand D7
  • ZyXel Communication Corp. – Stand G1

L’écosystème de la technologie sur ligne électrique de HomePlug

L’écosystème de la technologie de HomePlug inclut la spécification AV du haut débit, la nouvelle spécification " Green PHY " (GP) de HomePlug pour les applications Smart Energy/Smart Grid, et la prochaine spécification AV2 du haut débit de HomePlug qui devrait être achevée au premier trimestre de 2011. Cette famille de spécifications technologiques est tout à fait interopérable avec le standard mondial de la ligne électrique IEEE 1901 récemment ratifié. La technologie de HomePlug couvre le spectre des demandes de réseaux domestiques et offre un chemin de migration vers l’avenir tout en protégeant la base de plus de 60 millions d’appareils HomePlug, la vaste majorité des produits sur ligne électrique installés.

HomePlug Powerline Alliance actionne la première conformité mondiale de la ligne électrique et le programme de certification d’interopérabilité et a certifié plus de 215 produits HomePlug à ce jour. Le programme a récemment été perfectionné pour fournir des essais et une certification pour le nouveau standard IEEE 1901. Veuillez consulter www.HomePlug.org pour en savoir plus sur HomePlug Powerline Alliance. Fondée en 2000, HomePlug Powerline Alliance, Inc. est une entreprise industrielle comptant 70 membres qui créée des spécifications et des programmes de logo de certification pour utiliser les lignes électriques pour un réseau domestique fiable et les applications Smart Grid. L’Alliance accélère l’adoption dans le monde entier de la technologie HomePlug en collaborant avec les organismes internationaux de normalisation tels que l’IEEE et par le développement du marché et des programmes d’éducation de l’utilisateur. Les membres sponsors incluent Atheros Communications ; Cisco ; Comcast ; Duke Energy ; GE Energy ; Gigle Networks ; Renesas Electronics Corporation ; SPiDCOM Technologies et STMicroelectronics. Les membres contributeurs incluent Arkados.

Consumer Trust In The Smart Grid Requires More Education

 
by Bob Lento, Convergys
You would think support for the smart grid would be unanimous. Research shows that many consumers want to reduce their negative impact on the environment and take a more active role in personal energy management.

The Department of Energy awarded $3.4 billion in stimulus funds to 100 smart grid projects. According to the latest data from GTM Research, the market for smart grid technology will reach $9.6 billion by 2015. Meanwhile utility companies themselves stand to save billions in peak hour energy production costs by influencing consumers to even out their energy use. Government, consumers, utilities, and tech companies are all winners, so we should all be on the same team, right ? Wrong.

The moment smart grid implementations actually went into place, a wave of chaos ensued. Lawsuits were filed, government investigations were launched, and official consumer complaints to organizations like the California Public Utilities Commission stacked up.

Many expensive smart grid projects were put on hold, government agencies started holding utility companies' feet to the fire on new pricing plans, the growth in tech spending slowed, and consumers became suspicious that utility companies were using the smart grid as an excuse to print out false readings on energy use and overcharge them.  So far, not a single investigation has found that any of the millions of deployed smart meters are giving incorrect measurements. Rather, the issue is how consumers use their smart meters. Many people don't really understand how a smart meter works and how it and a corresponding smart rate plan can save them money - if they make an effort to change the way they consume energy.

This issue has given rise to task forces for consumer education, like the Silicon Valley Smart Grid Task Force, which aims to educate the public on the smart grid in an effort to improve acceptance. We applaud these efforts but also realize that when a consumer receives an unexpected $500 energy bill, no amount of education will change his or her immediate disdain for the smart grid.

The situation is analogous to the wireless communications industry, which has had a real-time information network connected to all the devices that use bandwidth from the beginning. Just as they came up with "free nights and weekends" to push bandwidth use off of peak hours, utility companies must now develop and secure approval of their own variable rates to influence when consumers use energy and reduce costs.

A once-per-month bill however, will only elicit anger rather than persuade consumers to shift their energy use away from peak hours. Telecommunications providers have had to cope with "sticker shock" for a long time. When billing becomes complex, like it can with any variable rate plan, consumers don't realize how much peak-hour usage they've purchased or they lose track of how long they were on that overseas call. Certainly, there are plenty of stories of someone who was surprised to receive a $500 wireless bill.

To overcome sticker shock and enlist trust in telecom customers, we started educating them on the pricing scheme at the beginning - but far more than that, we gave them real-time alerts, messages, charts, updates, the works. Customers receive text messages when their minutes are running out, they can check up on their bill online at any time, or access their latest charges on a smart device. They can even set their communications preferences to receive a summary of the duration and cost of every call immediately after they hang up.

Utilities have been on a once-per-month billing cycle since electricity became popular in the era of Thomas Alva Edison. So it's no surprise that despite the introduction of a real-time information network to the electric grid, many energy providers have yet to consider the customer-friendly communications options made available by real-time billing. It will take time to learn, but we can jump-start the process by taking a lesson from telecommunications.

