DOE tries to resolve privacy concerns over Smart Grid deployment.
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DOE tries to resolve privacy concerns over Smart Grid deployment.
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Balises: DOE, National Broadband Plan’s, Smart Grid, Smart Grid, United States Department of Energy
La CGSP a tenu à réagir à la demande de l'Union européenne, qui aimerait que 80% des ménages européens soient équipés de compteurs électriques et gaziers "intelligents" d'ici à 2020. Selon le syndicat, sur ces 80%, seuls 20% bénéficieront des économies escomptées de 1,5 à 4% sur leur facture énergétique. La CGSP met en garde ce nouveau système coûtant au consommateur entre 400 et 600 euros pour une durée de vie moyenne de dix ans. Qui plus est, les tarifs deviendront complètement incompréhensibles. Par ailleurs, La Libre analyse les coûts - pour le consommateur - du transport de l'énergie. Ils varient du simple au double en fonction des régions.
14/10/2010 - ORES POSE DES COMPTEURS INTELLIGENTS |
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Balises: compteurs intelligents, Gaz/électricité, transport de l'énergie, Union européenne
Électricité. Des boîtiers pour limiter la consommation En période de pointe, notamment lorsque la demande en électricité s'accroît durant l'hiver, il devenait urgent pour les élus et collectivités bretons de trouver des alternatives dans le but de sécuriser l'alimentation électrique en Bretagne. Objectif: éviter le black-out. L'an dernier, une mesure innovante a été testée. Il s'agit de «l'effacement diffus». Des boîtiers électroniques ont été installés et reliés à des appareils électriques de chauffage. «Ces boîtiers, explique Jean-Paul Glémarec, conseiller général du Finistère délégué à l'énergie, coupent l'utilisation des appareils durant 15 à 30 minutes. On ne ressent pas de baisse de chauffage. Mais ces coupures, en diminuant la consommation, permettent d'atténuer le pic de la demande en électricité».
Un projet ambitieux
L'objectif est maintenant de mettre en oeuvre cette solution innovante à une plus vaste échelle. D'ici deux ans, l'objectif est ainsi d'installer 60.000 boîtiers d'effacement en Bretagne et 300.000d'ici 2015. «En Bretagne, nous avons recensé 450.000 points où l'on utilise du chauffage électrique», note Jean-Paul Glémarec. Un gros tiers des foyers est équipé en chauffage électrique. À eux seuls, ils absorbent plus de la moitié de la consommation des ménages.
Boîtier gratuit
Pour optimiser la consommation, la société Voltalis, ainsi qu'EDF, proposent à des consommateurs volontaires (particuliers, entreprises, collectivités...) de s'équiper gratuitement d'un boîtier électronique. «L'économie ainsi réalisée va permettre d'alimenter le réseau à un moment où il en a besoin, sans avoir à acheter de la productionhors de Bretagne», commente Laurent Maurice de RTE (Réseau de transport d'électricité). Une autre solution pour faire baisser la consommation en électricité, c'est de s'équiper d'un poêle à bois. Depuis juin, EDF propose d'ailleurs des prêts à taux zéro de 1.500 € à 4.000 € sur quatre ans. Contacts EDF: tél. 0.810.021.333. Voltalis: tél.01.56.43.63.73.
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Balises: limiter la consommation, Électricité
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Balises: ZigBee
On a fundamental level, the smart grid is the merging of two networks: the power network, consisting of the electrical generation, transmission, and distribution grid, and the modern communications network, which enables voice, video, and data communications for billions of endpoints around the world. As such, networking and communications technologies are at the core of utility smart grid deployments, and have been the focus of significant attention and fierce debate by industry players.
A new report from Pike Research forecasts that 276 million smart grid communications nodes will be shipped worldwide during the period from 2010 to 2016, with annual shipments increasing dramatically from 15 million in 2009 to 55 million by 2016. The cleantech market intelligence firm expects that this will represent a total industry investment of $20.3 billion during the seven-year forecast period, with annual revenues increasing from $1.8 billion in 2009 to $3.1 billion by 2016, despite rapidly falling average selling prices (ASPs) per node.
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Balises: Smart Grid
C'est un code pas comme les autres qui circule depuis plus d'un an sur Internet. Repéré seulement au mois de juin 2009 par une petite firme de sécurité biélorusse, Stuxnet a depuis fait couler beaucoup d'encre. D'abord parce qu'il était le premier à tirer parti d'une grave faille Zero Day touchant les icônes de Windows, que nous avions évoquée voici quelques temps. On a découvert depuis que Stuxnet exploitait en réalité trois autres failles Windows non patchées – deux d'entre elles le sont désormais – pour tenter d'infecter la machine cible, ce qui est extrêmement rare pour un malware.
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Balises: SCADA, sites industriels, Stuxnet
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Balises: compteurs intelligents, Wallonie
Lancement en février 2010 du forum ICT4EE (TIC pour l'efficacité énergétique) durant l'événement "ICT4EE". L'objectif du Forum est double : D'une part, l'industrie des TIC est invitée à élaborer un cadre pour mesurer son énergie et la performance environnementale et s'est fixée des objectifs d'efficacité énergétique d'ici la fin de 2010 et 2011. D'autre part, le forum est à la recherche de moyens dont le secteur des TIC peut conduire à une plus grande efficacité énergétique dans d'autres secteurs tels que les bâtiments, les transports et l'énergie. http://www.digitaleurope.org
Smarter use of technologies could help citizens and other industries to cut 15% of global emissions by 2020. Information and Communication Technologies (ICT) is in a unique position to contribute to reducing the CO2 footprint by : Enhancing: do the same more efficiently - Enabling: evolutionary change to everyday processes - Transforming : creating new systems
The seminar organised by DIGITALEUROPE, in collaboration with Eurocities, presented Cities best practices on how ICT can enable energy reduction. The speakers and participants were coming from all around Europe. More information on the ICT for energy efficiency programme under http://www.ict4ee.eu/
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Balises: CT4EE, TIC pour l'efficacité énergétique
Protecting consumer data privacy Last week, the U.S. Department of Energy (DOE) released two reports. One concerned utility communications needs, and the other addressed data access and privacy. Both were related to smart grid technologies, and both were designed to implement recommendations made in the Federal Communications Commission's National Broadband Plan, released this past March. The two DOE reports reflect the information collected from two Requests for Information issued in May to a) solicit comments from electric utilities, consumer groups, and other stakeholders on ongoing federal and state efforts to protect consumer energy use data, and b) to assist the DOE in studying the present and future communications needs of electric utilities as smart grid technologies are deployed more broadly across the country. In addition, the reports also reflect two public meetings held in June, one on each topic.