Ratepayers on hook for Xcel's $44.5 million SmartGridCity

Ratepayers on hook for Xcel's $44.5 million SmartGridCity The decision by an administrative law judge for the Colorado Public Utilities Commission to grant Xcel Energy's request for cost recovery of $44.5 million for its SmartGridCity project is neither prudent nor reasonable. It makes a mockery of public utility commissions' responsibility to protect ratepayers from the costs of projects that lack regulatory oversight. The decision will come to haunt the electric utility industry and could reverse public sentiment towards grid modernization.   More Insights >

Judge recommends full cost recovery for SmartGridCity

The Administrative Law Judge in Colorado hearing the SmartGridCity Certificate for Public Convenience and Necessity (CPCN) docket has filed his recommended decision that the PUC grant the CPCN with full recovery of the $44.5 million for the project.  The parties to the case (i.e. the intervenors already involved in the docket) have 20 days to file exceptions to the recommended decision. The Commissioners have until December 15^th to accept, reject, or modify the recommended decision.

This is a major step forward for Xcel's embattled SmartGridCity project but, as noted above, is not yet the final decision.  Despite criticism of cost overruns and poor project management Xcel 's arguments have prevailed - in part because Colorado's government is stongly supportive of clean energy and smart grid initiatives. The judge's order states that Xcel Energy "is granted a Certificate of Public Convenience and Necessity for the SmartGridCity (SGC) project subject to the following conditions:

a. [Xcel} shall maintain access to and protection of information about customers and/or their usage of service that is available as a result of the SGC project. Such information shall not be used (alone or in concert with information from other sources) by [Xcel], its partners, or its contractors for any purpose other than the SGC project, until such time as the Commission permits otherwise by subsequent order or  rulemaking; and

b. [Xcel] shall create a tracker mechanism for intellectual property/patents rights acquired that arise out of the SGC project."

It's notable that the PUC imposed these two conditions focused on consumer information privacy and intellectual property protection - signaling it's concerns and likely treatment of future smart grid proceedings.  Privacy in particular is a growing concern among regulators, policy makers and consumer advocacy groups.  Without adequate privacy protections in place smart grid projects will continue to face regulatory resistance.

Selling the Smart Grid to Consumers

by Evan Cook

Most experts agree that building a smarter electric grid is essential to improving energy efficiency and reducing CO2 emissions, because a smart grid would both help to integrate renewable energy sources into the system and encourage much more efficient consumption of power. But in order to achieve this at the household level, everyday consumers need to adopt and commit to the idea of a smart home and a smart grid. How can advocates, governments, utilities, and vendors get consumers on board?

That's the question that a panel moderated by Robin Carey, CEO of Social Media Today (which runs The Energy Collective), explored yesterday here at Gridweek 2010 in Washington, D.C. Roger Kohlmann of the German Association of the Electricity and Water Industry, Devin McCarthy of the Canadian Electricity and Water Industry, Osamu Onodera of Japan's New Energy and Industrial Technology Development Organization, and Kevin Lauckner of Honeywell Utility Solutions all contributed their thoughts on consumer adoption of smart metering and smart grids. Perhaps surprisingly to some, each of them acknowledged that serious challenges exist regarding consumer attitudes to smart grid.

In a way, this shouldn't be the case - or at least many thought it wouldn't be. Most smart grid models involve variable pricing models that charge more or less for power depending on supply and demand at given times. Consumers are able to adjust their usage to avoid high peak prices and take advantage of cheaper power during the less busy hours. Thus, there's a financial incentive for using energy efficiently. Everybody wins.

But in some early implementations, the public has reacted with more resistance than anticipated. Mr. McCarthy, for example, illustrated the backlash that Ontario has faced after adopting an ambitious mandate to establish a smart grid. In actual practice, he has found that the financial incentive to save a few cents here and there on electric bills, which are already relatively cheap, has in many cases not been sufficient to change consumer habits. In Ontario in particular, some misperceptions about smartgrid, fueled by inflammatory newspaper headlines, led to rhetoric protesting against politicians forcing homemakers to do their chores in the middle of the night - which they of course were not. Meanwhile, electricity prices continued to rise for unrelated reasons, and the combined result was a less-than-grateful public.

Insufficient financial motive and failures in communication seem to be the major factors. As Mr. Kohlmann pointed out, the cost of a household smart meter itself can sometimes exceed the savings recouped in the near term. Furthermore, the households with the biggest discretionary power loads - say, a hot tub - are likely those that are least worried about saving on electric bills, because those are the households that can afford hot tubs. This leaves some lower-income households with the perception that smart grids impact them disproportionately.

In the Q&A portion following yesterday's session, the panel really started to explore potential solutions to the problem of customer perception. Most, even Mr. McCarthy, are optimistic that with better communication strategies and the right incentive models, public attitudes will turn around and consumers will engage with smart grids. Mr. Laucker of Honeywell believes that the trend toward ever more expensive energy, coupled with Time-of-Use tariffs, will encourage adoption. Mr. Osamu agreed, and stressed that government, vendors, and utilities need to cooperate to better communicate the benefits of smart grid implementation.

As Mr. Kohlmann shared, Germany has an obligation to introduce flexible tariffs by the end of this year - the major challenge being identifying the correct spread, or variation between rates. In Quebec, two different tariff systems, referred to as TOU and TOU+, are now in place. Regulators and utilities in the U.S. and worldwide would likely do well to watch these experiments closely to determine which market models encourage the right behavior. Experts see smart grids as a great tool to reduce both energy use and costs to the consumer, but it's vital that consumers also appreciate these benefits.

Smart Grid : Proven strategies for partnering with energy end users

Consumer engagement was the big buzz at last week's GridWeek 2010 conference in D.C. Control4 convened a panel of practitioners who have overcome some of the major obstacles to creating educated and engaged energy "prosumers." This presentation provides a snapshot of areas covered, including current benchmarks and tools for residential DR, consumer education lessons from pre-payment programs, and strategies to prepare consumers for more dynamic pricing. More >>

Itron's OpenWay Demand Response : Maximizing Value and Efficiency in Energy Delivery

This white paper explores how Itron's OpenWay solution enables demand response programs for residential, as well as commercial and industrial (C&I), energy consumers. OpenWay's flexible architectural approach, combined with the adoption of open standards, provides the foundation on which utilities, independent system operators (ISOs), regional transmission organizations (RTOs) and energy service companies can optimize the efficiency of energy delivery across a diverse service territory.

View White Paper

How to make consumers sit up and beg for a smart grid

 
How do you make consumers beg for a smart grid ? We are one step closer to an answer, thanks to an Energy ThinkIn facilitated this week by frog design. Hosted in partnership with the Smart Grid Consumer Collaborative(SGCC), the ThinkIn gathered more than five dozen bright minds to brainstorm a “brand symbol” for the smart grid as the first step to a national outreach campaign.

Think hearts, not just minds

Although customer engagement has emerged as 2010’s leading theme, most discussions center around education and awareness -- around reaching consumer’s minds. It is equally important to reach hearts -- to create an emotional connection to the benefits of a modernized electric power system. And that’s where frog design comes in. The noted innovation firm, which has worked in behalf of many Fortune 500 companies, brought its proprietary ideation methodologies to bear on the problem. The all-day session generated hundreds of concepts, which were then narrowed to dozens of finalists and, eventually, to five themes. The frog team will now spend several months to refine the concepts, before presenting a final concept at the SGCC Symposium Jan. 31 (in San Diego in conjunction with the DistribuTECH conference and exhibition).

But you don’t have wait until January to start trading ideas. Jump over to the ThinkIn Web site to see the five finalists. (Start at the bottom and scroll up if you want to watch how the day unfolded.) You can also join the frog mob’s energy use group to trade ideas and pictures. In fact, you can start right here. I was skeptical initially that we could find a brand symbol that would provide an emotional connection to something as sterile as “the grid.” After a day with the energetic and ultra-creative froggies, I think it is within reach. Use the nearby QuickPoll to record your opinion.

One of several SGCC initiatives

The frog design partnership is just one of several important initiatives underway at the Smart Grid Consumer Collaborative. Formed seven months ago, the non-profit is chartered for research and education in the public good. It is a multi-stakeholder group that includes utilities, vendors, researchers and consumer advocates, with the mission of accelerating the adoption of a consumer-safe, consumer-friendly smart grid. (Jump over to the SGCC membership page to glance at the all-star cast.)

SGCC is also active with:

• Focus groups to determine consumer attitudes, needs and preferences
• An integrated analysis of more than a dozen important consumer research reports, many of which were contributed by member firms
• An annual “State of the Smart Grid Consumer” report
• An annual symposium to bring together leading experts on consumer engagement
• Drafting Guiding Principles for a consumer-safe smart grid
• Gathering and sharing best practices
• A Web site that gathers the latest news and resources

I helped to co-found the SGCC and I am serving as its Acting Executive Director until a permanent director comes on at the end of the year. If you haven’t yet gotten acquainted with the organization, spend some time on the SGCC Web site. Click the Key Topics tab to see the latest news and findings. And click the Resources tab to drop down a list of useful case studies and white papers. If your organization would like to help with this important cause and get access to the research, best practices and outreach, here’s the link that summarizes SGCC membership benefits and can put you in touch.

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'Secrets of Customer Adoption' webinar replay

Customer engagement: the new metric for utility success

Customer care news and resources

Accenture and ST Electronics Get Singapore’s Intelligent Energy System Pilot Project

Accenture and ST Electronics Get Singapore’s Intelligent Energy System Pilot Project

The Energy Market Authority (EMA) of Singapore has selected Accenture and ST Electronics for the design and implementation of Phase 1 of its Government and Singapore Power funded Intelligent Energy System (IES) pilot project. The IES pilot project is an advanced metering infrastructure and smart grid pilot for testing and evaluating new applications and intelligent technologies with the purpose of installing a smart grid throughout Singapore. Read more... http://www.smartmeters.com/the-news/1332-accenture-and-st-electronics-get-singapores-intelligent-energy-system-pilot-project.html

Smart grid futures : Will science make the smart grid unnecessary ?