For the purposes of this column, I am focusing on the second report, concerning data access and privacy. As you've read previously here in this column, Ontario Information and Privacy Commissioner Ann Cavoukian and her office have already weighed in on the issue with a positive-sum approach concerning data privacy, designed to be transformative in approach and able to take steps to address new issues when and if they arise. It's not a new issue. Utilities have been protecting consumer data and consumer privacy for eons. And in Ontario, as is occurring through the U.S. and Canada, utilities are working to ensure that vigilance continues to be maintained with the addition of new technology and new consumer and utility options.
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Balises: Protecting consumer data privacy
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Iberdrola et ERDF ont décidé d'unir leurs efforts en vue d'établir un standard en matière de courants porteurs en ligne (CPL) permettant une véritable inter-exploitabilité pour un comptage intelligent. Les deux sociétés rassembleront une équipe d'experts afin de définir un profil commun de télécommunication CPL. Elle prendra en compte les points forts de chacun des protocoles actuellement utilisés par chacune des sociétés, et cela dans un objectif d'uniformisation au niveau mondial. Les résultats de cette coopération seront offerts aux organismes internationaux d'uniformisation (ITU-T et d'autres) afin de leur permettre d'envisager cette collaboration dans le cadre de leurs initiatives en cours de développement de standards.
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Balises: ERDF, Iberdrola, ITU-T, standards
Voltalis n’en démord pas. Après une procédure engagée auprès du Conseil d’Etat, le spécialiste de l’économie d’énergie s’apprête à saisir l’Autorité de la concurrence, selon des informations publiées jeudi par le journal Les Echos. Voltalis reproche à EDF un abus de position dominante.
Cet angle d'attaque n'est pas sans rappeler celui de Solaire Direct, qui avait eu gain de cause auprès de l'Autorité de la concurrence sur des pratiques mises en oeuvre par EDF et sa filiale d'énergies renouvelables EDF ENR. Le spécialiste des panneaux photovoltaïques estimait que son concurrent profitait à la fois de l'image de sa maison mère (à travers son logo EDF Bleu Ciel) et de sa base de données de clients régulés. Constatant une « confusion entre, d'une part, le rôle d'EDF en tant que fournisseur d'électricité aux tarifs réglementés et, d'autre part, l'activité concurrentielle de sa filiale », l'Autorité avait prononcé des mesures contre EDF.
Si Voltalis envisage de saisir le gendarme de la concurrence, c'est qu'il se trouve dans une impasse. La société ferraille toujours avec EDF, les autres fournisseurs d'électricité, la Commission de régulation de l'énergie et le gestionnaire de réseau RTE sur le mode de rémunération de ses services dits d'« effacement diffus ». Au coeur du débat, cette question épineuse : lorsque Voltalis efface la consommation de ses clients, combien doit-il être payé et par qui ? Le dossier est complexe et se heurte aux impératifs contradictoires de la libéralisation du marché de l'énergie, de la maîtrise de l'énergie souhaitée par l'Etat et de la stabilité du système électrique.
Un compromis entre les acteurs du marché semblait atteint début juillet. « Mais EDF a changé de position à la dernière minute », affirme Pierre Bivas, qui accuse l'opérateur historique de vouloir l'asphyxier. D'où la décision de Voltalis de saisir l'Autorité de la concurrence. Cette procédure s'ajoute à celle engagée il y a un an auprès du Conseil d'Etat. Une audience a eu lieu le 17 septembre dernier. La décision n'est pas attendue avant la fin de l'année. De quoi tester davantage la patience des actionnaires de Voltalis, les familles Mulliez (propriétaire d'Auchan) et Coisne et Lambert (propriétaires de Sonepar), qui s'inquiètent de voir les pertes de la société se creuser. Jusqu'à présent, Voltalis n'a installé que 25.000 boîtiers. Il vise les 50.000 pour la fin de l'année.
Rédigé à 09H12 dans Compteurs intelligents, Economie d'énergie, Efficacité Energétique, Electricité, Smart Grid, Smart Grids | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Balises: l'Autorité de la concurrence, Voltalis
Prévu pour remplacer compteurs électriques d’ici 2017, les compteurs dit « intelligents » sèment le trouble au niveau européen. Cette nouvelle technologie devrait faciliter les économies d’énergie et donc lutter contre le réchauffement climatique. Mais derrière ce boîtier numérique se profilent des enjeux financiers colossaux.
Linky, le nouveau compteur « intelligent » qui pourrait remplacer d’ici 2017 les 35 millions de compteurs électriques actuellement en fonctionnement dans l’hexagone est capable de transmettre en temps réel au fournisseur d’énergie des informations sur la consommation détaillée du client. Les données transitent du compteur vers des concentrateurs qui centralisent les données avant d’être transmises au fournisseur d’énergie. Ce dernier peut relever à distance, automatiquement et en temps réel la consommation d’énergie sans recourir au déplacement d’un agent.
L’Italie, talonnée par la Suède, est un pays pilote en Europe avec 85 % de foyers équipés. En France, l’heure est à l’expérimentation : ERDF teste depuis avril 2009 la pose de 300 000 compteurs et de 5000 concentrateurs en Touraine et dans la région lyonnaise. Ces expériences pourraient valider en 2012 la généralisation du linky sur le territoire national. L’adoption par la Commission européenne le 9 octobre 2009 d’une recommandation pour accroître l’utilisation de « technologies intelligentes » dans la lutte contre le réchauffement climatique accélèrera l’arrivée du linky. Convaincue qu’avec cette technologie « certains consommateurs pourraient réduire leur consommation d’énergie de 10 % », la Commission invite les Etats-membres à adopter au plus tard fin 2012 « un calendrier de déploiement des compteurs intelligents dans les ménages européens ». L’Europe est donc déjà convaincue… mais par qui ? Un lobby, le Groupe industriel européen des compteurs intelligents pousse son projet dans les couloirs des institutions de l’Union européenne. Parmi les 23 membres de ce groupe, on retrouve les fournisseurs de modules comme Sagem communications et des fabricants de compteurs tels que Siemens. Le remplacement du parc de compteurs au niveau européen représente un énorme enjeu financier et stratégique dans le secteur de l’informatique, des télécommunications et de l’énergie.
Dans les faits, une équipe de scientifiques de l’Université d’Oxford a conclue après recherche que l’appareil seul ne suffiraient pas mener à une baisse de la consommation générale. L’auteur Dr. Sarah Darby de l'Université d'Oxford dans un article publié dans le Building Research and Information Journal (Journal d’information et de Recherche du Bâtiment) constate que les avantages du compteur intelligent pourrait être moins efficace que prévu et ne dépendraient que de la phase de pédagogie. Une étude Hollandaise publiée dans la même revue met en doute les résultats des recherches internationales en la matière car elle sont toutes basées sur des périodes de 4 mois tout au plus, ce qui est relativement court. En effet, lorsque l’équipe de chercheurs de l’Université Technologique de Delf a mené son étude sur une période de 15 mois, ils ont découverts que les bénéfices du compteur intelligent étaient perdu tant que les fonctions pratiques ne sont pas assimilés par les utilisateurs comme une routine quotidienne.
Plusieurs voix ont également dénoncé l’intrusion dans la vie privée permise par ce compteur, après la tenue à Madrid en novembre 2009 de la 31ème Conférence internationale de protection des données et de la vie privée. A cette occasion, Elias Quinn du Centre pour la sécurité énergétique et environnementale de l’Université du Colorado, a pointé le risque d’une tentation par les compagnies électriques de vendre les données collectées par les compteurs intelligents. Deplus, on peut voir les données réquisitionnées par l’État. Au Canada, selon le journal Observer cette démarche a déjà permis l’acquisition d’informations menant au démantèlement de jardin de cannabis d’intérieur. Bien que la court ait refusé ceux-ci comme preuve, jugeant que la méthode d’acquisition des données n’était pas en accord avec les mandats nécessaires, bien que les charges aient tout de même été retenues. Aux États-Unis la mise en place de ces compteurs est elle aussi décriée. Un employé d’un fournisseur d’énergie américain aurait même déclaré qu’une hausse de la consommation due à une baignoire pourrait déclencher une enquête fédérale, précisant en même temps que des agents du FBI et de la DEA venaient régulièrement discuter avec les employés.
En Europe, au sein de l’union les motivations divergent. La Belgique, reste divisée en l’absence d’évaluation. Si la Flandre s’engage pleinement dans le processus, la Commission wallonne pour l’énergie met la pédale douce estimant qu’un « examen scrupuleux » est nécessaire avant tout investissement. Le débat fait également rage aux Pays-Bas depuis plusieurs mois. Un projet de loi organisant la mise en place du compteur intelligent prévoyait une amende de 17 000 euros et 6 mois de prison pour ceux qui s’opposeraient à cette installation. Les mobilisations citoyennes ont conduit le Sénat hollandais à refuser d’adopter le projet de loi en avril dernier. « En France, la fédération CGT discute avec les collectivités de l’arrivée du compteur, explique Guy Habai. Et avec la libéralisation totale des prix de l’énergie à partir du 1er juillet 2010, les maires et les élus de la région ont tendance à être sur la réserve. »
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De son côté, Test-Achats a estimé, mardi, qu’il faut laisser le choix aux consommateurs d’adopter ou non les compteurs intelligents. " Nous n’accepterons en aucun cas que ce soit seulement l’utilisateur qui en fasse les frais. Nous avons l’impression qu’on a surtout et d’abord songé aux intérêts du gestionnaire de réseau ", dit Test-Achats sur son site Internet. D’après le Centre de recherche et d’information des organisations de consommateurs (Crioc), il y aura des disparités entre les montants réclamés entre été et hiver, un surcoût sur la facture et l’intrusion dans la vie privée des ménages.
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One way to get a sense of the future is to watch companies that provide enabling technology. Here are just a few of the products that could and should be measuring and monitoring their own power : Smart plugs , Submetering for industrial and commercial equipment , Servers , PCs , Air-conditioners , Freezers and refrigerators , Industrial motors and equipment ... A world of power-savvy devices opens up vast new possibilities for the many companies that have started to circle the smart grid in search of killer applications.
And let’s not forget about utilities who want to give their customers more and better information about their energy consumption. Already drowning in smart meter data, they may soon be getting data at the device level, at least from their biggest customers. Most observers talk about smart appliances in the home (and a few manufacturers have already started building such devices). In reality, the first widespread rollouts will occur in commercial and industrial settings. That is where you find power-hungry devices. And that is where customers have a bottom-line motivation to reduce energy usage.
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Balises: smart grid, Smart plugs, Submetering for industrial and commercial equipment
Les compteurs intelligents présentent beaucoup d'avantages pour les gestionnaires de réseaux mais peu pour les consommateurs. Le Centre de recherche et d'information des organisations de consommateurs (CRIOC) pointe du doigt plusieurs éléments négatifs : les disparités des montants réclamés entre été et hiver, le surcoût de la facture, l'intrusion dans la vie privée et les pertes d'emplois.Le CRIOC dénonce la possibilité qu'apparaissent des "disparités importantes entre les montants réclamés en été et en hiver", les factures étant établies en fonction de la consommation réelle de la période facturée.De plus, le surcoût répercuté sur la facture est estimé à 50 euros par an et par compteur. Il est dû d'une part à la plus grande complexité de ces appareils et d'autre part à leur durée de vie trois fois moins longue (10 ans), regrette le CRIOC. La protection de la vie privée sera également touchée à partir du moment où des informations sur l'intensité et les moments de consommation seront transmises, "offrant une fenêtre ouverte à la connaissance des moments où les consommateurs sortent et rentrent chez eux, à quel moment ils sont partis en vacances", souligne encore le Centre.
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Balises: Compteurs intelligents
L'association de consommateurs belge Test-Achats a réagi à la suite des critiques émises par la CGSP à l'égard de cette nouvelle technologie
Il faut laisser le choix aux consommateurs d'adopter ou non les compteurs "intelligents", a estimé mardi Test-Achats. L'association de consommateurs se pose également des questions quant au coût lié à ce système. "Qui va payer ? Nous n'accepterons en aucun cas que ce soit seulement l'utilisateur qui en fasse les frais. Nous avons l'impression qu'on a surtout et d'abord songé aux intérêts du gestionnaire de réseau!", peut-on lire sur le site internet de Test-Achats."Un compteur intelligent peut être installé seulement et uniquement si le consommateur donne son accord, et dans ce cas, à l'intérieur d'un cadre strict", considère l'association, parlant d'un débat démocratique à mener et non axé uniquement sur la question technique. L'association des consommateurs se pose également la question de la protection de la vie privée. Les compteurs intelligents transmettront automatiquement l'index du compteur électrique à intervalles réguliers (toutes les heures, voire quarts d'heure) au gestionnaire de réseau. Actuellement, cela ne se fait qu'une fois par an, au moment du relevé du compteur, indique Test-Achats.