 

An announcement from IBM and its research partners has me wondering if science will someday make the smart grid unnecessary. I was recently on a panel at an Edison International leadership off-site. CEO Ted Craver asked me if demand would grow at historical levels; or if a combination of a slowing economy and growing efficiency would keep load growth flat.   . I voted for continued growth, albeit at slightly lower levels. Historically, our ability to invent new ways to use electricity has always outpaced our ability to be more efficient. Give us more efficient refrigerators and we buy bigger ones; or keep the old inefficient one to run in the garage; or buy an additional under counter model for the family room; or all three, while also getting ourselves a monster big screen TV.

But now IBM says it is teaming with an EU-funded consortium to lower the energy consumption of electronic devices by an order of magnitude. The group says it hopes to combine tunnel field effect transistors (TFETs) with semiconducting nanowires to create a “zero-watt PC.” And to do it in 36 months. And then to share the research so manufacturers can build gadgets that need only tiny sips of electricity when operating, and virtually nothing when in sleep mode.

 

Imagine what would happen to electricity demand if every device – every computer, every server, every cash register, every cell phone – suddenly used 1/10 the power. The International Energy Agency says electronic gear accounts for 15% of household electricity consumption. So what happens to your carefully crafted load forecasts if that amount drops by a factor of 10?

 

 

Until now, humankind has spent the bulk of its brainpower figuring out new ways to use electricity. And we have gotten very good at it. I call it the "electrification of everything." Combine cheap microprocessors with cheap motors with cheap microwaves and cheap lasers, and you can understand why 60% of America's gross domestic product is now directly dependent on electricity. That is up from a mere 20% in 1950 (Manhattan Institute, see chart below).

.

  Now we are asking our smartest minds to figure out new ways to cut electricity consumption. If we get those breakthroughs, it could turn current forecasts upside down. And that's before considering the impact of possible breakthroughs in areas such as storage and solar PV.

 

Where do you sit? Will our ability to invent new uses for electricity outpace our ability to reduce the consumption of those devices? Use the QuickPoll to record your vote. And jump over to the SmartGridNewTalk technology forum to continue the discussion.

 

 

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L’arrivée de la voiture électrique accélérera-t-elle la mise en place des « smart grids » ?

Photo : RachelH on flickr

Ou bien est-ce l’inverse qui va se produire…? Il se pourrait bien que ce scénario ressemble à celui de la poule et de l’œuf. L’une des raisons, parmi tant d’autres, pour lesquelles la voiture électrique a du mal à voir le jour est le besoin de réseaux et d’infrastructures adaptés.

Le but des « smart grids » est justement de créer un réseau qui relie l’offre et la demande. Les « smart grids » seront donc nécessaires à l’intégration des voitures électriques sur le réseau. La technologie des « smart grids » apporte aussi des solutions qui permettent de réguler les consommations électriques et ainsi, une gestion optimale des ressources énergétiques. Ses atouts sont donc aussi bien économiques qu’écologiques. Est-ce que ce sera aussi un jour le cas pour la voiture électrique ? On a hâte d’y être !

Autonomie et recharge des batteries: la question des infrastructures nécessaires

Le principal enjeu du passage à une voiture entièrement électrique est bien sur l’autonomie du véhicule et la possibilité de recharger les batteries. On ne peut pas imaginer l’émergence d’un nouveau marché de l’automobile électrique sans l’arrivée et l’intégration de bornes de recharge au paysage urbain de demain.

Où seront situées ces bornes électriques? On peut imaginer un large réseau permettant une recharge en cours de trajet, en ville comme à domicile. Pour les arrêts de longue durée, une charge à domicile semble la solution la plus logique. C’est d’ailleurs celle qui semble être préconisée par les constructeurs, car avec une borne dédiée, elle prolongerait la durée de vie des batteries. Pour des arrêts plus courts sur les parkings ou les centres commerciaux, un câble que vous garderez toujours dans votre coffre, vous permettra de recharger en 5 minutes de quoi faire 25 kilomètres pour rentrer chez vous.

Pour l’instant, le dessin précis d’un futur réseau de bornes de recharge semble encore être au stade de la discussion entre constructeurs, fournisseurs d’électricité et gestionnaires de l’énergie. Cependant, certaines entreprises, au premier rang desquelles les géants Google et Microsoft, montrent leurs volontés d’investir durablement dans les « smart grids », tout comme dans la mobilité durable. “On peut se demander si les constructeurs ne deviendront pas les équipementiers de la mobilité, à l’instar des fabricants de téléphones portables (…) Cela intéresse des entreprises comme Google et Microsoft”, déclarait Patrick Coroller de l’Ademe, dans le magazine Terra Eco d’Octobre 2010 (“La voiture électrique est-elle faite pour vous?”).

Efficacité énergétique et énergies renouvelables

L’objectif est d’apporter avec la voiture électrique une solution plus durable, face à la disparition des énergies fossiles. On espère donc qu’au lieu de remettre en route des centrales à charbon pour répondre à la demande, les fournisseurs d’énergie privilégieront des solutions d’efficacité énergétique et intégreront le développement des énergies renouvelables. C’est aussi le but des « smart grids », et il suffit d’attendre encore un peu pour voir quelle tendance se profilera, avec le lancement attendu en 2011 des bornes de recharge de Schneider Electric.

L’exemple de Nissan

On ne voyait que la Leaf sur le stand de Nissan au Ceatec Japan 2010 (Cutting-edge IT & Electronics Comprehensive Exhibition). Cette voiture électrique devrait arriver sur le marché français en juin 2011, et c’est celle qui attirait tous les regards sur le pavillon des Innovations Smart Grid 2010. “Un système de communication sera embarqué dans chaque véhicule, il communiquera en permanence son état de charge et sa position au data center du Smart Grid. L’énergie emmagasinée dans les batteries de tous les véhicules garés participeront au pot commun d’énergie et pourront alimenter les maisons et les immeubles par mauvais temps, lorsque les panneaux solaires ne pourront pas le faire“ déclarait à cette occasion, Toshio Hirota, en charge de la planification des recherches sur les problématiques environnementales chez Nissan.

Sur le modèle de la Leaf de Nissan, il semble donc que les constructeurs associent dès à présent voitures électriques et réseau intelligent, indispensable à un fonctionnement optimal et durable des futures bornes de recharge.

Publié par Julie  d'Ijenko le 28 octobre 2010

UK smart meter roll-out set to be most expensive in world

UK smart meter rollout set to be most expensive in world energy ...
Smart meter deployment in the UK is set to be the most expensive in the world, according to new research.Business information service Datamonitor released a report today that said the global smart metering market for residential customers is set to reach £3.6 billion by 2015 – a 350%  increase from 2009. But it said the roll-out of smart metering in the UK would in some cases cost double what it would in other territories.

"The UK solution looks very expensive compared to, say, France where ERDF expects to drive down the cost of its meters to £28-£30. The equivalent figure for the UK’s meters is around £57," said Jon Lane, energy director at Datamonitor.The higher costs are down to the sophisticated nature of the UK smart meter system, according to Datamonitor. It said the roll-out would involve multi-utilities with a central communications provider to collect and provide metering data to market participants and a centralised procurement programme to deliver economies of scale.

"All of this makes the UK’s smart metering programme expensive. All-in costs including gas meters were originally estimated at £136 per household but the more recent decision to fit modular meters may push up the cost further," said Lane.

White elephant

Lane warned that these higher costs would only be acceptable if Government managed to drive down energy usage. "If consumers don’t reduce usage then the UK system becomes an expensive white elephant," he said. Lane said that globally smart metering has gained "an unstoppable momentum" with 60 million residential smart meter units set to be shipped in 2015 – a four-fold increase on 2009.

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Smart Grid : le sans-fil sera une solution pour Frédéric Luu de Digi International

 
"Frédéric Luu est vice-président Asie, Europe, Afrique et Moyen-Orient de l'américain Digi International. Avec l'essor attendu du réseau électrique communicant, le spécialiste des télécommunications s'intéresse au secteur de l'énergie. Frédéric Luu présente son offre technologique pour le Smart Grid."

Digi International est spécialisé dans la communication entre machines. Quelle solution destinez-vous au réseau électrique communicant ?

Frédéric Luu : Dans un certain nombre de pays, le réseau électrique est assez ancien. Il a besoin d'appareils de contrôle. Les réseaux d'énergie et de données doivent être reliés. Digi intervient en amont au niveau des fournisseurs d'électricité. Mais aussi sur les compteurs électriques. Notre offre consiste souvent en une communication sans-fil ZigBee vers notre plate-forme iDigi. Elle gère des flux de communication bidirectionnels. Les données remontent en temps réel, par le web, du consommateur au fournisseur d'énergie.

En France, pour remonter les données, ERDF a fait le choix des courants porteur en ligne (CPL). Pas du ZigBee...
FL : En France ou ailleurs, il se peut que des compteurs soient déjà connectés au réseau. Nous assurerons alors la communication à l'intérieur de la maison, entre le compteur et les appareils domestiques. Mais il y a des endroits où le CPL ne pourra pas être utilisé. Pour des raisons de coût, par exemple à la campagne. Le sans-fil sera une solution.