"Nous n'aimons pas beaucoup la manière dont tout cela se met en place. Derrière, il y a une gros lobby et l'épargne proposée aux consommateurs est insuffisante. Il faut laisser le choix à la population d'adopter cette technologie mais ne pas l'imposer comme c'est le cas en France", conclut Test-Achats
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La loi Nome suffira-t-elle à libéraliser le marché de l'électricité?
Le texte sur la Nouvelle organisation du marché de l’électricité (Nome) doit être adopté d'ici la fin de l'année 2010. Mais son efficacité dépendra en partie de ses décrets d'application qui fixent le tarif d'accès au nucléaire d'EDF. Curieuse loi Nome. Le texte n’est pas encore adopté, et pourtant les décrets d’application font depuis longtemps l’objet de débats houleux. La législation va-t-elle permettre de libéraliser le marché de l’électricité hexagonale comme le demande la Commission européenne à la France? Le texte en fixe le principe. En pratique, rien n’est moins sûr. Depuis le début des discussions, toute la question est de savoir à quel prix les opérateurs alternatifs pourront accéder à 25% du nucléaire produit par EDF pour une période transitoire, qui court jusqu'en 2025. Ce tarif d’accès régulé au nucléaire (Aren) doit être déterminé par les décrets d’application de la loi, sur lesquels les services des ministères de l’Ecologie et de l'Economie travaillent déjà.
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Balises: loi Nome, marché de l'électricité
These days, it's almost blasphemous to speak ill of the smart grid. Utilities, energy and information technology firms, car makers, and politicians at all levels practically hyperventilate when enumerating how it will revolutionize our cities and our society. We'll be able to integrate more renewable power into our power grid. Utilities will instantly know when and where breakdowns occur on their network. Electric vehicles will recharge at night when power is plentiful, and feed power back into the grid when supplies run low on hot summer afternoons. Finally, we're reminded that smart meters will encourage customers to change both the level and timing of their electricity use.
Part of the reason there's so much focus on the electricity grid is that information technology companies now seek part of the action, realizing that the energy sector represents a significant opportunity to expand beyond their traditional communications domain. The biggest names in the computer world are spending a lot of money to tell us how we'll be better off if the grid gets smarter. It's hard to argue with such a vision — who wouldn't want a more reliable grid or the promise of cheaper, cleaner power? It sounds pretty fantastic to me. But then I'm reminded that the urban energy system is highly complex, and sometimes the greatest benefit can come from simpler fixes. So in our quest for more sustainable cities, what's the right strategy to follow?
Let's start by examining the claims being made about the smart grid. There's no question electric vehicles are potentially a very good thing, but it seems reasonable to ask whether they are the best choice for cities highly reliant on coal-based power. Moreover, in some cities, emissions take a back seat to the daily hassles wrought by traffic congestion. The attempt to establish a congestion-pricing scheme in midtown Manhattan was driven largely by concerns over the billions of dollars of lost economic productivity directly attributable to the city's well known traffic jams. Is New York's economy any better off if the traffic consists of thousands of electric-powered vehicles? Or should we be spending our limited resources trying to get people out of their cars?
It also turns out that there may be easier ways to obtain significant carbon-emission reductions. Particularly in northern climates, cities use lots of energy to heat buildings or make hot water. Researchers at Columbia University have found that more widespread deployment of cogeneration technology, ground-source heat pumps, solar hot-water heaters, and improved building-insulation practices can potentially cut New York City's carbon emissions by 50% or more. Such ideas — involving old school technology — may lack the sex appeal of the smart grid, but you can hardly call them dumb.
http://blogs.hbr.org/cs/2010/09/smart_energy_for_smart_cities.html
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Balises: Cities Sustainable, Smart Grid
Vous avez peut-être entendu parler d'un vers qui s'appelle Stuxnet qui attaque avant tout les systèmes SCADA (Supervisory Control and Data Acquisition), c'est-à-dire les réseaux qui pilotent des technologies industrielles dans des domaines tels que l'eau, l'électricité, le pétrole ou encore les substances chimiques, et principalement en Iran. Symantec n'a jamais vu une telle menace pareille auparavant - à la fois par rapport à ce que Stuxnet peut faire et comment il a été crée. C'est le premier virus capable de faire des ravages dans le monde réel (et non pas virtuel).
Les premières recherches révèlent que le ver a peut-être été créé par un gouvernement ou une riche entité privée. Stuxnet est très complexe et nécessite de nombreuses compétences pour le créer. Il est très sophistiqué, a nécessité une somme importante d'argent et il n'y a pas beaucoup de groupes capables de réussir une telle manigance. C'est également la première menace qui cible les systèmes SCADA.
Les experts de Symantec estiment qu'entre 5 et 10 personnes ont travaillé sur ce projet pendant 6 mois. De plus, le groupe avait besoin de connaissances sur les systèmes de contrôle industriels ainsi qu'un accès à ces dits systèmes pour s'assurer du bon fonctionnement du virus. Ce qui démontre, encore une fois, que le Stuxnet est un projet qui nécessitait une organisation hors pair avec une somme d'argent importante.
" Nous n'avons définitivement jamais vu une telle menace auparavant ", indique Lia O'Murchu, Chercheur, Symantec Security Response. " C'est inquiétant de voir que Stuxnet arrive à contrôler le fonctionnement des machines physiques
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Balises: SCADA, Stuxnet, Supervisory Control and Data Acquisition
Nouveau compteur électrique à l'horizon : 400 euros à vos frais |
L’horizon 2020 devrait marquer un tournant dans le secteur de l’énergie. C’est du moins le souhait de L’Union européenne qui souhaite que d’ici là, 80% des ménages européens soient équipés de nouveaux compteurs électriques et gaziers dits "intelligents". Mais qu’en est-il réellement des avantages et des inconvénients d’un tel compteur ? Quel en sera le coût pour le consommateur ? Si l’objectif fixé par l’Union européenne n’est pas neuf, ce qui l’est, c’est son installation toute prochaine en Wallonie. Selon le supplément économie du quotidien Le Soir, une opération pilote d’installation de ces fameux compteurs devrait voir le jour dans les prochaines semaines à Nivelles et à Marche-en-Famenne. C’est la société Ores qui la première se lance sur un marché très juteux.