Comment s'assurer que le réseau électrique communicant permette vraiment des économies d'énergie ?
FL : Une des clés est de travailler avec des fournisseurs d'applications logicielles. Aux Etats-Unis, avec Comverge, nous gérons les microcoupures de délestage, en été, au Texas. Elles permettent de franchir les pics de consommation liés à l'utilisation de la climatisation. Autre exemple, avec EcoFactor, nous pouvons réguler le chauffage et la climatisation d'une pièce grâce à des capteurs. Nous avons obtenu des économies d'énergie, aux Etats-Unis, d'environ 20 %. Pour en savoir plus : http://www.digi.com/

Propos recueillis par Thomas Blosseville

IEEE Defines Energy Storage Systems for Smart Grid with Launch of IEEE P2030.2TM Working Group

 

IEEE, the world's leading professional association for the advancement of technology, today announced the launch of the IEEE P2030.2^TM Working Group (WG). Tasked with facilitating wide-scale, consistent implementation of energy storage systems, the P2030.2 WG will deliver guidelines for discrete and hybrid energy storage systems that are integrated into the electric power infrastructure.

Energy storage is a top-level priority for the Smart Grid, given increasing energy demand and the value storage adds to the functioning of the electric grid and to renewable electric power resources,? said Mark Siira, IEEE P2030.2 WG Chair, Manager, Applied Technology, Kohler Company. With the coming growth and expansion in energy storage technologies and applications, the work of the P2030.2 WG to establish an effective strategy for integration into the Smart Grid will be critical.P2030.2 will build on overall Smart Grid interoperability topics being covered in IEEE Standard P2030^TM, the industry's first cross-discipline guideline for smart grid interoperability for the power engineering, communications and information technology industries. The P2030.2 WG will develop a guideline for discrete and hybrid energy storage systems that are integrated with the electric power infrastructure, including end-use applications and loads. The ?Guide for the Interoperability of Energy Storage Systems Integrated with the Electric Power Infrastructure? will help users achieve greater understanding of energy storage systems by defining technical characteristics. It will also illustrate how discrete and hybrid systems may be successfully integrated with and used compatibly as part of the electric power infrastructure.

The standard fills the need for guidance relevant to a knowledge base addressing terminology, functional performance, evaluation criteria, operations, testing, and the application of engineering principles for energy storage systems integrated with electric power architectures and systems. Upon launching the P2030 Smart Grid Interoperability WG, we knew its work would reveal key focus areas, such as energy storage systems, which will play fundamental roles in the Smart Grid as it moves forward, said Dick DeBlasio, P2030 Working Group Chair, Chief Engineer, at the National Renewable Energy Lab facility of the U.S. Department of Energy, and IEEE Smart Grid liaison to the National Institute of Standards and Technology (NIST). The IEEE was the first standards development organization to address Smart Grid interoperability and with its thorough breadth of technology expertise and existing standards work in energy storage and distributed resources like renewables, is perfectly positioned to lead efforts in this area.

The P2030.2 WG is a priority extension of work being conducted by the P2030 Smart Grid Interoperability WG, which will be meeting in Las Vegas, Nevada beginning Tuesday, October 26, 2010. The four-day gathering is focused on comment resolution and writing assignments for critical sections of the IEEE Guide for Smart Grid Interoperability of Energy Technology and Information Technology Operation with the Electric Power System (EPS), and End-Use Applications and Loads (P2030) leading to the final stages of consensus building and balloting expected in 2011. When completed, this standard will be the foundational, system-of-systems level guide serving as a knowledge base with essential information on terminology, characteristics, functional performance and evaluation criteria, and the application of engineering principles for Smart Grid interoperability of electric power systems.

Online registration for the upcoming P2030 WG meeting is now open online at https://web.memberclicks.com/mc/quickForm/viewForm.do?orgId=iecs&formId=88507 for individuals and organizations wishing to help shape the future of the Smart Grid. For additional information about the P2030.2 or P2030 WGs, please visit http://grouper.ieee.org/groups/scc21/2030/2030_index.html.

The IEEE Standards Association, a globally recognized standards-setting body within the IEEE, develops consensus standards through an open process that engages industry and brings together a broad stakeholder community. IEEE standards set specifications and best practices based on current scientific and technological knowledge. The IEEE-SA has a portfolio of over 900 active standards and more than 600 standards under development. For information on the IEEE-SA, see: http://standards.ieee.org

IEEE, the world's largest technical professional association, is dedicated to advancing technology for the benefit of humanity. Through its highly cited publications, conferences, technology standards, and professional and educational activities, IEEE is the trusted voice on a wide variety of areas ranging from aerospace systems, computers and telecommunications to biomedical engineering, electric power and consumer electronics. Learn more at http://www.ieee.org.

 

Un standard pour les courants porteurs en ligne : l'IEEE 1901

 

L’IEEE vient de ratifier la norme relative à la technologie de communication par CPL à 500 Mbit/s. Les spécifications techniques seront publiées début 2011.La technologie de communication par courants porteurs en ligne (CPL) a désormais son standard : le IEEE 1901. Il vient d’être ratifié par l’IEEE (Institute of Electrical et Electronics Engineers), l’organisme de normalisation international dans les domaines électrique et électronique.

La technologie CPL utilise les lignes électriques existantes pour la transmission de données, évitant ainsi de poser des nouveaux câbles pour amener Internet jusqu’aux foyers ou relier des équipements dans le cadre d’un réseau local.

Le standard IEEE 1901 prévoit un débit nominal de 500 Mbit/s, une portée de 1500 m et une bande de fréquences de l’ordre de 100 MHz. Les produits CPL les plus rapides disponibles aujourd’hui offrent des débits de l’ordre de 200 Mbit/s et utilisent trois technologies incompatibles entre elles.

L’IEEE a choisi la proposition de Panasonic et sa technologie de modulation OFDM à ondelettes, au cœurs de produits HD-PLC de la marque japonaise. Les applications potentielles des CPL au standard IEEE 1901 vont des réseaux électriques intelligents (Smart Grid) aux réseaux locaux domestiques et d’entreprises, en passant par la distribution de contenu multimédia à l’intérieur des avions, des trains, des bus et d’autres véhicules.

Les spécifications techniques du standard IEEE 1901 devraient être publiées début 2011.

What's REALLY driving the smart meter consumer backlash ?

For information on Smart Grid News Talk please use the following links.   What is SGNTalk?   How do I register?

Smart Grid News Talk: The Tuesday Topic Your voice for the new Smart Grid What's REALLY driving the smart meter consumer backlash? The DOE in a recent report suggested customers should be able to decide if third parties see their energy-usage data collected by their local utilities. The issue, of course, is privacy. But that's only one issue rearing its head as consumers from coast to coast rail against smart meter deployments. Increasingly we're seeing headlines pointing to consumer concerns about potential health risks relating to smart meters. And the idea that utility customers might end up shouldering the costs of unproven smart meter technology is another hot button.   So what do you think? What's really causing this disconnect between an industry that sees smart meters as an opportunity for consumers to save money on their utility bills and a John and Jane Q. Public who see red flags everywhere? Start talking now

Tendril, Lockheed Martin Collaborating On Demand-Response Solutions

 

Tendril and Lockheed Martin say they are working together to integrate Lockheed Martin's SEEload demand-response solution with Tendril's energy-management technology to provide utilities with a demand-side management platform. The SEEsuite is designed to give utilities and system operators insight into enterprise operations and control of their smart grid assets, Lockheed Martin says. The suite's applications include SEEload for demand-response management, as well as SEEgrid for situational awareness and integrated resource management. Tendril's platform leverages products and applications that communicate directly with a utility’s existing infrastructure to give consumers energy-management information. "The integration of Tendril's residential energy management system with SEEload makes it easier and quicker for utilities to deploy standards-based demand-response solutions across their entire customer base and service territory," says Lockheed Martin's Larry Easton.

How Schneider Electric is Tackling the Smart Grid

Power gear company Schneider Electric is fond of saying that 70 percent of the world’s electrons flow through its equipment. But what has it been doing to make those electrons flow more intelligently ? Like fellow smart grid giants such as Siemens, General Electric and ABB, Schneider has a multi-faceted approach, largely based on its strength in low and medium-voltage equipment and its industrial and commercial energy management systems. In particular, managing energy in buildings and connecting them back up to the smart grid looms large in its plans.

Schneider operates in more than 100 countries and reported revenues of €8.57 billion ($11.2 billion) in the first half of 2010, double those of the same period last year. It provides products and services in data centers, industrial facilities, commercial buildings, and in the grid itself. It also has a host of familiar brands — industrial automation from APC , inverters from Xantrex, circuit breakers from Square D, and most recently, the transmission and distribution business units it acquired from French power giant Areva.

So what’s on Schneider’s mind when it comes to the smart grid? Here are some takeaways with recent conversations with company executives, along with a host of projects and partnerships that help define Schneider’s vision:

1) The Smart Grid Needs Smart Buildings. First of all, it’s important to focus on the fact that Schneider is busy building a smart grid from the building on up. Illustrative of the work is Schneider’s partnership with IBM, aimed at linking buildings from individual sensors and controls all the way up to the enterprise.

“Schneider and IBM think you can’t have a smart grid without smart buildings,” is how Chris Davis, vice president of global strategic alliances for Schneider’s buildings business, put it to me. The two have already started one project at Rhode Island’s Bryant University, where they’re linking the school’s Schneider APC-based data center control platform with Schneider’s Andover Controls “Continuum” brand building management system — an example of the advantages of having a huge base of installed equipment ready to be integrated.

A similar strategy is being applied with Schneider’s EcostruXure offering for building energy efficiency, which ties Schneider’s gear and engineering expertise with a variety of services, from “EnergyLite” programs to cut building power use by 10 percent with minimal investment, all the way up to full-scale, multi-million dollar energy services contracts that aim for 30 percent or better efficiency gains. In New York City, Schneider’s TAC energy controls system helped the McGraw-Hill Building at Rockefeller Center cut its energy bill by 60,000 kilowatts, saving $12,500 per month.

Read More :  How Schneider Electric is Tackling the Smart Grid Cleantech News «

Smart grid messaging : tell them what they want to hear ?