L’avantage principal retenu par L’Union pour justifier le remplacement des compteurs alimentant les sept millions de foyers belges est la possibilité d’une facturation mensuelle. Fini donc le système de provision mensuelle et de rectificatif annuel, souvent douloureux. Un avantage non négligeable pour les ménages qui pourront gérer plus facilement leur consommation et ne devront plus s’occuper du relevé annuel de leur compteur. Un autre profit est à tirer d’un tel projet mais cette fois, les grands gagnants seront les industriels. Le marché de l’installation de ces nouveaux compteurs représente à l’échelle européenne plusieurs dizaines de milliards d’euros. Chacun espère donc se faire une part du gâteau. Malheureusement, le bonheur des uns faisant le malheur des autres, ce coût sera réparti à charge des consommateurs.
Pour la Belgique le coût de l’installation de ces nouveaux compteurs représente plus de trois milliards d’euros. Un coût qui, selon Le Soir, sera à charge du consommateur. Cela représenterait au minimum 400 euros par ménage même si certains parlent de prix allant jusqu’à 600 euros. Dès lors, reste à savoir si les bénéfices retirés par le consommateur et la société via le marché que cela représente peuvent être mis en balance avec le coût.
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Balises: compteur électrique
Control4, a leading provider of the operating system for the smart home, delivers intelligent control of consumer electronics products, appliances and networking systems through an easy-to-use and intuitive software interface. Founded in 2003, the company delivers affordable automation and control of lighting, music, video, HVAC, security, and energy management systems to the broad market through more than 1,600 custom integrators, retail outlets, and distributors in over 40 countries. Control4 is the platform of choice for major consumer electronics companies, hotels, businesses and utilities that require an intelligent, open and affordable control solution.
Rédigé à 11H39 dans Economie d'énergie, Efficacité Energétique, Smart Grid, Smart Grids, Smart Home | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Balises: Consumer Electronics Show, Control4 Energy Systems
La CRE propose sur son site un espace pédagogique qui décrit les réseaux électriques et gaziers. Ces deux animations seront complétées par deux autres modules, le premier sera consacré aux réseaux électriques du futur, le second aux étapes de l’ouverture du marché européen de l’électricité et du gaz. » Visionner les modules Description du module : Le système électrique regroupe l'ensemble des opérations permettant la production et l'acheminement d'électricité jusqu'aux consommateurs. Découvrez maintenant notre module "L'électricité, comment ça marche ?" en cliquant ici. |
La Commission de régulation de l'énergie vient de mettre en ligne des "modules pédagogiques" décrivant "les réseaux électriques et gaziers. Ces deux animations seront complétées par deux autres modules, le premier sera consacré aux réseaux électriques du futur, le second aux étapes de l’ouverture du marché européen de l’électricité et du gaz". En surfant sur les modules, on visualise les différentes étapes du système énergétique, depuis la production jusqu'au consommateur. Dans la distribution d'électricité, on observera, avec quelque étonnement, la diapositive consacrée aux compteurs évolués: "bientôt, de nouveaux compteurs évolués permettront une meilleure compréhension et une gestion optimisée de la consommation. Ils seront paramétrables et interrogeables à distance". L'étonnement, c'est d'y voir un compteur qui ressemble à s'y méprendre à celui testé par ERDF (en Indre-et-Loire et dans le Rhône) et Sorégies (dans la Vienne), le compteur Linky. Or, la décision de généralisation n'est, a priori, pas encore prise.
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Balises: Commission de régulation de l'énergie, Linky
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Terra Eco a publié récemment un bilan des émissions de CO2 des ministres et chef d’Etat français et a mis en avant les mesures prises par les agents de l’Etat en faveur de la réduction de celles-ci. Le bilan a été réalisé d’après les données fournies par les ministères eux-mêmes. Il survient deux ans après la publication de la circulaire « Administration exemplaire ».
Ministère par ministère, l'Etat vient de présenter son bilan carbone. Un rapport passé inaperçu, mais que Terra Eco a analysé en exclusivité. Précision : Terra eco a établi ce classement à partir des bilans carbone fournis par les ministères eux-mêmes. Les pires élèves n'y figurent donc pas soit car ils n'ont pas communiqué leurs données (c'est le cas du ministère de l'Intérieur), soit tout bonnement parce qu'ils n'ont pas réalisé de bilan : on tire ici l'oreille du ministère des Affaires étrangères.
En 2007, Nicolas Sarkozy avait promis un Etat « exemplaire » en matière de développement durable. Il n'a apparemment pas été entendu dans sa propre maison. Le palais présidentiel a en effet émis, en 2008, 33 837 tonnes équivalent CO2 pour 1 031 agents, soit un taux moyen d'émission de 32,82 tonnes par agent. Un nouveau bilan est prévu en 2011.
Isolation thermique sur trois bâtiments administratifs parisiens ; visioconférence ; ampoules basse consommation ; réduction et modernisation du parc de véhicules. Projet de rénovation des modes de chauffage : l'idée d'une chaudière à bois a été abandonnée, faute de modèle assez puissant, au profit de la récupération de la chaleur des eaux usées.
Il a été effectué en 2009 sur les sites parisiens : 10 600 tonnes équivalent CO2 pour 1 900 agents, soit un taux moyen de 5,57 tonnes par agent. Un nouveau est en cours sur les locaux répartis sur tout le territoire.
Un plan d'action est « en cours d'élaboration ». Il inclura la formation des agents à la réduction de consommation de papier, la dématérialisation des échanges d'informations, la rationalisation des déplacements… Également : achat de véhicules moins consommateurs et nouvelles exigences vis-à vis des prestataires de services. Rien de chiffré pour le moment.
Voilà un résultat qui fait tache. Le ministère « vert » par excellence pris la main dans le sac à CO2. Le premier, réalisé en 2008, indiquait 34 900 tonnes équivalent CO2 pour 6 000 agents, soit un taux moyen d'émission de 5,81 tonnes par agent. Le second, effectué en 2010, a permis de constater une baisse à 5,54 tonnes par agent.
Visioconférence, maîtrise de la consommation d'eau -un simple réglage des chasses d'eau permettra 30% d'économie en cinq ans sur l'un des bâtiments-, réduction du nombre d'imprimantes individuelles, proposition d'un repas bio par jour à la cantine principale, utilisation de papier écolabellisé exclusivement…
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Balises: bilan carbone, bilan des émissions de CO2 , gouvernement
Rédigé à 06H37 dans Biodiversité, Europe | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Balises: biodiversité, Europe, l'Union européenne
Quand les acteurs du smart grid rejoignent ceux de l’effacement énergétique. There’s a few things to know about the demand response (DR) industry, where third parties reduce utility customers’ electricity demand at critical times to help avoid blackouts: it’s largely a service industry, demand response players like EnerNOC and Comverge are essentially middlemen between building owners and utilities, and it’s a sector that is increasingly facing consolidation and potential disruption by new technologies. The resulting ecosystem is causing demand response firms to move further out into other smart grid sectors, and vice versa, smart grid firms are starting to tread into demand response.
The line is really blurring between these sectors, and EnerNOC is a prime example of this shift. One of the earliest demand response companies around, EnerNOC has responded to the market by acquiring a series of businesses including sustainability and carbon accounting, building energy efficiency software and wireless controls. Comverge, another old school demand response player, seems to be looking to add on services often times found in the “smart grid” column, such as home energy management interfaces and networking. These are all markets potentially much bigger than demand response.
The shift is working in the other direction, too. Companies like Lockheed Martin, Cooper Power and UISOL have launched Demand Response Management Service products aimed at giving utilities the ability to manage demand response on their own terms. The companies that make building management system like Siemens, Honeywell, Johnson Controls and Schneider Electric are also making moves into demand response, with Johnson Controls working with IBM and Honeywell recently acquiring Akuacom. And then there’s Cisco, which is eying demand response as one application of its smart grid networking push on the utility side and its EnergyWise system and Building Mediator product in buildings.
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Balises: Building Mediator product , Comverge, Cooper Power, Demand Response Management Service, EnergyWise system, EnerNOC, Lockheed Martin, UISOL
Building management is one of the hottest markets in efficiency—and Serious already has 60 customers lined up. SEC forms reveal a $56 million round.
Serious Materials has quietly invaded the building management market.
The company - primarily known for green building products like eco-friendly drywall and insulating windows - has developed a software-as-a-service for monitoring and lowering energy consumption in commercial buildings. The nub of the software comes from an undisclosed acquisition. (Update: we wrote the story Friday and today learned the name of the company is Valence Energy.) Serious already has 60 customers and some of them have multiple buildings, said CEO Kevin Surace. Like the building management tools from Scientific Conservation, EnerNoc and BuildingIQ, Serious' software is compatible with the existing building management systems. Specifically, it plugs into systems marketed by Cisco and Echelon. What are Serious' advantages? The company has been one of the most successful in Silicon Valley in raising money, and had by 2009 pulled in $120 million from investors. Many potential customers, therefore, don't regard Serious as a startup. An SEC search shows that in June the company filed a form with the agency that says it is in the midst of raising $56 million more with the help of Advanced Equities. So far, it has raised $19.8 million of that total.
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Balises: building management, building management systems, BuildingIQ, EnerNoc, Scientific Conservation, Serious' software
Light and Cemig to invest R$65 million in smart grid
The Brazilian utilities Light and Cemig are to invest R$65 million (US$38.3 million) in a smart grid research and development program, with the aims of developing the technology locally as well as improving operational efficiency, reducing commercial losses, and enhancing interaction with customers.
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Balises: Brazilian utilities, Light and Cemig, research and development program, smart grid
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CEATEC 2010 La Leaf est la star du stand de Nissan au Ceatec. La voiture électrique qui devrait arriver sur le marché français en juin 2011 attire tous les regards sur le pavillon des Innovations Smart Grid 2010. Une rencontre avec Toshio Hirota, en charge de la planification des recherches sur les problématiques environnementales chez Nissan, nous permet d’éclaircir l’implication du constructeur dans le projet de Smart Grid japonais.
Toshio Hirota, en charge de la planification des recherches sur les problématiques environnementales chez Nissan.
I&T : Qu’avez-vous à voir avec le projet de Smart Grid (réseau intelligent) japonais ?
Toshio Hirota : L’enquête statistique que nous avons effectuée sur l’usage des véhicules particuliers nous montre qu’une voiture japonaise passe 90 % de son temps au parking. Durant ce temps les véhicules électriques doivent être mis à contribution et s’intégrer dans le Smart Grid axé sur le solaire que veut mettre en place le Japon, afin de le rendre le plus efficace possible.
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Balises: Ceatec, Nissan, Smart Grid, voiture électrique
Les Amis de la Terre ont publié le 20 septembre le rapport " Investissement socialement responsable : l’heure du tri " http://www.amisdelaterre.org/IMG/pdf/RAPPORT_ISR.pdf qui analyse la composition des fonds dits "éthiques" ou "ISR" (Investissement socialement responsable) et met ainsi en lumière l’écart entre la promesse des intitulés et la réalité des faits. Ces fonds sont en effet investis dans des entreprises multinationales ayant des pratiques sociales et environnementales désastreuses. La publication du rapport s’accompagne de la sortie du guide éco-citoyen qui montre que de réelles alternatives existent, à commencer par les investissements solidaires http://www.amisdelaterre.org/IMG/pdf/Guide_epargne-2.pdf : comment choisir mon épargne ?). Les amis de la terre publient aussi une synthèse de 10 pages : http://www.amisdelaterre.org/IMG/pdf/RAPPORT_ISR.pdf
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Balises: Amis de la Terre, fondséthiques, Investissement socialement responsable, ISR
220.000 kilomètres. Telle est la distance parcourue en Californie par les six Toyota Prius et l'Audi TT équipées par Google pour rouler sans chauffeur. La firme de Mountain View testait en toute discrétion, depuis plusieurs mois déjà, ses sept voitures intelligentes. Généralement prises pour des Google cars du service Street View, ces véhicules autonomes sont pourtant beaucoup plus développés que ceux utilisés pour collecter des images de nos rues. Capables de suivre un itinéraire programmé par GPS grâce aux multiples capteurs et caméras dont elles sont équipées, ces voitures peuvent effectuer un trajet sans intervention humaine. Accélération et décélération, limites de vitesse, signalisation et notamment feux rouges : les Google cars maîtrisent leur propre conduite, même si un "conducteur" se tient prêt à prendre le relais de la machine derrière le volant. Pour faciliter encore la tâche de celui-ci, un éventuel dysfonctionnement de l'un des nombreux capteurs serait signalé par un message d'alerte.
Alors, les voitures sans chauffeur : science ou fiction ? Si elles continuent à prouver leurs talents, elles pourraient bien envahir nos routes plus rapidement qu'on ne le pensait. D'autant plus qu'à l'heure actuelle, un seul accident a été enregistré durant les tests, dû à la percussion de l'une de ces voitures à un feu rouge, par un autre véhicule.
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Désireux de trouver des solutions concrètes pour construire des territoires durables, l’Assemblée des régions d’Europe (ARE) a organisé, en coopération avec la région des Abruzzes (I) et l’Agence régionale de l’Energie des Abruzzes (ARAEN), la Conférence MORE4NRG sur la coopération infrarégionale dans le domaine de l’énergie. En s’adressant aux 80 participants provenant de plus de 30 régions, Kenneth BACKGARD, président du groupe de travail de l’ARE sur le changement climatique et l’énergie et membre du Conseil régional de Norrbotten (S), a rappelé que « le projet MORE4NRG représente l’une des bonnes pratiques au niveau de l’UE : grâce aux audits par les pairs et aux rapports qui s’ensuivent, nous pavons la voie pour des régions fortes porteuses de politiques respectueuses du climat et de l’efficacité énergétique. Aujourd’hui, nous sommes heureux de discuter de la manière dont nous pouvons inclure tous les acteurs de nos régions dans ce processus ».
Pour faire le lien entre durabilité et croissance économique, les responsables infra-régionaux doivent élargir la coopération aux entreprises et aux associations. « Nous sommes fiers de notre partenariat étroit avec l’un des principaux fournisseurs privés de services environnementaux de notre région qui est le résultat du projet Integra pour la réduction des déchets. râce à cette initiative nous produisons chaque année suffisamment d’électricité pour 50000 foyers, et ceci à partir de 420000 tonnes de déchets. Cet exemple montre qu’une coopération efficace entre des acteurs publics et privés est essentielle pour garantir un future durable », a dit Mel KENDAL, conseiller régional de Hampshire (UK). Dörte FOURQUET, présidente de la Fédération européenne des énergies renouvelables, a aussi insisté sur le fait que « les politiques énergetiques régionales et locales devraient être conçues selon les besoins des investisseurs privés, puisque les investissements découlent de la gouvernance».
Contacts ARE
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Francine Huhardeaux
Chargée de Presse & Communication
+33 3 88 22 74 49
Valentina Guerra / Antonio Buscardini
Assistants Presse & Communication +33 3 88 22 74 33/44 [email protected] - [email protected] |
Christina Diegelmann
Commission « Economie et Développement régionale » - Senior Policy Coordinator
+33 3 88 22 74 38
Justyna Podralska
Commission « Economie et Développement régionale » - Policy Coordinator
+33 3 88 22 74 37
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The Department of Energy’s recent award of $30 million in cybersecurity projects for the electric grid has highlighted the issue of power infrastructure vulnerability. Smart grid technology, which allows companies to read meters from a distance, has created additional vulnerabilities, warned Kenneth Van Meter, Lockheed Martin’s general manager of Energy and Cyber Services. In an interview with SmartPlanet.com, Van Meter said that smart readers and routers at substations are vulnerable points in the smart grid.“The sheer volume of interactive devices on two-way networks is the biggest risk. By the end of 2015 we will have 440 million new hackable points on the grid. Nobody’s equipped to deal with that today. Right now, if I wanted to cut off the power to your house, I’d climb the pole, and there’s a manual switch. Everything’s physical. Once we have a smart grid in place I could do that from China,” he said. The worst case scenario would be if a hacker, which could be a terrorist organization or a foreign government, is able to cause problems in the right places at the right time to destabilize the entire grid, shutting down power to whole cities or even states.
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Balises: cybersecurity, cybersecurity projects, Department of, electric grid, power infrastructure, Smart grid
IBM has joined the $100 million Smart Grid, Smart City initiative as the systems integration partner. In addition to IBM, the EnergyAustralia Consortium consists of GE Energy Australia; AGL, Sydney Water, Hunter Water and Newcastle City Council. Under terms of an agreement with EnergyAustralia, IBM will deliver distributed generation, smart metering, and demand management solutions for what is Australia’s first smart grid network. The three-year project will test smart grid technologies in up to 50,000 NSW households.
The Smart Grid Smart City agreement calls for the installation of smart meters in the Hunter Valley and Sydney. Up to 20,000 houses will be equipped with in-home displays that enable consumers to track their energy use. Residents in ten percent of these homes will be able to control their energy devices using mobile devices such as the iPhone.
Glen Boreham, Managing Director of IBM Australia & New Zealand, called the Smart Grid, Smart City demonstration “a critical step in developing the necessary infrastructure meeting the energy demands of Australian citizens into the future. One of IBM’s key priorities is to help utility companies transform energy, environmental and sustainability issues into opportunities that positively impact the world. Being a member of the consortium that will carry out this project is a reflection of IBM’s commitment to the energy industry and our vision for a smarter planet.”
IT News reports that EnergyAustralia smart grid manager Adrian Clark says the demonstration tests business assumptions alongside technology deployed in real-world conditions. He also says the data generated during the trial will be critical for a wider smart grid rollout. “Data will inform how we as an industry understand those [customer] benefits and create products and technology. It’s not just technology; it’s also the business context in which that technology fits.”
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Balises: EnergyAustralia Consortium, GE Energy Australia; AGL, Hunter Water, IBM, Newcastle City Council, Smart City initiative, Smart Grid, Sydney Water
"Bruxelles finalise le plan européen sur l’infrastructure énergétique" (lien vers l'article sur EurActiv.fr ici)
La Commission européenne prépare actuellement un nouveau paquet sur l’infrastructure énergétique, dont la sortie est prévue pour la fin de l’année. Cet ensemble comprendra le développement d’infrastructures d'énergie au cours des deux prochaines décennies, les préparatifs d'un plan directeur pour un réseau offshore en mer du Nord et pour des réseaux intelligents (smart grids). Il doit également inclure un nouvel instrument pour remplacer les réseaux transeuropéens d'énergie (RTE-E), qui définit quels sont les projets éligibles au financement communautaire. Un rapport d’exécution sur les RTE-E, en mai, souligne les modifications importantes qui ont eu lieu dans la politique énergétique de l’UE au cours des dernières années, notamment l’adoption des objectifs climatiques pour 2020 et du troisième parquet sur le marché intérieur de l’énergie. Le rapport explique que les RTE-E dans leur forme actuelle n’ont « ni les ressources ni la flexibilité pour contribuer pleinement à la réalisation d’objectif climatiques et énergétiques ambitieux ». Brussels finalising EU energy infrastructure plan Rapport de la Commission sur la mise en oeuvre des réseaux transeuropéens d'énergie sur la période 2007-2009
Rédigé à 19H11 dans Electricité, Europe | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Balises: Bruxelles, infrastructure énergétique
Laurent SCHMITT, VP Smartgrids solutions Alstom Grid
> Présentation de Laurent SCHMITT – ALSTOM GRID
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Balises: Alstom Grid , Laurent SCHMITT, Smartgrids solutions
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Balises: ADEME , François MOISAN
Intégration de l’énergie éolienne, l’expérience irlandaise - Mark J. O’MALLEY, PHD, Professor of Electrical Engineering, Director Electricity Research Centre, University College Dublin
> Présentation de Mark O’MALLEY – ELECTRICITY RESEARCH CENTRE
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Un plan d’action nationale pour la filière Smart Grid
Sébastien HENRY, Chargé de mission, MEEDDM
> Présentation de Sébastien HENRY –
Rédigé à 17H55 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Mobilité électrique, un enjeu majeur du Smart Grid - Anh VU, Chef du programme SmartGrid de ERDF
> Présentation de Anh VU – ERDF
Rédigé à 17H51 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Balises: Anh VU, ERDF, SmartGrid
RTE prépare le réseau électrique de demain par Michel BENA, Chef de l’équipe développement du système électrique, département R&D de RTE
> Présentation de Michel BENA – RTE
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Nouveaux réseaux, nouveaux business models
Laurent SCHMITT, VP Smartgrids solutions Alstom Grid
> Présentation de Laurent SCHMITT – ALSTOM GRID
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Balises: Alstom Grid, Laurent SCHMITT, Smartgrids solutions
Les paramètres de sélections des réseaux intelligents
François MOISAN, Directeur exécutif de la Stratégie, de la Recherche et de l’International à l’ADEME
> Présentation de François MOISAN – ADEME
Rédigé à 15H55 dans Compteurs intelligents, Economie d'énergie, Smart Grid, Smart Grids | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
Balises: ADEME, François MOISAN
Rédigé à 15H41 dans Smart Grid, Smart Grids, Smart Home | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Balises: auto, Commissariat à l'Energie Atomique, fournisseurs d’électricité CEA, maison, Prius hybrides, Smart Center, Smart Center Toyota, Toyota, voitures
L’ADEME et la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l’Homme viennent de lancer le Coach Carbone®. Cette application disponible gratuitement sur Internet, est conçue pour être très accessible et conviviale. Elle permet de calculer les émissions de carbone du foyer sur ses principaux postes : logement, transport, équipement et alimentation. Elle propose un plan d’action adapté, indiquant les économies estimées en tonnes de CO2, en kWh, en litres de carburant et en euros. C'est un outil gratuit qui permet de réaliser une estimation des émissions de gaz à effet de serre de son foyer sur différents postes (logement, transport, alimentation, équipement) et de construire un plan d'action pour les réduire. Votre navigation, d'une durée moyenne d'1 heure, se décompose en 2 temps :
1) réalisez le Bilan Carbone® de votre foyer en complétant les 4 questionnaires . Le diagnostic porte sur l'année écoulée (12 derniers mois) ;
2) passez à la définition de vos plans d'action, et engagez-vous pour l'année à venir
Rédigé à 15H24 dans Economie d'énergie | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Balises: Coach Carbone
Lockheed Martin Says "Smart Grid" Will Allow China to Hack U.S. Power
Coincidentally Lockheed Martin happens to sell security software
Lockheed Martin's General Manager of Energy & Cyber Services, Kenneth Van Meter, speaking with green-power site Smart Planet voiced some dire warnings about the United States' push to adopt a "smart grid". According to Mr. Van Meter, the transition poses a glaring threat to the security of the U.S.He comments, "Right now if I wanted to cut off the power to your house, I’d climb the pole, and there’s a manual switch. Everything’s physical. Once we have a smart grid in place I could do that from China." "The sheer volume of interactive devices on two-way networks is the biggest risk. By the end of 2015 we will have 440 million new hackable points on the grid. Nobody’s equipped to deal with that today. Coincidentally, Mr. Van Meter's company sells security solutions to utilities, so his reason for evangelizing about the smart grid's insecurity may not be purely altruistic. And Lockheed Martin has had its own security woes recently, with Chinese spies reportedly breaking into servers used in the company's F-35 Lightning II fighter project. Nonetheless, the points raised are largely valid. Virtually every large piece of software (Windows, Linux, OS X, Internet Explorer, Safari, Firefox, Adobe Flash, etc.) created has had vulnerabilities that have been found and exploited. Its unlikely to think that the software that governs the grid will be free of similar vulnerabilities.
A web-connected grid, like Google Grid or Microsoft Hohm, sounds great on paper, but it introduces a pressing need for security, as people from all over the world can now try to attack the power infrastructure remotely. And where a typical cyberattack may merely deny people access to a website, or damage their personal computers, an attack on the grid could literally prove deadly. So Lockheed Martin may be a bit biased, but they're probably right, in this case.
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Balises: Lockheed Martin , smart grid's insecurity
The Japanese technology conglomerate has begun to tout WisReed, a long-range mesh networking technology it has developed for industrial equipment and smart meters. WisReed signals can travel 200 to 300 meters, farther than standard ZigBee and some other protocols. More importantly, the nodes are fairly efficient at configuring themselves in the field and determining the optimal path to a repeater that can then carry the data back to headquarters. Let's say temporary interference crops up in a certain area: the nodes will change their routing path quickly on the fly, according to Toshio Yagi, manager of marketing and sales support at Fujitsu during a meeting at Ceatec, a large technology trade show taking place in Japan this week. "It monitors for the best signal all the time," he said. A collector can handle signals from around 1,000 nodes in the field.
Do other companies have similar technologies? Yes. Some like Ultra Link Processing tout signal ranges in the range of multiple miles, and others have more favorable collector-to-meter ratios. Many manufacturers also tout wired protocols, which have even fewer problems with environmental hazards. The industry, though, will likely support a number of protocols. Blanket standardization on a few select standards like USB and Wi-Fi occurred in computing because the industry consisted of hundreds of thousands, if not millions, of manufacturers serving billions of customers. Mass manufacturing and compatibility would have never occurred without monolithic standards.
By contrast, the smart grid customer base will be dominated by a somewhat finite group of utilities and industrial manufacturers, each with their own peculiar needs. These companies have the time and money to conduct individual testing and are obsessed with uptime and reliability. They also prefer to work with conglomerates. ZigBee, in other words, may not appeal to everyone.
via Fujitsu’s Take on Smart Grid: WisReed : Greentech Media.
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Balises: Fujitsu, Fujitsu, Japan, Toshio Yagi, WisReed, ZigBee
Elster Wins Tennessee Smart Grid Project
Rédigé à 14H50 dans Smart Grid, Smart Grids | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Balises: Cleveland, Elster, Elster’s EnergyAxis Smart Grid , Tennessee
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