Smart grid messaging: tell 'em what they want to hear? Kansans 'hate' Al Gore, love energy efficiency The Climate and Energy Project has experimented with motivating locals in conservative, Bible-belt Salina, Kansas, by emphasing thrift, patriotism and spiritual conviction instead directly evangelizing on its mission to cut greenhouse gas emissions to halt global warming. That may be good use of rhetoric, but it raises questions about ethics, honesty and transparency. Our columnist explores the issue of telling people what they want to hear, regardless of why you're telling them something. Read more...

Home area networks : Zigbee or Wi-Fi ?

Home area networks: Zigbee or Wi-Fi? Question drives month-long thread on smart grid forum

A discussion of enabling communications technologies for the home area network elicited enlightening views on various choices' pros and cons, as well as philosophies on how those technologies may become cheaper and better over the next few years. We listened in on the discussion and you can too.

Read more...

La CRE publie, en collaboration avec l'Université Paris-Dauphine, un ouvrage dédié aux smart grids

 
L'Electricité du futur : un défi mondial

Editions Economica - 186 pages
En librairie le 8 novembre au prix de 27 euros
Prix spécial pour les abonnés au site de la CRE : 20 euros avec le bon de commande ci-joint

Résumé : L’augmentation de la consommation d’électricité, le développement des énergies renouvelables et l’émergence de nouveaux usages comme la voiture électrique sont autant de défis qui mettent aujourd’hui à l’épreuve la solidité et la réactivité de nos réseaux électriques. Ces réseaux doivent évoluer pour devenir « intelligents » grâce aux nouvelles technologies de l’information et de la communication, qui doivent être intégrées sur l’ensemble de la chaîne de valeur, depuis la production de l’énergie jusqu’à son utilisation finale par le consommateur.
Pour la première fois en France, ce livre donne la parole aux acteurs de ce changement, qui promet d’être révolutionnaire, le remet en perspective dans toute son ampleur et sa complexité. Rendre les réseaux électriques intelligents constitue certes d’abord un défi technique, c’est aussi et surtout un enjeu de société qui suppose un citoyen acteur, impliqué dans la maîtrise de sa demande d’énergie, et non plus seulement consommateur, mais aussi un citoyen producteur, quand il dispose de sources d’énergie renouvelables, capable d’interagir de manière croissante avec le réseau.
Ce mouvement mondial auquel nous assistons rencontre toutefois de nombreux obstacles. L’objectif de cet ouvrage est d’examiner les déterminants de ce changement de grande ampleur à travers ses dimensions techniques, économiques et sociales et de montrer comment l’émergence d’un système électrique évolué suppose la conciliation d’objectifs parfois contradic toires et une forte coordination des acteurs.

» Retrouvez toutes les informations de la CRE sur le site www.cre.fr

 

Beating Stuxnet to Death (Before it Beats Us)

 
Beating Stuxnet to Death (Before it Beats Us)

If it feels like I'm belaboring the importance of understanding Stuxnet, it's because, IHMO, it's a threat well worth belaboring. Stuxnet is Mother of all industrial and utility sector cyber wake-up calls. And if you're an asset owner asleep at the wheel, it could be your momma, and your daddy too (see: who's your daddy?).  As I mentioned in a previous Stuxnet rant, good security tools and best "defense in depth" practices are a less-than-complete defense:

No matter how solid an org's security policies, no matter the level of adherence to defense in depth principles and security best practices, no matter how much security technology was deployed and how up-to-date it was kept, it is very likely that Stuxnet would have found a way in.

Now here's a real expert, Andrew Ginter of Industrial Defender on the excellent Findings from the Field blog, laying out the harsh reality of the Stuxnet wake-up from a (NERC and DHS) security standards point of view :

A site protected with whitelisting/HIPS ... would have been CFATS or NERC compliant, and would have been protected from Stuxnet. Unfortunately, I am aware of only a handful of such sites, and no HIPS protection is mandated by NERC or CFATS. Sites with only anti-virus deployed are seen by today’s regulations as having adequate malware protection, but that protection would not have prevented Stuxnet compromises in the first year the worm circulated.

If you're new to whitelisting, here's a ZDNet blast from the past in 2008, featuring Microsoft security guru Scott Charney making the case that whitelisting is the future for most/all successful cyber security strategies. From my understanding of this approach, it's a huge step forward from where many orgs are today. But I also recall hearing Symantec's reverse engineer and Stuxnet expert Liam O' Murchu saying he thought Stuxnet could/would potentially morph to circumvent whitelisting defenses. Yikes.

Nevertheless, NERC and NERC CSO Mark Weatherford have been busy issuing guidance to utilities on how to best combat Stuxnet and Stuxnet-like threats. We're not privy to the actual details of that guidance, but you can gain a little insight into NERC's actions here and here.  I'm not sure it's a Stuxnet defeater, but I for one am quite happy to hear Weatherford calling for more security in software development and sourcing processes.Regarding preparations for future versions of Stuxnet targeting electrical infrastructure: